Aux commandes de l'économie et de la finance

L’inflation baisse encore aux Etats-Unis.

A suivre du 17 au 21 mars : – Lundi 17, 11h (heure de Paris) : l’inflation eurolandaise de février confirmée à 0,8 %. – Lundi 17, 14h15 : la production industrielle américaine rebondit légèrement. – Mardi 18, 11h : l’indice ZEW repart à la baisse en Allemagne. – Mardi 18, 13h30 : l’inflation recule vers 1,2 % aux Etats-Unis. – Mardi 18, 13h30 : nouvelle baisse des mises en chantier outre-Atlantique. – Mercredi 19, 19h : la Fed maintient le statu quo mais réduit encore le « quantitative easing ». – Jeudi 20, 15h : les indicateurs avancés du Conference Board progressent encore, mais modérément.

L’inflation baisse encore aux Etats-Unis.

A suivre du 17 au 21 mars : – Lundi 17, 11h (heure de Paris) : l’inflation eurolandaise de février confirmée à 0,8 %. – Lundi 17, 14h15 : la production industrielle américaine rebondit légèrement. – Mardi 18, 11h : l’indice ZEW repart à la baisse en Allemagne. – Mardi 18, 13h30 : l’inflation recule vers 1,2 % aux Etats-Unis. – Mardi 18, 13h30 : nouvelle baisse des mises en chantier outre-Atlantique. – Mercredi 19, 19h : la Fed maintient le statu quo mais réduit encore le « quantitative easing ». – Jeudi 20, 15h : les indicateurs avancés du Conference Board progressent encore, mais modérément.

Sarkozy, Taubira, Valls : politique circus.

Sarkozy, Taubira, Valls : politique circus.

La foudre semble s’abattre sur Nicolas Sarkozy, certains allant même jusqu’à parler de harcèlement voire de complot. Après l’affaire Buisson, ce sont désormais les écoutes téléphoniques de l’ancien Président de la République et son conseil Thierry Herzog qui font l’actualité. Quant à Madame Taubira…

Sarkozy, Taubira, Valls : politique circus.

Sarkozy, Taubira, Valls : politique circus.

La foudre semble s’abattre sur Nicolas Sarkozy, certains allant même jusqu’à parler de harcèlement voire de complot. Après l’affaire Buisson, ce sont désormais les écoutes téléphoniques de l’ancien Président de la République et son conseil Thierry Herzog qui font l’actualité. Quant à Madame Taubira…

Vers une nouvelle crise bancaire en Europe ?

Vers une nouvelle crise bancaire en Europe ?

Depuis quelques mois, tous les yeux sont rivés sur la fameuse Union bancaire européenne. Souvent présentée comme une révolution qui devrait protéger l’Europe de toute nouvelle menace, celle-ci risque pourtant bien d’accoucher d’une souris, surtout lorsque l’on prend en compte la réticence (justifiée) des Allemands à devoir (une fois encore) payer pour tout le monde… Mais au-delà de cette vraie fausse révolution (les dirigeants politiques européens n’en sont plus à un mensonge près), le vrai danger pour l’Europe bancaire réside dans une nouvelle crise d’aggravation des créances douteuses qui pourrait voir le jour dans les prochains mois. D’ailleurs, si elle est presque passée inaperçue, l’annonce d’une perte de 14 milliards d’euros par la première banque italienne Unecredit montre que la crise bancaire européenne est loin d’être terminée. Et pour cause : la quasi-totalité de cette perte s’explique par une provision de 13,7 milliards d’euros pour créances douteuses et dépréciations de survaleurs. Cela rappelle de bien mauvais souvenirs… Et si, pour l’instant, la situation apparaît sous contrôle, la probabilité d’une nouvelle crise bancaire demeure élevée. Ce qui signifie qu’après trois belles années en termes de profits et de valorisation boursière, les banques européennes pourraient connaître une année 2014 de vache maigre. Ce qui nous amène donc à conseiller de prendre ses bénéfices et de s’alléger sur ce secteur en attendant des jours meilleurs en 2015. Ne l’oublions jamais : ce qui est pris n’est plus à prendre…

Vers une nouvelle crise bancaire en Europe ?

Vers une nouvelle crise bancaire en Europe ?

Depuis quelques mois, tous les yeux sont rivés sur la fameuse Union bancaire européenne. Souvent présentée comme une révolution qui devrait protéger l’Europe de toute nouvelle menace, celle-ci risque pourtant bien d’accoucher d’une souris, surtout lorsque l’on prend en compte la réticence (justifiée) des Allemands à devoir (une fois encore) payer pour tout le monde… Mais au-delà de cette vraie fausse révolution (les dirigeants politiques européens n’en sont plus à un mensonge près), le vrai danger pour l’Europe bancaire réside dans une nouvelle crise d’aggravation des créances douteuses qui pourrait voir le jour dans les prochains mois. D’ailleurs, si elle est presque passée inaperçue, l’annonce d’une perte de 14 milliards d’euros par la première banque italienne Unecredit montre que la crise bancaire européenne est loin d’être terminée. Et pour cause : la quasi-totalité de cette perte s’explique par une provision de 13,7 milliards d’euros pour créances douteuses et dépréciations de survaleurs. Cela rappelle de bien mauvais souvenirs… Et si, pour l’instant, la situation apparaît sous contrôle, la probabilité d’une nouvelle crise bancaire demeure élevée. Ce qui signifie qu’après trois belles années en termes de profits et de valorisation boursière, les banques européennes pourraient connaître une année 2014 de vache maigre. Ce qui nous amène donc à conseiller de prendre ses bénéfices et de s’alléger sur ce secteur en attendant des jours meilleurs en 2015. Ne l’oublions jamais : ce qui est pris n’est plus à prendre…