Aux commandes de l'économie et de la finance

« La fin de l’euro, un débat interdit»

« La fin de l’euro, un débat interdit»

Interview sur Marianne de Marc Touati par Emmanuel Levy : “Dans son dernier livre, l’économiste, d’ordinaire très demandé par les médias pour son franc parler, s’inquiète du soudain black out qui lui a été imposé. Pour lui, l’évocation même de l’explosion de l’euro est un sujet tabou.”

Des bonnes nouvelles de mon dernier livre…

Des bonnes nouvelles de mon dernier livre…

Bonjour à toutes et à tous. J’ai le plaisir de vous annoncer que Les Editions du Moment viennent de lancer une troisième impression de mon livre “quand la zone euro explosera…” Nous nous dirigeons ainsi tranquillement vers la barre des 10 000 exemplaires. Et, vu ce qui nous attend après les élections, j’espère que ce n’est qu’un début. Ce succès est aussi le vôtre, c’est pourquoi je voulais le partager avec vous. Merci encore pour votre soutien. A très bientôt. Amicalement. Marc T

Des bonnes nouvelles de mon dernier livre…

Des bonnes nouvelles de mon dernier livre…

Bonjour à toutes et à tous. J’ai le plaisir de vous annoncer que Les Editions du Moment viennent de lancer une troisième impression de mon livre “quand la zone euro explosera…” Nous nous dirigeons ainsi tranquillement vers la barre des 10 000 exemplaires. Et, vu ce qui nous attend après les élections, j’espère que ce n’est qu’un début. Ce succès est aussi le vôtre, c’est pourquoi je voulais le partager avec vous. Merci encore pour votre soutien. A très bientôt. Amicalement. Marc T

Les marchés attaqueront-ils la France après le 6 mai ?

Les marchés attaqueront-ils la France après le 6 mai ?

C’est la question qui hante de plus en plus de Français depuis quelques jours : et si la France subissait le même sort que l’Espagne, le Portugal, voire la Grèce, au lendemain des élections présidentielles ? Au-delà des tactiques électoralistes traditionnelles et des rumeurs fumeuses, cette question est loin d’être anodine et encore moins exagérée. En fait, avant de se décider, les investisseurs attendent simplement de pouvoir éclairer leur lanterne avec les résultats du premier tour, puis du second et surtout avec les premières mesures qui seront prises après le 6 mai. En attendant, un premier clash pourrait avoir lieu dès le 22 avril si les partis extrémistes réussissent à avoisiner les 40 % des suffrages. Si tel est le cas, les investisseurs commenceront à se couvrir contre le risque « France » et il sera ensuite particulièrement difficile d’inverser la tendance. Ce ne sont donc pas les marchés qui vont attaquer la France, mais les Français qui risquent de fabriquer le bâton pour qu’on leur tape sur la tête. Une chose est sûre : le printemps sera chaud dans l’Hexagone…

Les marchés attaqueront-ils la France après le 6 mai ?

Les marchés attaqueront-ils la France après le 6 mai ?

C’est la question qui hante de plus en plus de Français depuis quelques jours : et si la France subissait le même sort que l’Espagne, le Portugal, voire la Grèce, au lendemain des élections présidentielles ? Au-delà des tactiques électoralistes traditionnelles et des rumeurs fumeuses, cette question est loin d’être anodine et encore moins exagérée. En fait, avant de se décider, les investisseurs attendent simplement de pouvoir éclairer leur lanterne avec les résultats du premier tour, puis du second et surtout avec les premières mesures qui seront prises après le 6 mai. En attendant, un premier clash pourrait avoir lieu dès le 22 avril si les partis extrémistes réussissent à avoisiner les 40 % des suffrages. Si tel est le cas, les investisseurs commenceront à se couvrir contre le risque « France » et il sera ensuite particulièrement difficile d’inverser la tendance. Ce ne sont donc pas les marchés qui vont attaquer la France, mais les Français qui risquent de fabriquer le bâton pour qu’on leur tape sur la tête. Une chose est sûre : le printemps sera chaud dans l’Hexagone…

France : état des lieux avant les élections…

France : état des lieux avant les élections…

Commençons par rappeler quelques statistiques officielles, qui permettent de dresser un premier bilan de la mandature Sarkozy : entre 2007 et 2012, la dette publique totale(1) de la France est passée de 62% à 89% sans tenir compte des engagements futurs liés au règlement des retraites des fonctionnaires et assimilés. Dans le même temps, l’endettement total (secteur public + entreprises + ménages) a atteint 350%…