Aux commandes de l'économie et de la finance

Une semaine calme.

A suivre du 10 au 14 octobre : – Lundi 10, 8h45 (heure de Paris) : la production industrielle française retrouve le chemin de la baisse en août. – Jeudi 13, 14h30 : petite hausse du déficit commercial américain en août. – Vendredi 14, 14h30 : les ventes au détail américaines retrouvent quelques couleurs en septembre.

Une semaine calme.

A suivre du 10 au 14 octobre : – Lundi 10, 8h45 (heure de Paris) : la production industrielle française retrouve le chemin de la baisse en août. – Jeudi 13, 14h30 : petite hausse du déficit commercial américain en août. – Vendredi 14, 14h30 : les ventes au détail américaines retrouvent quelques couleurs en septembre.

Y a-t-il un pilote dans l’avion ?

Y a-t-il un pilote dans l’avion ?

Mais à quoi jouent les dirigeants politiques et monétaires de la zone euro ? Depuis déjà une décennie, ils semblent prendre un malin plaisir à cumuler les erreurs stratégiques. Ces dernières ont notamment conduit à réduire la croissance structurelle eurolandaise, qui est passée de 2,5 % au début des années 1990 à 2 % dix ans plus tard et à environ 1,3 % aujourd’hui. Et, comme si ces échecs cuisants ne suffisaient pas, les dirigeants eurolandais continuent de déraper et semblent tout faire pour casser définitivement la croissance, l’emploi et l’existence même de l’UEM. Il faut donc être clair : la balle est dans le camp des « responsables » politiques et monétaires de l’UEM. Ils doivent absolument « sonner la fin de la récré », en s’unissant et en affirmant d’une voix commune que la zone euro est inaliénable et que la Grèce y a bien sa place. Dans ce cadre, aidé également par la baisse de l’euro, nous sortirons de la récession dès le début 2012 et les marchés boursiers rebondiront nettement. A l’inverse, si le cockpit de l’avion eurolandais reste sans pilote et si nos dirigeants continuent d’entretenir la confusion, en laissant planer le doute sur la stabilité de la zone euro, il faut se préparer à un crash sans précédent. Mesdames et Messieurs les gouvernants, prenez donc enfin vos responsabilités et arrêtez le massacre !

Y a-t-il un pilote dans l’avion ?

Y a-t-il un pilote dans l’avion ?

Mais à quoi jouent les dirigeants politiques et monétaires de la zone euro ? Depuis déjà une décennie, ils semblent prendre un malin plaisir à cumuler les erreurs stratégiques. Ces dernières ont notamment conduit à réduire la croissance structurelle eurolandaise, qui est passée de 2,5 % au début des années 1990 à 2 % dix ans plus tard et à environ 1,3 % aujourd’hui. Et, comme si ces échecs cuisants ne suffisaient pas, les dirigeants eurolandais continuent de déraper et semblent tout faire pour casser définitivement la croissance, l’emploi et l’existence même de l’UEM. Il faut donc être clair : la balle est dans le camp des « responsables » politiques et monétaires de l’UEM. Ils doivent absolument « sonner la fin de la récré », en s’unissant et en affirmant d’une voix commune que la zone euro est inaliénable et que la Grèce y a bien sa place. Dans ce cadre, aidé également par la baisse de l’euro, nous sortirons de la récession dès le début 2012 et les marchés boursiers rebondiront nettement. A l’inverse, si le cockpit de l’avion eurolandais reste sans pilote et si nos dirigeants continuent d’entretenir la confusion, en laissant planer le doute sur la stabilité de la zone euro, il faut se préparer à un crash sans précédent. Mesdames et Messieurs les gouvernants, prenez donc enfin vos responsabilités et arrêtez le massacre !

Pourquoi la bourse s’est effondrée ?

Pourquoi la bourse s’est effondrée ?

Globalement, le marché actions a connu depuis le début de l’été une contraction moyenne de 25%. Ainsi le CAC 40 est passé d’environ 4 000 à 3 000 en moyenne (fourchette : 2 800 -3 200). L’explication est évidemment simple : l’absence de confiance des investisseurs, minée par deux incertitudes majeures : le risque d’un « double dip » de l’économie mondiale, d’une part, et le risque de l’éclatement de la zone euro, d’autre part

Pourquoi la bourse s’est effondrée ?

Pourquoi la bourse s’est effondrée ?

Globalement, le marché actions a connu depuis le début de l’été une contraction moyenne de 25%. Ainsi le CAC 40 est passé d’environ 4 000 à 3 000 en moyenne (fourchette : 2 800 -3 200). L’explication est évidemment simple : l’absence de confiance des investisseurs, minée par deux incertitudes majeures : le risque d’un « double dip » de l’économie mondiale, d’une part, et le risque de l’éclatement de la zone euro, d’autre part