Aux commandes de l'économie et de la finance

Consommation française : la traversée du désert ne fait que commencer…

Ce qui devait arriver, arriva ! Après deux ans de soutien artificiel et de faux semblants, la consommation des ménages français commence à afficher son vrai visage. Ainsi, après avoir déjà chuté de 1 % en mars, les dépenses des particuliers se sont encore effondrées de 1,8 % en avril. Leur glissement annuel repasse même en territoire négatif, à – 0,1 % précisément. Cette consommation anémiée n’est d’ailleurs pas près de s’inverser. Explications…

Etats-Unis : la job machine est sur des bons rails.

A suivre du 30 mai au 3 juin : – Mardi 31, 8h45 (heure de Paris) : les dépenses des consommateurs français régressent encore en avril. – Mardi 31, 11h : petite baisse de l’inflation eurolandaise en mai. – Mardi 31, 16h : l’indice de confiance des consommateurs du Conference Board confirme sa bonne tenue en mai. – Mercredi 1er, 16h : l’indice ISM manufacturier régresse encore en mai. – Vendredi 3, 14h30 : les créations d’emplois restent fortes en mai . – Vendredi 3, 16h : l’indice ISM non manufacturier retrouve quelques couleurs en mai.

Etats-Unis : la job machine est sur des bons rails.

A suivre du 30 mai au 3 juin : – Mardi 31, 8h45 (heure de Paris) : les dépenses des consommateurs français régressent encore en avril. – Mardi 31, 11h : petite baisse de l’inflation eurolandaise en mai. – Mardi 31, 16h : l’indice de confiance des consommateurs du Conference Board confirme sa bonne tenue en mai. – Mercredi 1er, 16h : l’indice ISM manufacturier régresse encore en mai. – Vendredi 3, 14h30 : les créations d’emplois restent fortes en mai . – Vendredi 3, 16h : l’indice ISM non manufacturier retrouve quelques couleurs en mai.

Les nuages sont de retour…

Les nuages sont de retour…

Serions-nous en train de vivre une histoire similaire à celle du film « Un jour sans fin » ? Dans ce dernier, le personnage principal apparaît condamné à revivre éternellement la même journée, qui plus est, une journée plutôt exécrable. Toute proportion gardée, c’est également ce sentiment de « déjà vu » et d’éternel recommencement qui semble diriger la vie économico-financière internationale depuis quelques années. A chaque fois, les mêmes erreurs produisent les mêmes catastrophes : resserrement excessif des taux directeurs de la BCE, euro trop fort, crise grecque et même nuage islandais… Face à ces mouvements répétitifs et à ces mêmes erreurs sans fin, une question s’impose : cela va-t-il s’arrêter un jour ? Les Européens vont-ils enfin comprendre qu’il y a des réalités inévitables ? Arrêtons donc de nous voiler la face : il faut accepter la réalité et réagir en conséquence en se remettant en question régulièrement pour espérer des lendemains meilleurs. Car, à l’image du nuage islandais de 2011, qui a été beaucoup moins « nocif » et perturbateur que celui de 2010, le pire n’est jamais certain. Autrement dit, la persistance de la crise grecque et plus globalement de la zone euro n’est pas une fatalité. Cette crise est avant tout due à l’absence de gouvernance fiable au sein de l’UEM…

Les nuages sont de retour…

Les nuages sont de retour…

Serions-nous en train de vivre une histoire similaire à celle du film « Un jour sans fin » ? Dans ce dernier, le personnage principal apparaît condamné à revivre éternellement la même journée, qui plus est, une journée plutôt exécrable. Toute proportion gardée, c’est également ce sentiment de « déjà vu » et d’éternel recommencement qui semble diriger la vie économico-financière internationale depuis quelques années. A chaque fois, les mêmes erreurs produisent les mêmes catastrophes : resserrement excessif des taux directeurs de la BCE, euro trop fort, crise grecque et même nuage islandais… Face à ces mouvements répétitifs et à ces mêmes erreurs sans fin, une question s’impose : cela va-t-il s’arrêter un jour ? Les Européens vont-ils enfin comprendre qu’il y a des réalités inévitables ? Arrêtons donc de nous voiler la face : il faut accepter la réalité et réagir en conséquence en se remettant en question régulièrement pour espérer des lendemains meilleurs. Car, à l’image du nuage islandais de 2011, qui a été beaucoup moins « nocif » et perturbateur que celui de 2010, le pire n’est jamais certain. Autrement dit, la persistance de la crise grecque et plus globalement de la zone euro n’est pas une fatalité. Cette crise est avant tout due à l’absence de gouvernance fiable au sein de l’UEM…

François Mitterrand : le tonton flingueur.

François Mitterrand : le tonton flingueur.

A l’heure du trentième anniversaire de l’élection François Mitterrand en 1981, de nombreux socialistes tentent de se poser en héritiers de l’ancien leader socialiste. Seulement voilà, nous ne sommes pas en monarchie et François Mitterrand n’a donc pas d’héritier désigné…

François Mitterrand : le tonton flingueur.

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A l’heure du trentième anniversaire de l’élection François Mitterrand en 1981, de nombreux socialistes tentent de se poser en héritiers de l’ancien leader socialiste. Seulement voilà, nous ne sommes pas en monarchie et François Mitterrand n’a donc pas d’héritier désigné…