Aux commandes de l'économie et de la finance

Etats-Unis : encore une semaine favorable.

A suivre du 16 au 20 mai : – Mardi 17, 11h (heure de Paris) : nouveau recul pour l’indice ZEW en mai. – Mardi 17, 14h30 : les mises en chantiers et les permis de construire se redressent encore en avril. – Mardi 17, 15h15 : la production industrielle américaine reste solide en avril. – Jeudi 19, 1h50 : forte chute du PIB japonais au premier trimestre. – Jeudi 19, 16h : petite hausse de l’indicateur avancé du Conference Board en avril.

Grèce : ne tirez plus sur l’ambulance…

Grèce : ne tirez plus sur l’ambulance…

Sans surprise et comme nous l’avions annoncé à plusieurs reprises dans ces mêmes colonnes, la crise de la dette publique grecque est revenue sur le devant de la scène. Est-ce la faute aux « méchants spéculateurs » ? Comme le prétendent certains. Si cette réponse est évidemment pratique, elle n’en est pas moins erronée. Certes, la spéculation existe, mais elle n’a fait que s’engouffrer dans une brèche ouverte par les erreurs récurrentes des politiques économiques menées en Grèce et surtout à l’échelle de la zone euro. Le seul moyen de sortir de cette crise réside dans la restauration d’une croissance forte, notamment grâce à un taux de change normal, ainsi que dans la baisse des dépenses publiques et un rééchelonnement de la dette. Une fois encore, la balle est dans le camp des dirigeants politiques et monétaires de l’UEM : soit, ils décident d’être pragmatiques, et la zone euro sera sauvée, soit, ils continuent de se cacher derrière leur dogmatisme idéologique et leurs faux-semblants, et l’UEM connaîtra une crise historiquement grave, qui sera aussi …la dernière.

Grèce : ne tirez plus sur l’ambulance…

Grèce : ne tirez plus sur l’ambulance…

Sans surprise et comme nous l’avions annoncé à plusieurs reprises dans ces mêmes colonnes, la crise de la dette publique grecque est revenue sur le devant de la scène. Est-ce la faute aux « méchants spéculateurs » ? Comme le prétendent certains. Si cette réponse est évidemment pratique, elle n’en est pas moins erronée. Certes, la spéculation existe, mais elle n’a fait que s’engouffrer dans une brèche ouverte par les erreurs récurrentes des politiques économiques menées en Grèce et surtout à l’échelle de la zone euro. Le seul moyen de sortir de cette crise réside dans la restauration d’une croissance forte, notamment grâce à un taux de change normal, ainsi que dans la baisse des dépenses publiques et un rééchelonnement de la dette. Une fois encore, la balle est dans le camp des dirigeants politiques et monétaires de l’UEM : soit, ils décident d’être pragmatiques, et la zone euro sera sauvée, soit, ils continuent de se cacher derrière leur dogmatisme idéologique et leurs faux-semblants, et l’UEM connaîtra une crise historiquement grave, qui sera aussi …la dernière.

Grèce : ne tirez plus sur l’ambulance…

Sans surprise et comme nous l’avions annoncé à plusieurs reprises dans ces mêmes colonnes, la crise de la dette publique grecque est revenue sur le devant de la scène. Est-ce la faute aux « méchants spéculateurs » ? Comme le prétendent certains. Si cette réponse est évidemment pratique, elle n’en est pas moins erronée. Certes, la spéculation existe, mais elle n’a fait que s’engouffrer dans une brèche ouverte par les erreurs récurrentes des politiques économiques menées en Grèce et surtout à l’échelle de la zone euro. Le seul moyen de sortir de cette crise réside dans la restauration d’une croissance forte, notamment grâce à un taux de change normal, dans la baisse des dépenses publiques et dans un rééchelonnement de la dette. Une fois encore, la balle est dans le camp des dirigeants politiques et monétaires de l’UEM : soit, ils décident d’être pragmatiques, et la zone euro sera sauvée, soit, ils continuent de se cacher derrière leur dogmatisme idéologique et leurs faux-semblants, et l’UEM connaîtra une crise historiquement grave, qui sera aussi …la dernière.

Grèce : ne tirez plus sur l’ambulance…

Sans surprise et comme nous l’avions annoncé à plusieurs reprises dans ces mêmes colonnes, la crise de la dette publique grecque est revenue sur le devant de la scène. Est-ce la faute aux « méchants spéculateurs » ? Comme le prétendent certains. Si cette réponse est évidemment pratique, elle n’en est pas moins erronée. Certes, la spéculation existe, mais elle n’a fait que s’engouffrer dans une brèche ouverte par les erreurs récurrentes des politiques économiques menées en Grèce et surtout à l’échelle de la zone euro. Le seul moyen de sortir de cette crise réside dans la restauration d’une croissance forte, notamment grâce à un taux de change normal, dans la baisse des dépenses publiques et dans un rééchelonnement de la dette. Une fois encore, la balle est dans le camp des dirigeants politiques et monétaires de l’UEM : soit, ils décident d’être pragmatiques, et la zone euro sera sauvée, soit, ils continuent de se cacher derrière leur dogmatisme idéologique et leurs faux-semblants, et l’UEM connaîtra une crise historiquement grave, qui sera aussi …la dernière.

Croissance française : ne crions pas victoire trop vite…

Croissance française : ne crions pas victoire trop vite…

Il faut le dire : la croissance française du premier trimestre 2011 est très satisfaisante. Ainsi, comme le laissaient déjà entendre les bonnes performances de la production industrielle et de la consommation en produits manufacturés sur la même période, le PIB a progressé de 1 %. Pour autant, il ne faudrait pas crier victoire trop vite. En effet, comme l’ont également montré la baisse de la production industrielle et celle des dépenses en biens manufacturés en mars, l’économie française a déjà mangé son pain blanc…

Croissance française : ne crions pas victoire trop vite…

Croissance française : ne crions pas victoire trop vite…

Il faut le dire : la croissance française du premier trimestre 2011 est très satisfaisante. Ainsi, comme le laissaient déjà entendre les bonnes performances de la production industrielle et de la consommation en produits manufacturés sur la même période, le PIB a progressé de 1 %. Pour autant, il ne faudrait pas crier victoire trop vite. En effet, comme l’ont également montré la baisse de la production industrielle et celle des dépenses en biens manufacturés en mars, l’économie française a déjà mangé son pain blanc…

Le retour du protectionnisme ?

Si l’on considère les chiffres de croissance du commerce international : 13,5 % en 2010, après une chute de 12,2% en 2009, on a tout lieu d’être satisfait. Pourtant le panorama n’est pas aussi brillant qu’on veut bien le dire. En fait, le protectionnisme s’est déplacé, du terrain commercial vers le domaine financier.

Le retour du protectionnisme ?

Si l’on considère les chiffres de croissance du commerce international : 13,5 % en 2010, après une chute de 12,2% en 2009, on a tout lieu d’être satisfait. Pourtant le panorama n’est pas aussi brillant qu’on veut bien le dire. En fait, le protectionnisme s’est déplacé, du terrain commercial vers le domaine financier.