Aux commandes de l'économie et de la finance

France : le rejet de la classe politique.

France : le rejet de la classe politique.

La parole politique est aujourd’hui indéniablement discréditée auprès d’une grande partie de nos compatriotes. Si le « Hollande bashing » est à la mode, la perte de confiance et le malaise entre les Français et leur classe politique ne date malheureusement pas d’aujourd’hui. En effet, les mensonges, les fausses promesses, la démagogie, l’impuissance et le manque de courage de nos politiques font partie du paysage quotidien des Français depuis plusieurs décennies…

Vers une stabilisation du taux de chômage outre-Atlantique.

A suivre du 3 au 7 mars : – Lundi 3, de 9h50 à 10h (heure de Paris) : confirmation des enquêtes PMI de février qui annoncent un ralentissement dans la zone euro et une baisse de la production industrielle en France. – Lundi 3, 14h30 : petite hausse pour les revenus et la consommation des ménages aux Etats-Unis. – Lundi 3, 16h : l’indice ISM des directeurs d’achat dans l’industrie américaine se stabilise en février. – Mercredi 5, de 9h50 à 10h : poursuite de la confirmation des enquêtes PMI de février : plus pour l’Allemagne, stable pour la zone euro et en baisse pour la France. – Mercredi 5, 16h : légère baisse de l’indice ISM dans le secteur non-manufacturier américain. – Jeudi 6, 7h30 : le taux de chômage français monte à 11 %. – Jeudi 6, 13h et 13h45 : nouveau statu quo pour la BoE et la BCE. – Jeudi 6, 14h30 : la productivité américaine reste forte. – Vendredi 7, 8h45 : encore 5 milliards d’euros de déficit mensuel pour la balance commerciale française. – Vendredi 7, 14h30 : le déficit extérieur américain se stabilise autour des 38 milliards de dollars. – Vendredi 7, 14h30 : le taux de chômage reste à 6,6 % aux Etats-Unis.

Vers une stabilisation du taux de chômage outre-Atlantique.

A suivre du 3 au 7 mars : – Lundi 3, de 9h50 à 10h (heure de Paris) : confirmation des enquêtes PMI de février qui annoncent un ralentissement dans la zone euro et une baisse de la production industrielle en France. – Lundi 3, 14h30 : petite hausse pour les revenus et la consommation des ménages aux Etats-Unis. – Lundi 3, 16h : l’indice ISM des directeurs d’achat dans l’industrie américaine se stabilise en février. – Mercredi 5, de 9h50 à 10h : poursuite de la confirmation des enquêtes PMI de février : plus pour l’Allemagne, stable pour la zone euro et en baisse pour la France. – Mercredi 5, 16h : légère baisse de l’indice ISM dans le secteur non-manufacturier américain. – Jeudi 6, 7h30 : le taux de chômage français monte à 11 %. – Jeudi 6, 13h et 13h45 : nouveau statu quo pour la BoE et la BCE. – Jeudi 6, 14h30 : la productivité américaine reste forte. – Vendredi 7, 8h45 : encore 5 milliards d’euros de déficit mensuel pour la balance commerciale française. – Vendredi 7, 14h30 : le déficit extérieur américain se stabilise autour des 38 milliards de dollars. – Vendredi 7, 14h30 : le taux de chômage reste à 6,6 % aux Etats-Unis.

Le Cac 40 et les profits progressent, mais le chômage aussi…

Le Cac 40 et les profits progressent, mais le chômage aussi…

Cette semaine a été marquée par deux évènements majeurs sur le front de l’économie française. D’une part, les profits des entreprises du Cac 40 et le niveau de ce dernier ont nettement progressé. D’autre part, le nombre de chômeurs a atteint un nouveau sommet historiques : 3,316 millions de personnes de catégorie A en métropole et 5,228 millions en englobant l’ensemble des catégories de chômeurs A, B, C ainsi que les départements d’outre-mer. Face à ce contraste douloureux entre des marchés boursiers heureux et des chômeurs français de plus en plus nombreux, la tentation pourrait être grande de mettre en cause les dérives du capitalisme et de souligner que si les entreprises du Cac 40 se portent bien c’est justement parce que le chômage augmente. En d’autres termes, aux armes citoyens, la lutte des classes doit s’intensifier, tous à la Bastille… Si ce raccourci est évidemment facile, il n’en est pas moins erroné. Et pour cause : si les profits des entreprises du Cac 40 augmentent c’est parce que près de 80 % de ces derniers sont réalisés à l’étranger. A l’inverse, la grande majorité des PME franco-françaises voient leurs profits stagner et souvent régresser. Sans parler de celles qui mettent la clé sous la porte. Autrement dit, il n’y a pas de spoliation des Français par les entreprises, mais simplement un accroissement de l’activité de ces dernières en dehors de l’Hexagone. Pourquoi ? Tout simplement, parce que la pression fiscale et le coût du travail y sont trop élevés, mais aussi parce que la croissance et la confiance y sont trop faibles. C’est d’ailleurs pour ces mêmes raisons que le nombre de chômeurs ne cesse de battre des records. Alors qu’attendons-nous pour enfin changer tout ça ?

Le Cac 40 et les profits progressent, mais le chômage aussi…

Le Cac 40 et les profits progressent, mais le chômage aussi…

Cette semaine a été marquée par deux évènements majeurs sur le front de l’économie française. D’une part, les profits des entreprises du Cac 40 et le niveau de ce dernier ont nettement progressé. D’autre part, le nombre de chômeurs a atteint un nouveau sommet historiques : 3,316 millions de personnes de catégorie A en métropole et 5,228 millions en englobant l’ensemble des catégories de chômeurs A, B, C ainsi que les départements d’outre-mer. Face à ce contraste douloureux entre des marchés boursiers heureux et des chômeurs français de plus en plus nombreux, la tentation pourrait être grande de mettre en cause les dérives du capitalisme et de souligner que si les entreprises du Cac 40 se portent bien c’est justement parce que le chômage augmente. En d’autres termes, aux armes citoyens, la lutte des classes doit s’intensifier, tous à la Bastille… Si ce raccourci est évidemment facile, il n’en est pas moins erroné. Et pour cause : si les profits des entreprises du Cac 40 augmentent c’est parce que près de 80 % de ces derniers sont réalisés à l’étranger. A l’inverse, la grande majorité des PME franco-françaises voient leurs profits stagner et souvent régresser. Sans parler de celles qui mettent la clé sous la porte. Autrement dit, il n’y a pas de spoliation des Français par les entreprises, mais simplement un accroissement de l’activité de ces dernières en dehors de l’Hexagone. Pourquoi ? Tout simplement, parce que la pression fiscale et le coût du travail y sont trop élevés, mais aussi parce que la croissance et la confiance y sont trop faibles. C’est d’ailleurs pour ces mêmes raisons que le nombre de chômeurs ne cesse de battre des records. Alors qu’attendons-nous pour enfin changer tout ça ?

“Les experts” sur BFM Business

“Les experts” sur BFM Business

Le 27 février, la force de l’euro et le taux de chômage en France, ont été les thèmes abordés dans Les Experts par Nicolas Doze et ses invités: Ghislaine Ottenheimer, rédactrice en chef chez Challenges, Augustin Landier, professeur à l’Ecole d’économie de Toulouse, et Marc Touati, économiste et président du cabinet Acdefi, sur BFM Business. Un débat très dynamique et parfois surprenant, notamment lorsque la rédactrice en chef de Challenges annonce que la Suède est dans la zone euro…

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Le 27 février, la force de l’euro et le taux de chômage en France, ont été les thèmes abordés dans Les Experts par Nicolas Doze et ses invités: Ghislaine Ottenheimer, rédactrice en chef chez Challenges, Augustin Landier, professeur à l’Ecole d’économie de Toulouse, et Marc Touati, économiste et président du cabinet Acdefi, sur BFM Business. Un débat très dynamique et parfois surprenant, notamment lorsque la rédactrice en chef de Challenges annonce que la Suède est dans la zone euro…