Aux commandes de l'économie et de la finance

Où faut-il investir en 2014 ?

Où faut-il investir en 2014 ?

Après un beau rallye de fin d’année qui venait couronner deux années de forte remontée, les marchés boursiers commencent à marquer le pas. Est-ce la crainte d’une nouvelle crise des pays émergents qui inquiètent les investisseurs ou s’agit-il d’un mouvement plus global et plus profond ? En fait, dès le premier jour de l’année, le « la » semble avoir été donné : – 1,6 % pour le Cac 40 ou le Dax et – 0,8 % pour le Dow Jones. Or, un vieil adage boursier rappelle que, très souvent, le sens de l’évolution du premier jour est identique à celui de l’ensemble de l’année. Faut-il pour autant en déduire que 2014 va sonner le glas de l’embellie boursière et donner naissance à une nouvelle phase de déprime ? En trois mots : tous aux abris ? Pas forcément. Certes, les risques qui menacent la planète économico-financière restent malheureusement nombreux : géopolitique, pays émergents, déflation, politique monétaire plus restrictive aux Etats-Unis, nouvelle crise de la dette dans la zone euro, et notamment en France… Dans ce contexte, quel conseil peut-on donner à un investisseur qui souhaite passer une bonne année 2014 ? Tout d’abord, ne nous emballons pas : la prudence devra rester de mise et il faudra favoriser les stratégies d’aller-retour sur les marchés boursiers. Mais, ce n’est pas tout…

Où faut-il investir en 2014 ?

Après un beau rallye de fin d’année qui venait couronner deux années de forte remontée, les marchés boursiers commencent à marquer le pas. Est-ce la crainte d’une nouvelle crise des pays émergents qui inquiètent les investisseurs ou s’agit-il d’un mouvement plus global et plus profond ? En fait, dès le premier jour de l’année, le « la » semble avoir été donné : – 1,6 % pour le Cac 40 ou le Dax et – 0,8 % pour le Dow Jones. Or, un vieil adage boursier rappelle que, très souvent, le sens de l’évolution du premier jour est identique à celui de l’ensemble de l’année. Faut-il pour autant en déduire que 2014 va sonner le glas de l’embellie boursière et donner naissance à une nouvelle phase de déprime ? En trois mots : tous aux abris ? Pas forcément. Certes, les risques qui menacent la planète économico-financière restent malheureusement nombreux : géopolitique, pays émergents, déflation, politique monétaire plus restrictive aux Etats-Unis, nouvelle crise de la dette dans la zone euro, et notamment en France… Dans ce contexte, quel conseil peut-on donner à un investisseur qui souhaite passer une bonne année 2014 ? Tout d’abord, ne nous emballons pas : la prudence devra rester de mise et il faudra favoriser les stratégies d’aller-retour sur les marchés boursiers. Mais, ce n’est pas tout…

Où faut-il investir en 2014 ?

Après un beau rallye de fin d’année qui venait couronner deux années de forte remontée, les marchés boursiers commencent à marquer le pas. Est-ce la crainte d’une nouvelle crise des pays émergents qui inquiètent les investisseurs ou s’agit-il d’un mouvement plus global et plus profond ? En fait, dès le premier jour de l’année, le « la » semble avoir été donné : – 1,6 % pour le Cac 40 ou le Dax et – 0,8 % pour le Dow Jones. Or, un vieil adage boursier rappelle que, très souvent, le sens de l’évolution du premier jour est identique à celui de l’ensemble de l’année. Faut-il pour autant en déduire que 2014 va sonner le glas de l’embellie boursière et donner naissance à une nouvelle phase de déprime ? En trois mots : tous aux abris ? Pas forcément. Certes, les risques qui menacent la planète économico-financière restent malheureusement nombreux : géopolitique, pays émergents, déflation, politique monétaire plus restrictive aux Etats-Unis, nouvelle crise de la dette dans la zone euro, et notamment en France… Dans ce contexte, quel conseil peut-on donner à un investisseur qui souhaite passer une bonne année 2014 ? Tout d’abord, ne nous emballons pas : la prudence devra rester de mise et il faudra favoriser les stratégies d’aller-retour sur les marchés boursiers. Mais, ce n’est pas tout…

France : c’est maintenant ou jamais…

France : c’est maintenant ou jamais…

Pour beaucoup d’observateurs, la non-dégradation de la France par l’agence Moody’s le 24 janvier dernier a été une réelle surprise. Il faut croire en effet que le lobbysme du gouvernement français et l’apparent tournant « social-démocrate » de François Hollande ont porté leur fruit. Mais cette clairvoyance ne pourra cependant pas durer. Car qu’on se le dise, la reprise qui s’amorce dans certains Etats de la périphérie européenne participe clairement à une redistribution des cartes. Et dans ce contexte, il sera difficile pour la France de tirer son épingle du jeu…

France : c’est maintenant ou jamais…

France : c’est maintenant ou jamais…

Pour beaucoup d’observateurs, la non-dégradation de la France par l’agence Moody’s le 24 janvier dernier a été une réelle surprise. Il faut croire en effet que le lobbysme du gouvernement français et l’apparent tournant « social-démocrate » de François Hollande ont porté leur fruit. Mais cette clairvoyance ne pourra cependant pas durer. Car qu’on se le dise, la reprise qui s’amorce dans certains Etats de la périphérie européenne participe clairement à une redistribution des cartes. Et dans ce contexte, il sera difficile pour la France de tirer son épingle du jeu…

Encore une belle croissance outre-Atlantique.

A suivre du 27 au 31 janvier 2014 : – Lundi 27, 10h (heure de Paris) : stabilisation de l’indice IFO en Allemagne. – Lundi 27, 18h : sauf trucage, le chômage français devrait encore augmenter. – Mardi 28, 14h30 : les commandes de biens durables enregistrent une baisse corrective outre-Atlantique. – Mardi 28, 16h : quasi-stagnation de l’indice de confiance des ménages du Conference Board. – Mercredi 29, 20h : la Fed temporise. – Jeudi 30, 9h55 : le nombre de chômeurs baisse modérément outre-Rhin. – Jeudi 30, 11h : stabilisation de l’indice de sentiment économique dans la zone euro. – Jeudi 30, 14h : les prix à la consommation reculent encore en Allemagne. – Jeudi 30, 14h30 : environ 3,5 % de croissance annualisée aux Etats-Unis. – Vendredi 31, 8h45 : la consommation des ménages rechutent dans l’Hexagone. – Vendredi 31, 11h : l’inflation et le taux de chômage se stabilisent dans la zone euro. – Vendredi 31, 14h30 : les revenus et la consommation des ménages augmentent légèrement outre-Atlantique.

Encore une belle croissance outre-Atlantique.

A suivre du 27 au 31 janvier 2014 : – Lundi 27, 10h (heure de Paris) : stabilisation de l’indice IFO en Allemagne. – Lundi 27, 18h : sauf trucage, le chômage français devrait encore augmenter. – Mardi 28, 14h30 : les commandes de biens durables enregistrent une baisse corrective outre-Atlantique. – Mardi 28, 16h : quasi-stagnation de l’indice de confiance des ménages du Conference Board. – Mercredi 29, 20h : la Fed temporise. – Jeudi 30, 9h55 : le nombre de chômeurs baisse modérément outre-Rhin. – Jeudi 30, 11h : stabilisation de l’indice de sentiment économique dans la zone euro. – Jeudi 30, 14h : les prix à la consommation reculent encore en Allemagne. – Jeudi 30, 14h30 : environ 3,5 % de croissance annualisée aux Etats-Unis. – Vendredi 31, 8h45 : la consommation des ménages rechutent dans l’Hexagone. – Vendredi 31, 11h : l’inflation et le taux de chômage se stabilisent dans la zone euro. – Vendredi 31, 14h30 : les revenus et la consommation des ménages augmentent légèrement outre-Atlantique.

La douloureuse trajectoire budgétaire française de 2013

La douloureuse trajectoire budgétaire française de 2013

Souvenez-vous, c’était il y a un peu plus d’un an. Le projet de loi de finance 2013, élaboré en octobre 2012, fixait un objectif de déficit budgétaire de 3% du PIB. Les économistes furent alors très sceptiques quant à l’atteinte d’un tel objectif. Rendez-vous compte, passer d’un déficit public de 4,8% du PIB en 2012 à 3% en 2013… Un effort encore jamais vu dans l’histoire de France…