Aux commandes de l'économie et de la finance

Zone euro : les indicateurs avancés repartent à la baisse.

A suivre du 24 au 28 mars : – Lundi 24, de 9h à 10h (heure de Paris) : que ce soit en France, en Allemagne et dans l’ensemble de la zone euro, les indicateurs PMI des directeurs d’achat repartent à la baisse. – Mardi 25, 8h45 : le climat des affaires des enquêtes INSEE recule encore dans l’Hexagone. – Mardi 25, 10h : l’indice IFO retrouve le chemin du repli outre-Rhin. – Mardi 25, 15h : quasi-stabilisation de l’indice de confiance des ménages du Conference Board outre-Atlantique. – Mercredi 26, 13h30 : rebond technique des commandes de biens durables aux Etats-Unis. – Mercredi 26, 18h : sauf trucage, vers un nouveau record historique pour le chômage français. – Jeudi 27, 8h45 : la confiance des ménages perd encore un point en France. – Jeudi 27, 13h30 : confirmation de la croissance américaine de 2,4 % au quatrième trimestre 2014. – Vendredi 28, 8h45 : la consommation des ménages rebondit légèrement mais reste moribonde dans l’Hexagone. – Vendredi 28, 11h : l’indice de sentiment économique de la zone euro recule. – Vendredi 28, 13h30 : les revenus et la consommation des ménages américains progressent sans euphorie. – Vendredi 28, 14h : nouveau recul de l’inflation allemande à 1,1 %.

La vacuité des idées, le manque de conviction, la médiocrité des comportements à gauche comme à droite poussent aujourd’hui des anciens Premier ministres comme Alain Juppé et Laurent Fabius sur le devant de la scène. Et maintenant ?

La vacuité des idées, le manque de conviction, la médiocrité des comportements à gauche comme à droite poussent aujourd’hui des anciens Premier ministres comme Alain Juppé et Laurent Fabius sur le devant de la scène. Et maintenant ?

Les marchés ont plus peur de Yellen que de Poutine.

Les marchés ont plus peur de Yellen que de Poutine.

« Acheter au son du canon et vendre au son du clairon ». Les dictons boursiers ont décidément la vie longue. L’évolution des marchés depuis le début de la crise ukrainienne ne cesse de le confirmer. En effet, les menaces militaires récurrentes de Poutine ont, à chaque fois, permis aux bourses mondiales de reculer dans un premier temps pour ensuite mieux rebondir. Encore plus flagrant, le rattachement souhaité de la Crimée à la Russie n’a non seulement pas ému les investisseurs et a, en plus, suscité un mouvement de nette remontée des principaux indices boursiers lundi et mardi derniers : en deux jours + 1,7 % pour le Dow Jones et + 2,3 % pour le Cac 40. Et ce, en dépit des avertissements et des « sanctions » des Occidentaux à l’encontre de certains hauts-dignitaires russes ou encore de la possible non-livraison de deux navires Mistral par la France à la Russie. Sheriff fais-moi peur ! On imagine l’émoi de Vladimir Poutine… Il faut dire qu’avec environ 300 navires de guerre, la flotte russe risque de ne pas s’en remettre… En fait, bien plus que Poutine, les marchés craignent aujourd’hui le comportement de Janet Yellen, la nouvelle Présidente de la Fed. Or, si cette dernière est perçue comme une « colombe » qui fera toujours passer la croissance et l’emploi avant les risques inflationnistes, elle a tenu mercredi dernier un discours pour le moins inquiétant. Cependant, même si les marchés s’en offusquent et continueront de sur-réagir, Madame Yellen prend un virage salutaire. Elle devra simplement veiller à ne pas aller trop vite, pour éviter que la baisse des marchés n’aille trop loin. Alors s’il vous plaît MM. Poutine et Obama, cessez de jouer à la guéguerre, car c’est « Mamie Yellen » qui mène la danse…

Les marchés ont plus peur de Yellen que de Poutine.

Les marchés ont plus peur de Yellen que de Poutine.

« Acheter au son du canon et vendre au son du clairon ». Les dictons boursiers ont décidément la vie longue. L’évolution des marchés depuis le début de la crise ukrainienne ne cesse de le confirmer. En effet, les menaces militaires récurrentes de Poutine ont, à chaque fois, permis aux bourses mondiales de reculer dans un premier temps pour ensuite mieux rebondir. Encore plus flagrant, le rattachement souhaité de la Crimée à la Russie n’a non seulement pas ému les investisseurs et a, en plus, suscité un mouvement de nette remontée des principaux indices boursiers lundi et mardi derniers : en deux jours + 1,7 % pour le Dow Jones et + 2,3 % pour le Cac 40. Et ce, en dépit des avertissements et des « sanctions » des Occidentaux à l’encontre de certains hauts-dignitaires russes ou encore de la possible non-livraison de deux navires Mistral par la France à la Russie. Sheriff fais-moi peur ! On imagine l’émoi de Vladimir Poutine… Il faut dire qu’avec environ 300 navires de guerre, la flotte russe risque de ne pas s’en remettre… En fait, bien plus que Poutine, les marchés craignent aujourd’hui le comportement de Janet Yellen, la nouvelle Présidente de la Fed. Or, si cette dernière est perçue comme une « colombe » qui fera toujours passer la croissance et l’emploi avant les risques inflationnistes, elle a tenu mercredi dernier un discours pour le moins inquiétant. Cependant, même si les marchés s’en offusquent et continueront de sur-réagir, Madame Yellen prend un virage salutaire. Elle devra simplement veiller à ne pas aller trop vite, pour éviter que la baisse des marchés n’aille trop loin. Alors s’il vous plaît MM. Poutine et Obama, cessez de jouer à la guéguerre, car c’est « Mamie Yellen » qui mène la danse…

Les marchés ont plus peur de Yellen que de Poutine.

« Acheter au son du canon et vendre au son du clairon ». Les dictons boursiers ont décidément la vie longue. L’évolution des marchés depuis le début de la crise ukrainienne ne cesse de le confirmer. En effet, les menaces militaires récurrentes de Poutine ont, à chaque fois, permis aux bourses mondiales de reculer dans un premier temps pour ensuite mieux rebondir. Encore plus flagrant, le rattachement souhaité de la Crimée à la Russie n’a non seulement pas ému les investisseurs et a, en plus, suscité un mouvement de nette remontée des principaux indices boursiers lundi et mardi derniers : en deux jours + 1,7 % pour le Dow Jones et + 2,3 % pour le Cac 40. Et ce, en dépit des avertissements et des « sanctions » des Occidentaux à l’encontre de certains hauts-dignitaires russes ou encore de la possible non-livraison de deux navires Mistral par la France à la Russie. Sheriff fais-moi peur ! On imagine l’émoi de Vladimir Poutine… Il faut dire qu’avec environ 300 navires de guerre, la flotte russe risque de ne pas s’en remettre… En fait, bien plus que Poutine, les marchés craignent aujourd’hui le comportement de Janet Yellen, la nouvelle Présidente de la Fed. Or, si cette dernière est perçue comme une « colombe » qui fera toujours passer la croissance et l’emploi avant les risques inflationnistes, elle a tenu mercredi dernier un discours pour le moins inquiétant. Cependant, même si les marchés s’en offusquent et continueront de sur-réagir, Madame Yellen prend un virage salutaire. Elle devra simplement veiller à ne pas aller trop vite, pour éviter que la baisse des marchés n’aille trop loin. Alors s’il vous plaît MM. Poutine et Obama, cessez de jouer à la guéguerre, car c’est « Mamie Yellen » qui mène la danse…

Les marchés ont plus peur de Yellen que de Poutine.

« Acheter au son du canon et vendre au son du clairon ». Les dictons boursiers ont décidément la vie longue. L’évolution des marchés depuis le début de la crise ukrainienne ne cesse de le confirmer. En effet, les menaces militaires récurrentes de Poutine ont, à chaque fois, permis aux bourses mondiales de reculer dans un premier temps pour ensuite mieux rebondir. Encore plus flagrant, le rattachement souhaité de la Crimée à la Russie n’a non seulement pas ému les investisseurs et a, en plus, suscité un mouvement de nette remontée des principaux indices boursiers lundi et mardi derniers : en deux jours + 1,7 % pour le Dow Jones et + 2,3 % pour le Cac 40. Et ce, en dépit des avertissements et des « sanctions » des Occidentaux à l’encontre de certains hauts-dignitaires russes ou encore de la possible non-livraison de deux navires Mistral par la France à la Russie. Sheriff fais-moi peur ! On imagine l’émoi de Vladimir Poutine… Il faut dire qu’avec environ 300 navires de guerre, la flotte russe risque de ne pas s’en remettre… En fait, bien plus que Poutine, les marchés craignent aujourd’hui le comportement de Janet Yellen, la nouvelle Présidente de la Fed. Or, si cette dernière est perçue comme une « colombe » qui fera toujours passer la croissance et l’emploi avant les risques inflationnistes, elle a tenu mercredi dernier un discours pour le moins inquiétant. Cependant, même si les marchés s’en offusquent et continueront de sur-réagir, Madame Yellen prend un virage salutaire. Elle devra simplement veiller à ne pas aller trop vite, pour éviter que la baisse des marchés n’aille trop loin. Alors s’il vous plaît MM. Poutine et Obama, cessez de jouer à la guéguerre, car c’est « Mamie Yellen » qui mène la danse…

Bye bye Hryvnia…

Bye bye Hryvnia…

Comme chaque matin, retrouvez ci-après notre “Good Morning Eco” avec ses rubriques habituelles : « A la une ce matin… » (avec aujourd’hui : « La Crimée adopte le rouble »), « Le chiffre du jour… », « En bref » et « A suivre aujourd’hui ». Bonne journée…