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Copé, Buisson : Very bad trip à l’UMP…

Copé, Buisson : Very bad trip à l’UMP…

En ce début mars, les traditionnelles giboulées s’abattent violemment sur l’UMP. Jean-François Copé tout d’abord, qui est mis en cause par le magazine Le Point pour avoir favorisé des proches dans la vente d’immeubles d’Etat quand il était ministre, et pour avoir attribué des marchés surfacturés à l’agence de communication Bygmalion dirigée par des proches. Deuxième affaire de taille pour ne pas dire une petite bombe : les écoutes Buisson. Ca promet…

Copé, Buisson : Very bad trip à l’UMP…

Copé, Buisson : Very bad trip à l’UMP…

En ce début mars, les traditionnelles giboulées s’abattent violemment sur l’UMP. Jean-François Copé tout d’abord, qui est mis en cause par le magazine Le Point pour avoir favorisé des proches dans la vente d’immeubles d’Etat quand il était ministre, et pour avoir attribué des marchés surfacturés à l’agence de communication Bygmalion dirigée par des proches. Deuxième affaire de taille pour ne pas dire une petite bombe : les écoutes Buisson. Ca promet…

Des marchés « soupe au lait » jusqu’à la fin 2014.

On a beau y être habitué, les va-et-vient abrupts des marchés financiers ne cessent de donner le tournis. Les évolutions de ces dernières semaines en a donné une parfaite illustration. Tout d’abord sur les bourses internationales. Entre la crise des émergents et l’éventualité d’un conflit russo-ukrainien, les inquiétudes vont bon train et la volatilité des bourses avec. Fort heureusement, comme dans toute superproduction hollywoodienne, la catastrophe a été évitée (du moins pour l’instant) et les indices boursiers ont repris de plus belle. Et ce dès le 4 mars : + 1,4 % pour le Dow Jones, + 2,5 % pour le Cac 40 et + 5,3 % pour l’indice moscovite. Mieux, dans la mesure où les risques d’intervention militaire russe s’estompent et où le marché du travail américain reste bien orienté, les bourses mondiales semblent sur le point de dépasser leur précédent sommet. Faut-il pour autant en déduire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes et que les marchés boursiers vont encore flamber en 2014 ? Pas forcément. Entre la poursuite de la crise ukrainienne, le maintien d’un euro trop fort et d’une croissance trop faible dans les pays de l’UEM, sans oublier une réactivation prochaine de la crise de la dette publique, les marchés financiers (bourses, obligations d’Etat, devises, matières premières) vont rester particulièrement chahutés sur l’ensemble de l’année 2014. Il faut s’y faire, les marchés boursiers vont rester abonnés aux montagnes russes au moins jusqu’à la fin 2014. Il faut juste souhaiter que cette « soupe au lait » ne devienne pas une « soupe à la grimace »…

Des marchés « soupe au lait » jusqu’à la fin 2014.

On a beau y être habitué, les va-et-vient abrupts des marchés financiers ne cessent de donner le tournis. Les évolutions de ces dernières semaines en a donné une parfaite illustration. Tout d’abord sur les bourses internationales. Entre la crise des émergents et l’éventualité d’un conflit russo-ukrainien, les inquiétudes vont bon train et la volatilité des bourses avec. Fort heureusement, comme dans toute superproduction hollywoodienne, la catastrophe a été évitée (du moins pour l’instant) et les indices boursiers ont repris de plus belle. Et ce dès le 4 mars : + 1,4 % pour le Dow Jones, + 2,5 % pour le Cac 40 et + 5,3 % pour l’indice moscovite. Mieux, dans la mesure où les risques d’intervention militaire russe s’estompent et où le marché du travail américain reste bien orienté, les bourses mondiales semblent sur le point de dépasser leur précédent sommet. Faut-il pour autant en déduire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes et que les marchés boursiers vont encore flamber en 2014 ? Pas forcément. Entre la poursuite de la crise ukrainienne, le maintien d’un euro trop fort et d’une croissance trop faible dans les pays de l’UEM, sans oublier une réactivation prochaine de la crise de la dette publique, les marchés financiers (bourses, obligations d’Etat, devises, matières premières) vont rester particulièrement chahutés sur l’ensemble de l’année 2014. Il faut s’y faire, les marchés boursiers vont rester abonnés aux montagnes russes au moins jusqu’à la fin 2014. Il faut juste souhaiter que cette « soupe au lait » ne devienne pas une « soupe à la grimace »…

Des marchés « soupe au lait » jusqu’à la fin 2014.

On a beau y être habitué, les va-et-vient abrupts des marchés financiers ne cessent de donner le tournis. Les évolutions de ces dernières semaines en a donné une parfaite illustration. Tout d’abord sur les bourses internationales. Entre la crise des émergents et l’éventualité d’un conflit russo-ukrainien, les inquiétudes vont bon train et la volatilité des bourses avec. Fort heureusement, comme dans toute superproduction hollywoodienne, la catastrophe a été évitée (du moins pour l’instant) et les indices boursiers ont repris de plus belle. Et ce dès le 4 mars : + 1,4 % pour le Dow Jones, + 2,5 % pour le Cac 40 et + 5,3 % pour l’indice moscovite. Mieux, dans la mesure où les risques d’intervention militaire russe s’estompent et où le marché du travail américain reste bien orienté, les bourses mondiales semblent sur le point de dépasser leur précédent sommet. Faut-il pour autant en déduire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes et que les marchés boursiers vont encore flamber en 2014 ? Pas forcément. Entre la poursuite de la crise ukrainienne, le maintien d’un euro trop fort et d’une croissance trop faible dans les pays de l’UEM, sans oublier une réactivation prochaine de la crise de la dette publique, les marchés financiers (bourses, obligations d’Etat, devises, matières premières) vont rester particulièrement chahutés sur l’ensemble de l’année 2014. Il faut s’y faire, les marchés boursiers vont rester abonnés aux montagnes russes au moins jusqu’à la fin 2014. Il faut juste souhaiter que cette « soupe au lait » ne devienne pas une « soupe à la grimace »…

Des marchés « soupe au lait » jusqu’à la fin 2014.

On a beau y être habitué, les va-et-vient abrupts des marchés financiers ne cessent de donner le tournis. Les évolutions de ces dernières semaines en a donné une parfaite illustration. Tout d’abord sur les bourses internationales. Entre la crise des émergents et l’éventualité d’un conflit russo-ukrainien, les inquiétudes vont bon train et la volatilité des bourses avec. Fort heureusement, comme dans toute superproduction hollywoodienne, la catastrophe a été évitée (du moins pour l’instant) et les indices boursiers ont repris de plus belle. Et ce dès le 4 mars : + 1,4 % pour le Dow Jones, + 2,5 % pour le Cac 40 et + 5,3 % pour l’indice moscovite. Mieux, dans la mesure où les risques d’intervention militaire russe s’estompent et où le marché du travail américain reste bien orienté, les bourses mondiales semblent sur le point de dépasser leur précédent sommet. Faut-il pour autant en déduire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes et que les marchés boursiers vont encore flamber en 2014 ? Pas forcément. Entre la poursuite de la crise ukrainienne, le maintien d’un euro trop fort et d’une croissance trop faible dans les pays de l’UEM, sans oublier une réactivation prochaine de la crise de la dette publique, les marchés financiers (bourses, obligations d’Etat, devises, matières premières) vont rester particulièrement chahutés sur l’ensemble de l’année 2014. Il faut s’y faire, les marchés boursiers vont rester abonnés aux montagnes russes au moins jusqu’à la fin 2014. Il faut juste souhaiter que cette « soupe au lait » ne devienne pas une « soupe à la grimace »…