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Immobilier en France : les prix vont-ils enfin baisser ?
En dépit de la pandémie et de la plus grave récession que la France ait connu depuis la seconde guerre mondiale, les prix des logements ont encore augmenté de 6,5 % en 2020 sur l’ensemble du territoire national, soit bien plus qu’en 2019 (+ 4,8%) et 2018 (+ 3,4%).
Le décalage entre la situation économique et l’évolution des prix de l’immobilier devient donc de plus en plus extravagant.
Et ce, principalement grâce ou à cause de la « planche à billets » de la BCE qui a permis de maintenir les taux d’intérêt des crédits sur des plus bas historiques.
Face à cette situation détonante, de nombreuses questions se posent :
Quelles sont les villes les plus chères de France au regard du prix au mètre carré ?
Quelles sont celles qui ont connu la plus forte hausse des prix immobiliers en 2020 ?
Où peut-on encore trouver des prix des logements relativement raisonnables dans l’Hexagone ?
Cette bulle immobilière va-t-elle enfin se dégonfler en 2021 ?
Le cas échéant, quelle sera l’ampleur de la baisse des prix ?
L’immobilier français reste-t-il un bon investissement ?
Toutes les réponses sont dans cette chronique, graphiques et tableaux explicites et pédagogiques à l’appui... -
Les marchés financiers redeviennent fous : pourquoi et jusqu’à quand ?
En dépit de la pandémie, de la récession et des risques qui pèsent sur 2021, les marchés boursiers continuent de croître dans le vide.
Les bulles sont donc non seulement de retour et encore plus extravagantes qu’avant 2020.
Encore plus fort que les sommets historiques atteints par le Dow Jones, l’action Tesla a flambé de 952 % sur une année et de quasiment 16 000 % depuis octobre 2012.
Son PER atteint le niveau démentiel de 1600. Cela signifie que pour justifier une telle valorisation, il faudrait attendre 1 600 années de profit de Tesla.
Encore plus fous, il a suffi que le patron de Tesla, Elon Musk, écrive un tweet de deux mots « Use Signal » demandant de favoriser la plateforme Signal concurrente de Watsapp pour que le cours de l’action « Signal Advance » flambe de 11 560 % en 4 jours !
Le pire est que la plateforme de messagerie Signal n’est pas cotée en bourse. « Signal Advance » travaille dans le domaine de la santé...
Une bourde qui confirme que de trop nombreux investisseurs sont non seulement des moutons de Panurge mais manquent dramatiquement de discernement...
Et sans parler de la volatilité extrême du bitcoin et des cryptomonnaies...
Ce désordre est extrêmement dangereux dans la mesure où il transforme les marchés financiers en un gigantesque casino.
Ce qui ne manquera pas de nuire à la stabilité économique, financière et sociétale des pays occidentaux.
Il est donc grand temps que le bon sens reprenne enfin le dessus...
Analyse et prévisions dans cette chronique, graphiques et tableaux explicites et pédagogiques à l’appui. -
Perspectives 2021 : on « voeux » de l’espoir...
Après une année 2020 catastrophique, notamment pour l’économie mondiale (hors Chine...), peut-on enfin retrouver l’espoir pour 2021 ?
Bien entendu, tout dépendra de l’efficacité des vaccins et de la rapidité de la sortie de la pandémie. Lorsqu’on voit la situation de la France qui se paie le luxe d’être numéro un mondial des dépenses publiques, tout en étant bon dernier sur le front de la vaccination, il y a évidemment de quoi être inquiet.
Il faut donc être honnête : l’exercice de la prévision pour 2021 est très difficile.
Pour autant, en espérant que nous sortirons progressivement de cette insupportable pandémie, il est possible d’établir quelques perspectives pour les économies de la planète et notamment celle de la France.
Oui, nous sortirons de la récession ! Mais ne rêvons pas : pour retrouver le PIB d’avant-crise, cela prendra du temps, en particulier dans l’Hexagone.
En 2021, quels seront donc les niveaux de la croissance en France, dans la zone Euro, en Chine, aux États-Unis et pour l’ensemble de la planète ?
Comment évolueront les taux de chômage, les dettes publiques et les taux d’intérêt ?
Que feront les marchés boursiers ?
Réponses dans cette chronique, avec, comme d’habitude, des graphiques et des tableaux explicites et pédagogiques à l’appui. -
Bilan 2020 : l’an foiré...
Lorsqu’il y a un an, je présentais mes prévisions pour l’année à venir en annonçant : « 2020, l’année de tous les dangers... », nous étions toutes et tous très loin d’imaginer que la réalité serait pire qu’un cauchemar.
A l’époque, le « Coronavirus de Wuhan » commençait tout juste à faire parler de lui et j’annonçais qu’il pourrait enlever quelques dixièmes de point à la croissance mondiale, attirant parfois des critiques sarcastiques…
Et pourtant ! Non seulement cette « grosse grippe », comme l’appelaient alors certains médecins et spécialistes, est devenue une pandémie mondiale, tuant officiellement près de 1,8 million de personnes à travers la planète (au 28 décembre 2020), mais, en plus, elle a entraîné une dépression économique internationale sans précédent depuis la seconde guerre mondiale. Le drame est que le plongeon du PIB n’est pas un simple chiffre, il se traduit immanquablement par des faillites d’entreprises, des destructions d’emplois massives et une flambée du chômage.
En France, la baisse du PIB a été d'environ 10 % en moyenne sur 2020, faisant flamber le taux de chômage à 10 %, tandis que les déficits publics et la dette publique ont vraisemblablement atteint les niveaux affolants de respectivement 12 % et 125 %.
Encore plus grave : certains ont tiré profit de cette crise pour devenir encore plus forts qu'auparavant. A commencer par la Chine, mais aussi les GAFAM. Sans oublier les marchés boursiers qui ont repris le chemin d'une bulle de plus en plus extravagante, notamment grâce aux "planches à billets" des banques centrales.
Retour donc sur 2020, l’an foiré, en graphiques et tableaux pédagogiques et sans langue de bois... -
Pourquoi la flambée de la dette publique française compromet notre avenir ?
Au troisième trimestre 2020, la dette publique de la France a atteint un nouveau double record historique : 2 674,3 milliards d’euros et 116,4 % du PIB
Jusqu’où ces niveaux vont-ils flamber ?
Qui détient la dette publique française ?
Qui va payer ?
Quand et de combien les taux d’intérêt de la dette publique et des crédits vont-ils augmenter ?
Réponses claires, en toute transparence et sans langue de bois, avec graphiques et chiffres à l’appui dans cette chronique... -
Nouveaux records historiques pour la dette publique française : et demain ?
Au troisième trimestre 2020, la dette publique de la France a atteint un nouveau double record historique : 2 674,3 milliards d’euros et 116,4 % du PIB
Jusqu’où ces niveaux vont-ils flamber ?
Qui détient la dette publique française ?
Qui va payer ?
Quand et de combien les taux d’intérêt de la dette publique et des crédits vont-ils augmenter ?
Réponses claires, en toute transparence et sans langue de bois, avec graphiques et chiffres à l’appui dans cette chronique... -
Pourquoi le Brexit risque de coûter plus cher à la France qu’au Royaume-Uni ?
Le 1er janvier 2021, le Brexit s'imposera avec ou sans accord. Quelles en seront les conséquences ?
Bien loin de ce que certains veulent nous laisser croire, le Brexit, qu’il soit dur ou pas d’ailleurs, coûtera encore plus cher à la France qu’au Royaume-Uni.
Et pour cause : il enlèvera environ 1 point de croissance par an des deux côtés de la Manche.
Mais, dans la mesure où la croissance structurelle est de 2,3 % au Royaume-Uni, contre 0,9 % en France, l’économie hexagonale risque d’en pâtir plus fortement. D’autant qu’elle reste fragilisée par un poids des impôts et de la dette publique bien plus élevé qu’outre-Manche.
Explications en détail, sans langue de bois et en toute transparence, graphiques et chiffres à l’appui dans cette chronique. -
Qui sont déjà les gagnants et les perdants de la crise pandémique ?
Même si la crise pandémique n’est malheureusement pas encore terminée, nous savons déjà qui en sont les gagnants et les perdants.
Comme nous le craignions depuis quelques mois, le grand gagnant est le pays où tout a commencé, en l’occurrence la Chine.
Non contente d’avoir retrouvé le chemin de la croissance forte et durable aux deuxième et troisième trimestres 2020, l’économie chinoise se paie même le luxe de battre un record historique d’excédent commercial à plus de 75 milliards de dollars sur le seul mois de novembre.
Au regard de ses derniers indicateurs avancés, elle devrait même réaliser une croissance annuelle de 9 % en 2021.
Bien loin de ces performances, la zone euro et la France apparaissent comme les grands perdants de cette crise, tant d’un point de vue économique et social que financier ou encore sur le front de la crédibilité.
Explications en graphiques et tableaux explicites et pédagogiques dans cette chronique.... -
Attention ! Les taux d’intérêt des dettes publiques et de vos crédits vont augmenter !
Avec la pandémie de Covid-19, les taux d’intérêt des obligations d’Etat et des crédits aux entreprises et aux particuliers ont encore fortement baissé. Et ce, en dépit d’une flambée des dettes publiques et privées.
Cette faiblesse des taux d’intérêt n’a pas permis d’éviter la plus grave récession depuis la seconde guerre mondiale mais a néanmoins permis de « sauver les meubles ». Si bien que de plus en plus de prévisionnistes n’hésitent plus à annoncer une nouvelle ère de taux d’intérêt éternellement bas.
Malheureusement, il n’en sera rien. En particulier en France et dans la zone euro.
En effet, comme nous allons le voir dans cette chronique, l’explosion de la dette publique et la profusion de la « planche à billets » de la BCE ne pourront être éternelles.
Dès lors, la remontée des taux d’intérêt des obligations d’Etat et des crédits privés est inévitable. Et ce, dès 2021.
Ce qui ne manquera pas d’affaiblir l’activité économique déjà très fragile, tout en déclenchant le dégonflement des bulles boursières et immobilières.
Quant à celles et ceux qui souhaitent encore s’endetter, ils doivent se hâter, car ils ne pourront bientôt plus bénéficier de taux d’intérêt excessivement bas.
Voici donc mes explications pédagogiques et sans langue de bois, graphiques et tableaux à l’appui... -
Covid-19 : Pourquoi l’économie française souffre-t-elle plus que les autres ?
Confinement, déconfinement, reconfinement, redéconfinement partiel...
Les revirements incessants des dirigeants politiques français ont de quoi donner le tournis.
Malheureusement, la grande perdante de ces atermoiements reste notre économie.
Les dernières enquêtes de conjoncture sont d’ailleurs formelles : tandis qu’outre-Rhin, l’industrie affiche un dynamisme impressionnant, permettant à l’ensemble de l’économie allemande de résister, tandis que la croissance américaine rebondit fortement et durablement, l’économie française s’effondre et replonge dans la récession. Et ce, tant dans l’industrie que dans les services.
Les conséquences en termes d’emplois, de chômage et de déficits publics seront catastrophiques.
Ce drame n’est pas seulement le produit de la pandémie, mais il résulte des multiples erreurs stratégiques des dirigeants politiques français depuis 40 ans.
Dans quel état économique et social se retrouvera la France fin 2020 et pour les années à venir ? Pourquoi et comment en est on arrivé là ? Peut-on encore s’en sortir ?
Réponses dans cette chronique pédagogique et sans langue de bois, graphiques et tableaux à l’appui dans cette chronique... -
Après la pandémie : qui va payer ?
Même s’il faut évidemment rester prudent, l’annonce de l’élaboration de vaccins anti-Covid « efficaces » à 90 % et 95 % a de quoi nous mettre du baume au cœur.
Il faut dire qu’après 10 mois de pandémie, la situation sanitaire, économique, sociale et sociétale est devenue insupportable.
Pour autant, ne rêvons pas trop vite : la pandémie et sa gestion catastrophique en particulier dans les pays occidentaux et notamment en France laisseront des traces indélébiles.
Et ce principalement sur le front des dettes publiques qui ont explosé un peu partout dans le monde.
Avec une question pour l’instant sans réponse : qui va payer ?
Comme nous allons le voir dans cette chronique, il n’existe que 4 solutions : 3 sont dangereuses, voire dramatiques et 1 seule demeure favorable.
Quelles sont-elles ? Comment les éviter ou les mettre en pratique ? Qui seront les gagnants et les perdants de cette pandémie et de la sortie de crise ?
Réponses franches, parfois dérangeantes et sans langue de bois dans cette chronique, graphiques et tableaux pédagogiques à l’appui. -
Biden Président : quelles conséquences pour l’économie mondiale et les marchés financiers ?
Au-delà des espoirs engendrés par l’annonce du vaccin de Pfizer, les marchés ont également bien accepté la victoire de Joe Biden.
Pourtant, le programme économique du nouveau Président américain, qui vise notamment a augmenter fortement les impôts outre-Atlantique, risque de très vite décevoir les investisseurs.
De plus, va-t-il, comme il s’y était engagé affaiblir les GAFAM qui sont le fer de lance de la bulle boursière mondiale, qui ne pourra alors que se dégonfler ?
Enfin et surtout, freiné quelque peu par Donald Trump, le rouleau compresseur chinois ne va-t-il pas repartir désormais de plus belle, affaiblissant dangereusement les États-Unis et l’ensemble de l’Occident au profit de la Chine ?
Dans ce contexte, les marchés boursiers vont-ils repartir à la baisse ? Le dollar va-t-il s’effondrer ? La Chine est-elle la grande gagnante des Présidentielles américaines ?
Réponses objectives et sans langue de bois dans cette chronique, graphiques et tableaux à l’appui.