Aux commandes de l'économie et de la finance

Etats-Unis : léger ralentissement en vue.

A suivre du 28 octobre au 1er novembre : – Mardi 29, 13h30 (heure de Paris) : stagnation des ventes au détail aux Etats-Unis. – Mardi 29, 15h : la confiance des ménages américains baisse sensiblement. – Mercredi 30, 11h : la remontée de la confiance s’essouffle déjà dans la zone euro. – Mercredi 30, 13h30 : l’inflation baisse encore outre-Atlantique. – Jeudi 31, 8h45 : la consommation des ménages français reste atone. – Jeudi 31, 11h : Stabilisation du taux de chômage et de l’inflation dans la zone euro. – Vendredi 1er, 15h : repli correctif de l’indice ISM dans l’industrie américaine.

Euro trop fort, argent trop cher…

Euro trop fort, argent trop cher…

Et c’est reparti pour un tour : alors que l’économie eurolandaise commence à peine à sortir la tête de la récession, l’euro se remet à flamber, ce qui finira par susciter prochainement une nouvelle rechute de l’activité. Mais quand allons-nous enfin doter la zone euro d’une véritable gouvernance économique efficace ? En effet, depuis 2007, c’est la même chanson : l’euro trop fort, que nous appelons également « l’euro killer », est une véritable punition pour les pays de l’UEM, à l’exception peut-être de l’Allemagne. Rappelons la réalité empirique : à chaque fois que l’euro s’apprécie de 10 % sur une année, il retire 0,4 point à la croissance eurolandaise. Pis, au-delà des 1,30 dollar, ce coût avoisine les 0,8 point. Malheureusement, tant que les Eurolandais préféreront être les dindons de la farce, il faudra continuer à compter les points : en plus pour la croissance américaine et en moins pour celle de la zone euro. Il faudra aussi apprendre à naviguer entre 1,20 et 1,40 sur l’euro/dollar au gré des publications statistiques et des décisions de politique monétaire des deux côtés de l’Atlantique. Les marchés des changes vont donc rester particulièrement actifs et les risques sociaux de plus en plus dangereux. Euro trop fort, argent top cher… une réalité qui va forcément mal finir…

Euro trop fort, argent trop cher…

Euro trop fort, argent trop cher…

Et c’est reparti pour un tour : alors que l’économie eurolandaise commence à peine à sortir la tête de la récession, l’euro se remet à flamber, ce qui finira par susciter prochainement une nouvelle rechute de l’activité. Mais quand allons-nous enfin doter la zone euro d’une véritable gouvernance économique efficace ? En effet, depuis 2007, c’est la même chanson : l’euro trop fort, que nous appelons également « l’euro killer », est une véritable punition pour les pays de l’UEM, à l’exception peut-être de l’Allemagne. Rappelons la réalité empirique : à chaque fois que l’euro s’apprécie de 10 % sur une année, il retire 0,4 point à la croissance eurolandaise. Pis, au-delà des 1,30 dollar, ce coût avoisine les 0,8 point. Malheureusement, tant que les Eurolandais préféreront être les dindons de la farce, il faudra continuer à compter les points : en plus pour la croissance américaine et en moins pour celle de la zone euro. Il faudra aussi apprendre à naviguer entre 1,20 et 1,40 sur l’euro/dollar au gré des publications statistiques et des décisions de politique monétaire des deux côtés de l’Atlantique. Les marchés des changes vont donc rester particulièrement actifs et les risques sociaux de plus en plus dangereux. Euro trop fort, argent top cher… une réalité qui va forcément mal finir…

PEA : Professionnels En Arnaques

PEA : Professionnels En Arnaques

Coup de poignard ! Vol ! Guet-apens ! Holdup ! Racket ! Si la énième séquence fiscale du gouvernement a fait jaser de nombreux observateurs, cette fois-ci un point de non-retour semble avoir été atteint. En cause notamment, la rétroactivité sur la fiscalité du Plan Epargne en Actions (PEA) prévue par la Loi de Financement de la Sécurité Sociale 2014 (LFSS). Une rupture unilatérale et fourbe du contrat de confiance entre le gouvernement et les citoyens français pour la modique somme de 600 millions d’euros…

PEA : Professionnels En Arnaques

PEA : Professionnels En Arnaques

Coup de poignard ! Vol ! Guet-apens ! Holdup ! Racket ! Si la énième séquence fiscale du gouvernement a fait jaser de nombreux observateurs, cette fois-ci un point de non-retour semble avoir été atteint. En cause notamment, la rétroactivité sur la fiscalité du Plan Epargne en Actions (PEA) prévue par la Loi de Financement de la Sécurité Sociale 2014 (LFSS). Une rupture unilatérale et fourbe du contrat de confiance entre le gouvernement et les citoyens français pour la modique somme de 600 millions d’euros…

Fillon-Sarko : la guerre est déclarée !

Fillon-Sarko : la guerre est déclarée !

C’était officieux, c’est désormais officiel, la rupture est consommée entre François Fillon et Nicolas Sarkozy. C’est le « JDD » qui a mis le feu aux poudres le 6 octobre suivi de l’hebdomadaire « Valeurs Actuelles » en relatant des propos off de Fillon qui se déchaine contre l’ancien président de la République. En substance, le député de la Sarthe tire à boulets rouges sur son « ex-patron » qui n’aurait pas mis en œuvre la fameuse rupture promise aux Français, et il s’estime mieux placé que lui pour l’emporter en 2017. Mais quelle mouche a bien pu piquer François Fillon pour qu’il déterre ainsi la hache de guerre ? Il y a bien sûr plusieurs explications…

Fillon-Sarko : la guerre est déclarée !

Fillon-Sarko : la guerre est déclarée !

C’était officieux, c’est désormais officiel, la rupture est consommée entre François Fillon et Nicolas Sarkozy. C’est le « JDD » qui a mis le feu aux poudres le 6 octobre suivi de l’hebdomadaire « Valeurs Actuelles » en relatant des propos off de Fillon qui se déchaine contre l’ancien président de la République. En substance, le député de la Sarthe tire à boulets rouges sur son « ex-patron » qui n’aurait pas mis en œuvre la fameuse rupture promise aux Français, et il s’estime mieux placé que lui pour l’emporter en 2017. Mais quelle mouche a bien pu piquer François Fillon pour qu’il déterre ainsi la hache de guerre ? Il y a bien sûr plusieurs explications…

La zone euro reste fragile.

A suivre du 21 au 25 octobre : – Mercredi 23, 8h45 (heure de Paris) : légère baisse du climat des affaires en France. – Jeudi 24, 10h : les indices PMI de la zone euro reculent sensiblement. – Jeudi 24, 18h : sauf trucage, le chômage français devrait repartir à la hausse. – Vendredi 25, 10h : petite baisse de l’indice IFO en Allemagne. – Vendredi 25, 14h30 : léger repli des commandes de biens durables aux Etats-Unis.