Politics

Bernard Squarcini, de la DCRI au tribunal…

Bernard Squarcini, de la DCRI au tribunal…

Bernard Squarcini est un grand flic, un as du renseignement. Longtemps numéro deux des RG sous la direction du sulfureux Yves Bertrand, il fut logiquement pressenti pour remplacer ce dernier en 2004 lors de son départ à la retraite. Seulement voilà, ce changement à la tête d’une administration que beaucoup considèrent comme une police politique intervint en pleine guerre Chirac-Sarkozy…

Bernard Squarcini, de la DCRI au tribunal…

Bernard Squarcini, de la DCRI au tribunal…

Bernard Squarcini est un grand flic, un as du renseignement. Longtemps numéro deux des RG sous la direction du sulfureux Yves Bertrand, il fut logiquement pressenti pour remplacer ce dernier en 2004 lors de son départ à la retraite. Seulement voilà, ce changement à la tête d’une administration que beaucoup considèrent comme une police politique intervint en pleine guerre Chirac-Sarkozy…

Bernard Squarcini, de la DCRI au tribunal…

Bernard Squarcini est un grand flic, un as du renseignement. Longtemps numéro deux des RG sous la direction du sulfureux Yves Bertrand, il fut logiquement pressenti pour remplacer ce dernier en 2004 lors de son départ à la retraite. Seulement voilà, ce changement à la tête d’une administration que beaucoup considèrent comme une police politique intervint en pleine guerre Chirac-Sarkozy…

Bernard Squarcini, de la DCRI au tribunal…

Bernard Squarcini est un grand flic, un as du renseignement. Longtemps numéro deux des RG sous la direction du sulfureux Yves Bertrand, il fut logiquement pressenti pour remplacer ce dernier en 2004 lors de son départ à la retraite. Seulement voilà, ce changement à la tête d’une administration que beaucoup considèrent comme une police politique intervint en pleine guerre Chirac-Sarkozy…

Manuel Valls : le début de la fin ?

Manuel Valls : le début de la fin ?

Manuel Valls traverse indéniablement une mauvaise passe, comme l’indique le dernier baromètre TNS- Sofres le Figaro Magazine avec une perte de 7 points de sa cote d’avenir qui tombe à 40%. Récemment invité de l’émission politique phare de France 2 « des Paroles et des Actes», le ministre « star » du gouvernement Ayrault fut loin d’être convaincant. Manque de relief, discours convenu, postures prévisibles et étudiées…

Manuel Valls : le début de la fin ?

Manuel Valls : le début de la fin ?

Manuel Valls traverse indéniablement une mauvaise passe, comme l’indique le dernier baromètre TNS- Sofres le Figaro Magazine avec une perte de 7 points de sa cote d’avenir qui tombe à 40%. Récemment invité de l’émission politique phare de France 2 « des Paroles et des Actes», le ministre « star » du gouvernement Ayrault fut loin d’être convaincant. Manque de relief, discours convenu, postures prévisibles et étudiées…

Manuel Valls : le début de la fin ?

Manuel Valls : le début de la fin ?

Manuel Valls traverse indéniablement une mauvaise passe, comme l’indique le dernier baromètre TNS- Sofres le Figaro Magazine avec une perte de 7 points de sa cote d’avenir qui tombe à 40%. Récemment invité de l’émission politique phare de France 2 « des Paroles et des Actes», le ministre « star » du gouvernement Ayrault fut loin d’être convaincant. Manque de relief, discours convenu, postures prévisibles et étudiées…

Manuel Valls : le début de la fin ?

Manuel Valls : le début de la fin ?

Manuel Valls traverse indéniablement une mauvaise passe, comme l’indique le dernier baromètre TNS- Sofres le Figaro Magazine avec une perte de 7 points de sa cote d’avenir qui tombe à 40%. Récemment invité de l’émission politique phare de France 2 « des Paroles et des Actes», le ministre « star » du gouvernement Ayrault fut loin d’être convaincant. Manque de relief, discours convenu, postures prévisibles et étudiées…

Sarkozy : candidat potentiel mais pas primaire…

Sarkozy : candidat potentiel mais pas primaire…

Le retour de Nicolas Sarkozy se précise de plus en plus, qu’il s’agisse de propos off, des annonces des médias ou encore des déclarations très explicites de Bernadette Chirac. Une question essentielle se pose désormais, celle des primaires pour désigner le candidat UMP à la présidentielle de 2017. Deux camps s’opposent sur la question : les ténors de l’UMP, et notamment François Fillon, Alain Juppé ou Xavier Bertrand qui sont pour une mise en place des primaires, par ailleurs inscrites dans les statuts de l’UMP. Face à eux, Nicolas Sarkozy, soutenu par ses plus fidèles partisans (Henri Guaino, Brice Hortefeux etc…) n’entend absolument pas s’y soumettre.

Sarkozy : candidat potentiel mais pas primaire…

Sarkozy : candidat potentiel mais pas primaire…

Le retour de Nicolas Sarkozy se précise de plus en plus, qu’il s’agisse de propos off, des annonces des médias ou encore des déclarations très explicites de Bernadette Chirac. Une question essentielle se pose désormais, celle des primaires pour désigner le candidat UMP à la présidentielle de 2017. Deux camps s’opposent sur la question : les ténors de l’UMP, et notamment François Fillon, Alain Juppé ou Xavier Bertrand qui sont pour une mise en place des primaires, par ailleurs inscrites dans les statuts de l’UMP. Face à eux, Nicolas Sarkozy, soutenu par ses plus fidèles partisans (Henri Guaino, Brice Hortefeux etc…) n’entend absolument pas s’y soumettre.