Aux commandes de l'économie et de la finance

La France sous la menace terroriste ?

La France sous la menace terroriste ?

Compte tenu de son histoire et de ses prises de position, la France est depuis longtemps un pays à risque en matière de menaces terroristes. Entre l’extrême gauche (Action Directe), le FLNC, l’ETA, le GIA, la Libye, les attentats antisémites, et désormais la menace islamiste avec notamment Al Qaida, la liste est longue…

La France sous la menace terroriste ?

La France sous la menace terroriste ?

Compte tenu de son histoire et de ses prises de position, la France est depuis longtemps un pays à risque en matière de menaces terroristes. Entre l’extrême gauche (Action Directe), le FLNC, l’ETA, le GIA, la Libye, les attentats antisémites, et désormais la menace islamiste avec notamment Al Qaida, la liste est longue…

Etats-Unis : la croissance et l’emploi restent mous.

A suivre du 28 janvier au 1er février : – Lundi 28, 14h30 (heure de Paris) : les commandes de biens durables croissent encore aux Etats-Unis. – Mardi 29, 16h : quasi-stabilisation de la confiance des ménages américains. – Mercredi 30, 11h : l’indice de sentiment économique de la zone euro repart à la baisse. – Mercredi 30, 14h30 : petite croissance pour l’Oncle Sam au quatrième trimestre 2012. – Mercredi 30, 20h15 : Statu quo de la Fed, encore et toujours. – Jeudi 31, 8h45 : La consommation des ménages français baisse en décembre. – Jeudi 31, 11h : l’inflation eurolandaise se stabilise en janvier. – Vendredi 1er, 14h30 : le chômage américain stagne à 7,8 %. – Vendredi 1er, 16h : petite baisse pour l’indice ISM dans l’industrie manufacturière.

Etats-Unis : la croissance et l’emploi restent mous.

A suivre du 28 janvier au 1er février : – Lundi 28, 14h30 (heure de Paris) : les commandes de biens durables croissent encore aux Etats-Unis. – Mardi 29, 16h : quasi-stabilisation de la confiance des ménages américains. – Mercredi 30, 11h : l’indice de sentiment économique de la zone euro repart à la baisse. – Mercredi 30, 14h30 : petite croissance pour l’Oncle Sam au quatrième trimestre 2012. – Mercredi 30, 20h15 : Statu quo de la Fed, encore et toujours. – Jeudi 31, 8h45 : La consommation des ménages français baisse en décembre. – Jeudi 31, 11h : l’inflation eurolandaise se stabilise en janvier. – Vendredi 1er, 14h30 : le chômage américain stagne à 7,8 %. – Vendredi 1er, 16h : petite baisse pour l’indice ISM dans l’industrie manufacturière.

France-Allemagne : je t’aime, moi non plus…

France-Allemagne : je t’aime, moi non plus…

Ah ! Angela et François ! Qu’ils sont beaux tous les deux à s’enlacer tendrement… Pourtant, derrière les embrassades et les sourires face aux caméras, le couple franco-allemand est bien en train de se fissurer. C’est un peu comme lors de certains divorces au sein d’une famille : les parents multiplient les mots tendres et les accolades devant les enfants, mais se déchirent dès que ces derniers ne sont plus là. Ainsi, que ce soit au niveau des dirigeants, des entreprises et de la population, le torchon brûle entre les deux côtés du Rhin. Rarement depuis la seconde guerre mondiale, les quolibets, les vexations et les invectives ont été aussi nombreux et virulents. Et ce, en particulier en provenance d’Allemagne. Nos cousins germaniques ne supportent effectivement plus le manque de clairvoyance et de pragmatisme des élites et des gouvernants français. Il faut dire que depuis une décennie, les écarts n’ont cessé de se creuser sur le front économique et idéologique. Ainsi, alors que les Français ont refusé de réformer leur économie, les Allemands se sont lancés dans une modernisation massive qui leur a imposé des efforts douloureux. Dès lors, si la France continue de refuser la réalité en appliquant les vaines recettes d’augmentation des dépenses publiques, d’aggravation de la pression fiscale et de rigidités réglementaires prohibitives, les écarts économiques vont encore se creuser. L’Allemagne refusera alors certainement de passer l’éponge pour une énième fois et de payer pour les dérapages français. De la sorte, elle entérinera de facto un divorce latent du couple franco-allemand, qui, progressivement, entraînera la fin la zone euro. Après vingt ans de querelles et de faux-semblants, la partie est désormais sur le point de se terminer. Comme dans tous les divorces, le pire n’est pas encore certain, mais, au fil des années, les chances de l’éviter s’amenuisent…

France-Allemagne : je t’aime, moi non plus…

France-Allemagne : je t’aime, moi non plus…

Ah ! Angela et François ! Qu’ils sont beaux tous les deux à s’enlacer tendrement… Pourtant, derrière les embrassades et les sourires face aux caméras, le couple franco-allemand est bien en train de se fissurer. C’est un peu comme lors de certains divorces au sein d’une famille : les parents multiplient les mots tendres et les accolades devant les enfants, mais se déchirent dès que ces derniers ne sont plus là. Ainsi, que ce soit au niveau des dirigeants, des entreprises et de la population, le torchon brûle entre les deux côtés du Rhin. Rarement depuis la seconde guerre mondiale, les quolibets, les vexations et les invectives ont été aussi nombreux et virulents. Et ce, en particulier en provenance d’Allemagne. Nos cousins germaniques ne supportent effectivement plus le manque de clairvoyance et de pragmatisme des élites et des gouvernants français. Il faut dire que depuis une décennie, les écarts n’ont cessé de se creuser sur le front économique et idéologique. Ainsi, alors que les Français ont refusé de réformer leur économie, les Allemands se sont lancés dans une modernisation massive qui leur a imposé des efforts douloureux. Dès lors, si la France continue de refuser la réalité en appliquant les vaines recettes d’augmentation des dépenses publiques, d’aggravation de la pression fiscale et de rigidités réglementaires prohibitives, les écarts économiques vont encore se creuser. L’Allemagne refusera alors certainement de passer l’éponge pour une énième fois et de payer pour les dérapages français. De la sorte, elle entérinera de facto un divorce latent du couple franco-allemand, qui, progressivement, entraînera la fin la zone euro. Après vingt ans de querelles et de faux-semblants, la partie est désormais sur le point de se terminer. Comme dans tous les divorces, le pire n’est pas encore certain, mais, au fil des années, les chances de l’éviter s’amenuisent…

Arrivée d’Anthony Benhamou chez ACDEFI

Arrivée d’Anthony Benhamou chez ACDEFI

Nous avons le plaisir de vous annoncer l’arrivée d’Anthony Benhamou en tant qu’économiste au sein du cabinet ACDEFI. Ancien économiste de BNP-Paribas et maître de conférences à Sciences Po Paris, Anthony nous fera profiter de son expertise sur de nombreux sujets économiques, bancaires et financiers. Toute l’équipe d’ACDEFI lui souhaite la bienvenue et un grand succès.

Arrivée d’Anthony Benhamou chez ACDEFI

Arrivée d’Anthony Benhamou chez ACDEFI

Nous avons le plaisir de vous annoncer l’arrivée d’Anthony Benhamou en tant qu’économiste au sein du cabinet ACDEFI. Ancien économiste de BNP-Paribas et maître de conférences à Sciences Po Paris, Anthony nous fera profiter de son expertise sur de nombreux sujets économiques, bancaires et financiers. Toute l’équipe d’ACDEFI lui souhaite la bienvenue et un grand succès.