Aux commandes de l'économie et de la finance

Les jeux olympiques de la dette publique.

Les Jeux olympiques d’hiver 2014 se sont ouverts vendredi 07 février dernier à Sotchi, en Russie. Un évènement d’une ampleur mondiale. Et une date historique. Il y a 22 ans en effet, le 07 février 1992, le traité sur l’Union européenne (TUE) fut signé à Maastricht aux Pays-Bas. A l’époque, plusieurs règles étaient fixés dont celle des 60% que le ratio dette publique / PIB ne devait pas dépasser…

Sarkozy : candidat potentiel mais pas primaire…

Sarkozy : candidat potentiel mais pas primaire…

Le retour de Nicolas Sarkozy se précise de plus en plus, qu’il s’agisse de propos off, des annonces des médias ou encore des déclarations très explicites de Bernadette Chirac. Une question essentielle se pose désormais, celle des primaires pour désigner le candidat UMP à la présidentielle de 2017. Deux camps s’opposent sur la question : les ténors de l’UMP, et notamment François Fillon, Alain Juppé ou Xavier Bertrand qui sont pour une mise en place des primaires, par ailleurs inscrites dans les statuts de l’UMP. Face à eux, Nicolas Sarkozy, soutenu par ses plus fidèles partisans (Henri Guaino, Brice Hortefeux etc…) n’entend absolument pas s’y soumettre.

Sarkozy : candidat potentiel mais pas primaire…

Sarkozy : candidat potentiel mais pas primaire…

Le retour de Nicolas Sarkozy se précise de plus en plus, qu’il s’agisse de propos off, des annonces des médias ou encore des déclarations très explicites de Bernadette Chirac. Une question essentielle se pose désormais, celle des primaires pour désigner le candidat UMP à la présidentielle de 2017. Deux camps s’opposent sur la question : les ténors de l’UMP, et notamment François Fillon, Alain Juppé ou Xavier Bertrand qui sont pour une mise en place des primaires, par ailleurs inscrites dans les statuts de l’UMP. Face à eux, Nicolas Sarkozy, soutenu par ses plus fidèles partisans (Henri Guaino, Brice Hortefeux etc…) n’entend absolument pas s’y soumettre.

Zone euro : le PIB progresse encore mais sans euphorie

A suivre du 10 au 14 février : – Lundi 10, 8h45 (heure de Paris) : la production industrielle française rechute. – Mercredi 12, 11h : Rechute également de la production industrielle dans la zone euro. – Jeudi 13, 14h30 : les ventes au détail progressent modérément aux Etats-Unis. – Vendredi 14, 7h30 : le PIB augmente de 0,2 % et plus si coup de baguette de magique. – Vendredi 14, 8h : le PIB allemand croît d’encore 0,3 %, mais sans trucage… – Vendredi 14, 8h45 : l’emploi recule toujours dans l’Hexagone. – Vendredi 14, 11h : la sortie de récession est confirmée dans la zone euro, mais sans éclat. – Vendredi 14, 14h30 : hausse de 0,2 % de la production industrielle outre-Atlantique.

Zone euro : le PIB progresse encore mais sans euphorie

A suivre du 10 au 14 février : – Lundi 10, 8h45 (heure de Paris) : la production industrielle française rechute. – Mercredi 12, 11h : Rechute également de la production industrielle dans la zone euro. – Jeudi 13, 14h30 : les ventes au détail progressent modérément aux Etats-Unis. – Vendredi 14, 7h30 : le PIB augmente de 0,2 % et plus si coup de baguette de magique. – Vendredi 14, 8h : le PIB allemand croît d’encore 0,3 %, mais sans trucage… – Vendredi 14, 8h45 : l’emploi recule toujours dans l’Hexagone. – Vendredi 14, 11h : la sortie de récession est confirmée dans la zone euro, mais sans éclat. – Vendredi 14, 14h30 : hausse de 0,2 % de la production industrielle outre-Atlantique.

Zone euro : le PIB progresse encore mais sans euphorie.

A suivre du du 10 au 14 février : Lundi 10, 8h45 (heure de Paris) : la production industrielle française rechute. Mercredi 12, 11h : Rechute également de la production industrielle dans la zone euro. Jeudi 13, 14h30 : les ventes au détail progressent modérément aux Etats-Unis. Vendredi 14, 7h30 : le PIB augmente de 0,2 % et plus si coup de baguette de magique. Vendredi 14, 8h : le PIB allemand croît d’encore 0,3 %, mais sans trucage… Vendredi 14, 8h45 : l’emploi recule toujours dans l’Hexagone. Vendredi 14, 11h : la sortie de récession est confirmée dans la zone euro, mais sans éclat. Vendredi 14, 14h30 : hausse de 0,2 % de la production industrielle outre-Atlantique.

Zone euro : le PIB progresse encore mais sans euphorie.

A suivre du du 10 au 14 février : Lundi 10, 8h45 (heure de Paris) : la production industrielle française rechute. Mercredi 12, 11h : Rechute également de la production industrielle dans la zone euro. Jeudi 13, 14h30 : les ventes au détail progressent modérément aux Etats-Unis. Vendredi 14, 7h30 : le PIB augmente de 0,2 % et plus si coup de baguette de magique. Vendredi 14, 8h : le PIB allemand croît d’encore 0,3 %, mais sans trucage… Vendredi 14, 8h45 : l’emploi recule toujours dans l’Hexagone. Vendredi 14, 11h : la sortie de récession est confirmée dans la zone euro, mais sans éclat. Vendredi 14, 14h30 : hausse de 0,2 % de la production industrielle outre-Atlantique.

Le monde émergent plie mais ne rompra pas.

Le monde émergent plie mais ne rompra pas.

C’est la nouvelle crainte à la mode : le monde dit émergent serait à l’aube d’une nouvelle grave crise « type 1997 ». Les ingrédients de ce marasme annoncé ne sont malheureusement pas nouveaux : trop de dette, pas assez de croissance, des réserves de changes insuffisantes, une instabilité politique grandissante, des attaques spéculatives sur les devises qui imposent aux banques centrales d’augmenter les taux d’intérêt… Bref, tout est prêt pour que le château de carte s’écroule. Certes, ces arguments ne sont pas dénués de sens. Faut-il pour autant en déduire que l’ensemble du monde émergent va s’écrouler, entraînant l’ensemble de la planète dans son sillage. Certainement pas. Et ce, pour au moins trois raisons. Primo, la dépréciation récente des devises émergentes va mécaniquement relancer la croissance économique dans la plupart de ces pays. Secundo, de nombreux pays émergents disposent de réserves de change conséquentes. Tertio, quand bien même les marchés émergents souffriraient encore quelques mois, voire quelques trimestres, cela ne minerait pas excessivement ceux des pays développés. Au contraire, comme eu lendemain de la crise de 1997, ces derniers bénéficieraient d’un « flight to quality ». En d’autres termes, il est fort probable que les craintes formulées depuis quelques semaines pour la croissance et les bourses internationales en 2014 soient excessives…

Le monde émergent plie mais ne rompra pas.

Le monde émergent plie mais ne rompra pas.

C’est la nouvelle crainte à la mode : le monde dit émergent serait à l’aube d’une nouvelle grave crise « type 1997 ». Les ingrédients de ce marasme annoncé ne sont malheureusement pas nouveaux : trop de dette, pas assez de croissance, des réserves de changes insuffisantes, une instabilité politique grandissante, des attaques spéculatives sur les devises qui imposent aux banques centrales d’augmenter les taux d’intérêt… Bref, tout est prêt pour que le château de carte s’écroule. Certes, ces arguments ne sont pas dénués de sens. Faut-il pour autant en déduire que l’ensemble du monde émergent va s’écrouler, entraînant l’ensemble de la planète dans son sillage. Certainement pas. Et ce, pour au moins trois raisons. Primo, la dépréciation récente des devises émergentes va mécaniquement relancer la croissance économique dans la plupart de ces pays. Secundo, de nombreux pays émergents disposent de réserves de change conséquentes. Tertio, quand bien même les marchés émergents souffriraient encore quelques mois, voire quelques trimestres, cela ne minerait pas excessivement ceux des pays développés. Au contraire, comme eu lendemain de la crise de 1997, ces derniers bénéficieraient d’un « flight to quality ». En d’autres termes, il est fort probable que les craintes formulées depuis quelques semaines pour la croissance et les bourses internationales en 2014 soient excessives…

Gouverneur de banque centrale, un poste à risque…

Gouverneur de banque centrale, un poste à risque…

Les rois du pragmatisme. Pour certains même, les sauveurs du monde. En quelques années seulement, les banquiers centraux sont devenus indispensables au bon fonctionnement de l’économie mondiale. Mais à l’instar de toutes dépendances, le « central bank addiction » présente également des effets pervers. Dans ce contexte, les ajustements opérés par les banques centrales (ou sur le point de l’être) peuvent-ils provoquer de nouvelles secousses financières ?