Aux commandes de l'économie et de la finance

Gouverneur de banque centrale, un poste à risque…

Gouverneur de banque centrale, un poste à risque…

Les rois du pragmatisme. Pour certains même, les sauveurs du monde. En quelques années seulement, les banquiers centraux sont devenus indispensables au bon fonctionnement de l’économie mondiale. Mais à l’instar de toutes dépendances, le « central bank addiction » présente également des effets pervers. Dans ce contexte, les ajustements opérés par les banques centrales (ou sur le point de l’être) peuvent-ils provoquer de nouvelles secousses financières ?

La job machine américaine résiste encore.

A suivre du 3 au 7 février : – Lundi 3, 16h (heure de Paris) : stabilisation de l’indice ISM manufacturier. – Mardi 4, 16h : les commandes industrielles rechutent outre-Atlantique. – Mercredi 5, 16h : l’indice ISM non-manufacturier stagne en janvier. – Jeudi 6, 13h45 : La BCE maintient son taux refi et reste inquiète. – Jeudi 6, 14h30 : le déficit extérieur américain recule légèrement. – Jeudi 6, 14h30 : la productivité continue de progresser aux Etats-Unis. – Vendredi 7, 8h45 : encore 5 milliards d’euros de déficit extérieur mensuel pour la France. – Vendredi 7, 14h30 : les créations d’emploi résistent et le taux de chômage se stabilise outre-Atlantique.

La job machine américaine résiste encore.

A suivre du 3 au 7 février : – Lundi 3, 16h (heure de Paris) : stabilisation de l’indice ISM manufacturier. – Mardi 4, 16h : les commandes industrielles rechutent outre-Atlantique. – Mercredi 5, 16h : l’indice ISM non-manufacturier stagne en janvier. – Jeudi 6, 13h45 : La BCE maintient son taux refi et reste inquiète. – Jeudi 6, 14h30 : le déficit extérieur américain recule légèrement. – Jeudi 6, 14h30 : la productivité continue de progresser aux Etats-Unis. – Vendredi 7, 8h45 : encore 5 milliards d’euros de déficit extérieur mensuel pour la France. – Vendredi 7, 14h30 : les créations d’emploi résistent et le taux de chômage se stabilise outre-Atlantique.

Le départ manqué de Ben Bernanke ?

Le départ manqué de Ben Bernanke ?

Et dans la catégorie du « ciseau d’or », le gagnant est… Ben Bernanke. Si Mario Draghi a été élu « gouverneur de l’année 2013 », son homologue américain aurait pu recevoir le prix du « ciseau d’or ». Une récompense qui viendrait couronner le courage d’un homme qui a osé couper une perfusion monétaire qui soutenait pourtant jusque-là la croissance des marchés mondiaux. Seulement voilà, “retirer le bol de punch quand la fête s’anime” … et les pays émergents trinquent…

Le départ manqué de Ben Bernanke ?

Le départ manqué de Ben Bernanke ?

Et dans la catégorie du « ciseau d’or », le gagnant est… Ben Bernanke. Si Mario Draghi a été élu « gouverneur de l’année 2013 », son homologue américain aurait pu recevoir le prix du « ciseau d’or ». Une récompense qui viendrait couronner le courage d’un homme qui a osé couper une perfusion monétaire qui soutenait pourtant jusque-là la croissance des marchés mondiaux. Seulement voilà, “retirer le bol de punch quand la fête s’anime” … et les pays émergents trinquent…

France : le grand malaise…

France : le grand malaise…

La France va de plus en plus mal et le malaise s’installe. Tous les ingrédients d’une explosion sociale sont ainsi réunis, et une cristallisation des mécontentements semble inéluctable. Soit Hollande fait un virage à 180° en mettant en place les réformes nécessaires, et la France pourra être sauvée, soit il s’obstine dans ses erreurs, et la France ira dans le mur. Dans les deux cas, une partie des Français descendra dans la rue…

France : le grand malaise…

France : le grand malaise…

La France va de plus en plus mal et le malaise s’installe. Tous les ingrédients d’une explosion sociale sont ainsi réunis, et une cristallisation des mécontentements semble inéluctable. Soit Hollande fait un virage à 180° en mettant en place les réformes nécessaires, et la France pourra être sauvée, soit il s’obstine dans ses erreurs, et la France ira dans le mur. Dans les deux cas, une partie des Français descendra dans la rue…

Où faut-il investir en 2014 ?

Où faut-il investir en 2014 ?

Après un beau rallye de fin d’année qui venait couronner deux années de forte remontée, les marchés boursiers commencent à marquer le pas. Est-ce la crainte d’une nouvelle crise des pays émergents qui inquiètent les investisseurs ou s’agit-il d’un mouvement plus global et plus profond ? En fait, dès le premier jour de l’année, le « la » semble avoir été donné : – 1,6 % pour le Cac 40 ou le Dax et – 0,8 % pour le Dow Jones. Or, un vieil adage boursier rappelle que, très souvent, le sens de l’évolution du premier jour est identique à celui de l’ensemble de l’année. Faut-il pour autant en déduire que 2014 va sonner le glas de l’embellie boursière et donner naissance à une nouvelle phase de déprime ? En trois mots : tous aux abris ? Pas forcément. Certes, les risques qui menacent la planète économico-financière restent malheureusement nombreux : géopolitique, pays émergents, déflation, politique monétaire plus restrictive aux Etats-Unis, nouvelle crise de la dette dans la zone euro, et notamment en France… Dans ce contexte, quel conseil peut-on donner à un investisseur qui souhaite passer une bonne année 2014 ? Tout d’abord, ne nous emballons pas : la prudence devra rester de mise et il faudra favoriser les stratégies d’aller-retour sur les marchés boursiers. Mais, ce n’est pas tout…