Aux commandes de l'économie et de la finance

Bernard Squarcini, de la DCRI au tribunal…

Bernard Squarcini, de la DCRI au tribunal…

Bernard Squarcini est un grand flic, un as du renseignement. Longtemps numéro deux des RG sous la direction du sulfureux Yves Bertrand, il fut logiquement pressenti pour remplacer ce dernier en 2004 lors de son départ à la retraite. Seulement voilà, ce changement à la tête d’une administration que beaucoup considèrent comme une police politique intervint en pleine guerre Chirac-Sarkozy…

Bernard Squarcini, de la DCRI au tribunal…

Bernard Squarcini est un grand flic, un as du renseignement. Longtemps numéro deux des RG sous la direction du sulfureux Yves Bertrand, il fut logiquement pressenti pour remplacer ce dernier en 2004 lors de son départ à la retraite. Seulement voilà, ce changement à la tête d’une administration que beaucoup considèrent comme une police politique intervint en pleine guerre Chirac-Sarkozy…

Bernard Squarcini, de la DCRI au tribunal…

Bernard Squarcini est un grand flic, un as du renseignement. Longtemps numéro deux des RG sous la direction du sulfureux Yves Bertrand, il fut logiquement pressenti pour remplacer ce dernier en 2004 lors de son départ à la retraite. Seulement voilà, ce changement à la tête d’une administration que beaucoup considèrent comme une police politique intervint en pleine guerre Chirac-Sarkozy…

Vers un nouveau record pour le chômage français.

A suivre du 24 au 28 février : – Lundi 24, 10h (heure de Paris) : léger repli de l’indice IFO en Allemagne. – Mardi 25, 8h45 : le climat des affaires de l’INSEE recule de nouveau dans l’Hexagone. – Mardi 25, 16h : quasi-stabilisation de la confiance des ménages aux Etats-Unis. – Mercredi 26, 18h : nouveau record historique pour le taux de chômage dans l’Hexagone. – Jeudi 27, 9h55 : outre-Rhin, le taux de chômage reste stable. – Jeudi 27, 11h : l’indice de sentiment économique repart à la baisse dans la zone euro. – Jeudi 27, 14h30 : rebond correctif des commandes de biens durables outre-Atlantique. – Vendredi 28, 8h45 : la consommation des ménages français demeure moribonde. – Vendredi 28, 11h : statu quo dans la zone euro : inflation à 0,7 % et taux de chômage à 12 %. – Vendredi 28, 14h30 : confirmation d’une croissance de 3,2 % aux Etats-Unis fin 2013.

Vers un nouveau record pour le chômage français.

A suivre du 24 au 28 février : – Lundi 24, 10h (heure de Paris) : léger repli de l’indice IFO en Allemagne. – Mardi 25, 8h45 : le climat des affaires de l’INSEE recule de nouveau dans l’Hexagone. – Mardi 25, 16h : quasi-stabilisation de la confiance des ménages aux Etats-Unis. – Mercredi 26, 18h : nouveau record historique pour le taux de chômage dans l’Hexagone. – Jeudi 27, 9h55 : outre-Rhin, le taux de chômage reste stable. – Jeudi 27, 11h : l’indice de sentiment économique repart à la baisse dans la zone euro. – Jeudi 27, 14h30 : rebond correctif des commandes de biens durables outre-Atlantique. – Vendredi 28, 8h45 : la consommation des ménages français demeure moribonde. – Vendredi 28, 11h : statu quo dans la zone euro : inflation à 0,7 % et taux de chômage à 12 %. – Vendredi 28, 14h30 : confirmation d’une croissance de 3,2 % aux Etats-Unis fin 2013.

France et zone euro : eh bien non, la crise n’est toujours pas finie…

France et zone euro : eh bien non, la crise n’est toujours pas finie…

Avec la publication des comptes nationaux du quatrième trimestre 2013 en France et dans la zone euro, de nombreux dirigeants politiques, économistes et autres beaux parleurs en tous genres n’ont pas hésité à reprendre en cœur le tube de l’été dernier « la crise est finie ! ». Pour justifier leur bonne humeur, ceux-ci se contentaient de mettre en exergue l’évolution du PIB au dernier trimestre 2013 : + 0,3 % tant pour la France que pour la zone euro. Comme dirait l’autre et comme nous l’avons dernièrement écrit pour saluer la nouvelle histoire d’amour apparente entre le Président Hollande et le monde de l’entreprise : « formidable ! » Seulement voilà, les faux-semblants ont la vie dure et se contenter de regarder dans le rétroviseur pour prévoir l’avenir n’a jamais été très efficace. Les économistes et analystes bien-pensants devraient pourtant le savoir : extrapoler les évolutions passées pour anticiper l’avenir est une erreur de construction. La nette baisse des indicateurs PMI des directeurs d’achat en février dans l’Hexagone montre malheureusement que l’économie française pourrait même retomber en récession en 2014. Avec toutes les conséquences dramatiques que cela entraînerait sur l’emploi et les déficits. Croissance en berne, risque de retour de la récession, chômage toujours dramatique, déficits et dette pléthoriques. Mais oui, mais oui, calmez-vous, la crise est finie, Monsieur le Président…

France et zone euro : eh bien non, la crise n’est toujours pas finie…

France et zone euro : eh bien non, la crise n’est toujours pas finie…

Avec la publication des comptes nationaux du quatrième trimestre 2013 en France et dans la zone euro, de nombreux dirigeants politiques, économistes et autres beaux parleurs en tous genres n’ont pas hésité à reprendre en cœur le tube de l’été dernier « la crise est finie ! ». Pour justifier leur bonne humeur, ceux-ci se contentaient de mettre en exergue l’évolution du PIB au dernier trimestre 2013 : + 0,3 % tant pour la France que pour la zone euro. Comme dirait l’autre et comme nous l’avons dernièrement écrit pour saluer la nouvelle histoire d’amour apparente entre le Président Hollande et le monde de l’entreprise : « formidable ! » Seulement voilà, les faux-semblants ont la vie dure et se contenter de regarder dans le rétroviseur pour prévoir l’avenir n’a jamais été très efficace. Les économistes et analystes bien-pensants devraient pourtant le savoir : extrapoler les évolutions passées pour anticiper l’avenir est une erreur de construction. La nette baisse des indicateurs PMI des directeurs d’achat en février dans l’Hexagone montre malheureusement que l’économie française pourrait même retomber en récession en 2014. Avec toutes les conséquences dramatiques que cela entraînerait sur l’emploi et les déficits. Croissance en berne, risque de retour de la récession, chômage toujours dramatique, déficits et dette pléthoriques. Mais oui, mais oui, calmez-vous, la crise est finie, Monsieur le Président…

France et zone euro : eh bien non, la crise n’est toujours pas finie…

France et zone euro : eh bien non, la crise n’est toujours pas finie…

Avec la publication des comptes nationaux du quatrième trimestre 2013 en France et dans la zone euro, de nombreux dirigeants politiques, économistes et autres beaux parleurs en tous genres n’ont pas hésité à reprendre en cœur le tube de l’été dernier « la crise est finie ! ». Pour justifier leur bonne humeur, ceux-ci se contentaient de mettre en exergue l’évolution du PIB au dernier trimestre 2013 : + 0,3 % tant pour la France que pour la zone euro. Comme dirait l’autre oet comme nous l’avons dernièrement écrit pour saluer la nouvelle histoire d’amour apparente entre le Président Hollande et le monde de l’entreprise : « formidable ! » Seulement voilà, les faux-semblants ont la vie dure et se contenter de regarder dans le rétroviseur pour prévoir l’avenir n’a jamais été très efficace. Les économistes et analystes bien-pensants devraient pourtant le savoir : extrapoler les évolutions passées pour anticiper l’avenir est une erreur de construction. La nette baisse des indicateurs PMI des directeurs d’achat en février dans l’Hexagone montre malheureusement que l’économie française pourrait même retomber en récession en 2014. Avec toutes les conséquences dramatiques que cela entraînerait sur l’emploi et les déficits. Croissance en berne, risque de retour de la récession, chômage toujours dramatique, déficits et dette pléthoriques. Mais oui, mais oui, calmez-vous, la crise est finie, Monsieur le Président…