Aux commandes de l'économie et de la finance

Paris Wermus Paris Cactus : Bonjour Monsieur le Président !

Paris Wermus Paris Cactus : Bonjour Monsieur le Président !

Pour évoquer l’élection de François Hollande à la Présidence de la République et surtout les grands enjeux qui l’attendent (notamment sur le front économique), Paul Wermus et Charlotte Savreux reçoivent Jean-Marc Morandini, Rokhaya Diallo, Gerald Dahan, Alberto Toscano et Marc Touati. 35 minutes de débat animé et très “fun”. A visualiser ci-après.

Et maintenant, Monsieur Hollande ?

Et maintenant, Monsieur Hollande ?

Et qu’est-ce qu’on fait maintenant Monsieur le nouveau Président ? Telle est la question que tous les Français, mais aussi les Européens et enfin les investisseurs du monde entier sont en droit de se poser. En effet, si la victoire de François Hollande est nette, les mesures que ce dernier va prendre dans les prochaines semaines restent encore floues, en particulier sur le front économique. De quoi aviver les inquiétudes sur l’avenir de la France et de la zone euro. Car, ne nous voilons pas la face, la tâche sera rude. Et pour cause : la récession est déjà de retour dans de nombreux pays eurolandais et ne devrait pas tarder dans l’Hexagone. La mission principale du nouveau Président réside dans la restauration de la crédibilité de la France sur la scène européenne. S’il y parvient, alors la croissance pourra revenir et la zone euro sera sauvée. Sinon, il faut malheureusement se préparer à une crise encore bien plus dramatique que celle que connaît l’Hexagone depuis 2008.

Et maintenant, Monsieur Hollande ?

Et maintenant, Monsieur Hollande ?

Et qu’est-ce qu’on fait maintenant Monsieur le nouveau Président ? Telle est la question que tous les Français, mais aussi les Européens et enfin les investisseurs du monde entier sont en droit de se poser. En effet, si la victoire de François Hollande est nette, les mesures que ce dernier va prendre dans les prochaines semaines restent encore floues, en particulier sur le front économique. De quoi aviver les inquiétudes sur l’avenir de la France et de la zone euro. Car, ne nous voilons pas la face, la tâche sera rude. Et pour cause : la récession est déjà de retour dans de nombreux pays eurolandais et ne devrait pas tarder dans l’Hexagone. La mission principale du nouveau Président réside dans la restauration de la crédibilité de la France sur la scène européenne. S’il y parvient, alors la croissance pourra revenir et la zone euro sera sauvée. Sinon, il faut malheureusement se préparer à une crise encore bien plus dramatique que celle que connaît l’Hexagone depuis 2008.

Une semaine calme.

A suivre du 7 au 11 mai : – Jeudi 10, 8h45 (heure de Paris) : la production industrielle française retrouve le chemin de la baisse en mars. – Jeudi 10, 13h : statu quo sans surprise pour le taux de base de la BoE. – Jeudi 10, 14h30 : le déficit commercial américain se creuse en mars. – Vendredi 11, 14h30 : l’indice des prix à la production aux Etats-Unis recule significativement en avril.

Une semaine calme.

A suivre du 7 au 11 mai : – Jeudi 10, 8h45 (heure de Paris) : la production industrielle française retrouve le chemin de la baisse en mars. – Jeudi 10, 13h : statu quo sans surprise pour le taux de base de la BoE. – Jeudi 10, 14h30 : le déficit commercial américain se creuse en mars. – Vendredi 11, 14h30 : l’indice des prix à la production aux Etats-Unis recule significativement en avril.

Sarkozy, Hollande, Draghi : menteurs, menteurs…

Sarkozy, Hollande, Draghi : menteurs, menteurs…

Comment les dirigeants monétaires et politiques de la zone euro veulent-ils retrouver un minimum de crédibilité s’ils ne cessent de prendre leurs concitoyens pour des « demeurés ». La semaine écoulée vient de nous en donner trois exemples cinglants. Les deux premiers nous ont été fournis lors du débat des deux « finalistes » (on se croirait presque à la Star Academy…) aux élections présidentielles. Le troisième par « Super » Mario Draghi qui risque de perdre son qualificatif élogieux plus vite que prévu. Tout d’abord, alors que les Français étaient en droit d’attendre un vrai débat et un maximum de détails sur les programmes économiques des deux candidats, nous avons assisté à des échanges musclés, parfois plein d’agressivité, notamment de la part d’un des deux, mais dont le seul but était de déstabiliser l’adversaire, sans entrer dans la profondeur de la situation française passée et surtout à venir. Comme cela s’est observé tout au cours de la campagne, nous étions donc en plein « débat » marketing, mais très loin des enjeux qui attendent la France et l’Europe au cours des prochains mois…

Sarkozy, Hollande, Draghi : menteurs, menteurs…

Sarkozy, Hollande, Draghi : menteurs, menteurs…

Comment les dirigeants monétaires et politiques de la zone euro veulent-ils retrouver un minimum de crédibilité s’ils ne cessent de prendre leurs concitoyens pour des « demeurés ». La semaine écoulée vient de nous en donner trois exemples cinglants. Les deux premiers nous ont été fournis lors du débat des deux « finalistes » (on se croirait presque à la Star Academy…) aux élections présidentielles. Le troisième par « Super » Mario Draghi qui risque de perdre son qualificatif élogieux plus vite que prévu. Tout d’abord, alors que les Français étaient en droit d’attendre un vrai débat et un maximum de détails sur les programmes économiques des deux candidats, nous avons assisté à des échanges musclés, parfois plein d’agressivité, notamment de la part d’un des deux, mais dont le seul but était de déstabiliser l’adversaire, sans entrer dans la profondeur de la situation française passée et surtout à venir. Comme cela s’est observé tout au cours de la campagne, nous étions donc en plein « débat » marketing, mais très loin des enjeux qui attendent la France et l’Europe au cours des prochains mois…