Aux commandes de l'économie et de la finance

Hollande sur le pied de guerre : honni soit qui “Mali” pense.

Hollande sur le pied de guerre : honni soit qui “Mali” pense.

C’est officiel, à ce stade de son mandat, François Hollande détient le record d’impopularité sous la Vème République. En effet, en décembre 2012, seuls 35 % de nos compatriotes lui faisaient confiance pour résoudre les problèmes qui se posent en France. Il n’est donc pas exagéré de parler de défiance envers le premier personnage de l’État… Dans ce contexte extrêmement délicat, la décision de François Hollande d’engager la France dans une intervention militaire pour arrêter l’insurrection islamiste dans le nord du Mali, peut lui permettre de «redorer son blason », mais…

Hollande sur le pied de guerre : honni soit qui “Mali” pense.

Hollande sur le pied de guerre : honni soit qui “Mali” pense.

C’est officiel, à ce stade de son mandat, François Hollande détient le record d’impopularité sous la Vème République. En effet, en décembre 2012, seuls 35 % de nos compatriotes lui faisaient confiance pour résoudre les problèmes qui se posent en France. Il n’est donc pas exagéré de parler de défiance envers le premier personnage de l’État… Dans ce contexte extrêmement délicat, la décision de François Hollande d’engager la France dans une intervention militaire pour arrêter l’insurrection islamiste dans le nord du Mali, peut lui permettre de «redorer son blason », mais…

La France en 2013 : quitte ou double ?

La France en 2013 : quitte ou double ?

Tout juste débutée, l’année 2013 s’annonce déjà décisive pour la France. Outre les inquiétudes qui pèsent sur le marché de l’emploi, le réel défi de l’année consiste en l’atteinte d’un déficit budgétaire n’excédant pas 3% du PIB. Toutefois, si comme en 2012 le déficit gravite autour de 4,5% du PIB, la dette publique française pourrait alors flirter avec les 100% du PIB (voire même dépasser ce niveau symbolique). L’exercice 2013 est-il celui du changement ? Quid des marges de manœuvre dont dispose le gouvernement pour atteindre son objectif.

La France en 2013 : quitte ou double ?

La France en 2013 : quitte ou double ?

Tout juste débutée, l’année 2013 s’annonce déjà décisive pour la France. Outre les inquiétudes qui pèsent sur le marché de l’emploi, le réel défi de l’année consiste en l’atteinte d’un déficit budgétaire n’excédant pas 3% du PIB. Toutefois, si comme en 2012 le déficit gravite autour de 4,5% du PIB, la dette publique française pourrait alors flirter avec les 100% du PIB (voire même dépasser ce niveau symbolique). L’exercice 2013 est-il celui du changement ? Quid des marges de manœuvre dont dispose le gouvernement pour atteindre son objectif.

Zone euro : la récession perdure.

A suivre du 21 au 25 janvier : – Mardi 22, 11h (heure de Paris) : l’indice ZEW se stabilise. – Mercredi 23, 8h45 : le climat des affaires français reste moribond. – Jeudi 24, de 9h à 10h : les indices PMI des directeurs d’achat eurolandais confirment la poursuite de la récession. – Jeudi 24, 16h : Rebond correctif des indicateurs avancés du Conference Board. – Vendredi 25, 10h : Petite baisse pour l’indice IFO outre-Rhin. – Vendredi 25, 18h : le chômage continue de faire des ravages dans l’Hexagone.

Zone euro : la récession perdure.

A suivre du 21 au 25 janvier : – Mardi 22, 11h (heure de Paris) : l’indice ZEW se stabilise. – Mercredi 23, 8h45 : le climat des affaires français reste moribond. – Jeudi 24, de 9h à 10h : les indices PMI des directeurs d’achat eurolandais confirment la poursuite de la récession. – Jeudi 24, 16h : Rebond correctif des indicateurs avancés du Conference Board. – Vendredi 25, 10h : Petite baisse pour l’indice IFO outre-Rhin. – Vendredi 25, 18h : le chômage continue de faire des ravages dans l’Hexagone.

Un euro trop fort pour une récession trop longue…

Un euro trop fort pour une récession trop longue…

Jean-Claude Juncker vient enfin de le reconnaître : l’euro est «dangereusement élevé». Ce n’est pas trop tôt ! Même les Allemands, pourtant toujours partants pour un euro fort, commencent à avouer que l’activité économique est de plus en plus molle et qu’ils n’éviteront la récession que de justesse en 2013. Au total, si l’on veut sortir de la récession et plus globalement de la crise de la dette, l’euro est condamné à repartir à la baisse, soit dans la douceur, via une meilleure gouvernance économique et monétaire, soit dans la douleur avec une aggravation de la récession qui deviendra alors dévastatrice. C’est là tout le paradoxe de l’euro : plus il est cher, plus l’économie eurolandaise souffre et plus l’UEM est menacée d’explosion. En attendant, il ne faudrait pas trop tarder, car même si par miracle l’euro revenait sous les 1,20 dollar demain, cela prendrait environ six mois avant que cette dépréciation produise ses effets bénéfiques sur l’économie et six mois supplémentaires pour que le chômage commence à reculer. Autrement dit, la récession est déjà acquise au moins jusqu’à l’été prochain et la flambée du chômage jusqu’à la fin 2013. Merci l’euro trop fort…

Un euro trop fort pour une récession trop longue…

Un euro trop fort pour une récession trop longue…

Jean-Claude Juncker vient enfin de le reconnaître : l’euro est «dangereusement élevé». Ce n’est pas trop tôt ! Même les Allemands, pourtant toujours partants pour un euro fort, commencent à avouer que l’activité économique est de plus en plus molle et qu’ils n’éviteront la récession que de justesse en 2013. Au total, si l’on veut sortir de la récession et plus globalement de la crise de la dette, l’euro est condamné à repartir à la baisse, soit dans la douceur, via une meilleure gouvernance économique et monétaire, soit dans la douleur avec une aggravation de la récession qui deviendra alors dévastatrice. C’est là tout le paradoxe de l’euro : plus il est cher, plus l’économie eurolandaise souffre et plus l’UEM est menacée d’explosion. En attendant, il ne faudrait pas trop tarder, car même si par miracle l’euro revenait sous les 1,20 dollar demain, cela prendrait environ six mois avant que cette dépréciation produise ses effets bénéfiques sur l’économie et six mois supplémentaires pour que le chômage commence à reculer. Autrement dit, la récession est déjà acquise au moins jusqu’à l’été prochain et la flambée du chômage jusqu’à la fin 2013. Merci l’euro trop fort…

France : 2013, année de malheur ?

France : 2013, année de malheur ?

Nouvelle Interview sur SicavonLine : “Que la France soit à nouveau dégradée en 2013 par les agences de notation, beaucoup le tiennent pour quasiment acquis mais que la dette française tombe de AA+ à simple A, plus rares sont ceux à l’envisager. C’est pourtant ce que prophétise Marc Touati, qui estime que les investisseurs ne doivent pas se tromper dans leurs placements…” Vous pouvez visualiser l’interview ci-après…