Aux commandes de l'économie et de la finance

Le financement des entreprises françaises.

Le financement des entreprises françaises.

La relance de la croissance a été depuis longtemps un objectif de notre politique économique. Cependant, une véritable croissance ne peut perdurer que si elle s’appuie sur un renforcement de l’offre autant que de la demande. Cela implique une relance des investissements réalisés par les entreprises et pose le problème de leur financement.

Le financement des entreprises françaises.

Le financement des entreprises françaises.

La relance de la croissance a été depuis longtemps un objectif de notre politique économique. Cependant, une véritable croissance ne peut perdurer que si elle s’appuie sur un renforcement de l’offre autant que de la demande. Cela implique une relance des investissements réalisés par les entreprises et pose le problème de leur financement.

La Grèce c’est nous…

La Grèce c’est nous…

Et nous voilà reparti dans la crise grecque, avec ses faux semblants, ses dangers et ses « vraies fausses » solutions. En effet, comme nous n’avons cessé de le répéter, alors que la majorité des économistes et des politiciens bien-pensants se répandaient un peu partout pour annoncer que la crise grecque et celle de la zone euro étaient terminées, rien n’a jamais été réglé. Bien au contraire. En fait, les dirigeants eurolandais ont simplement posé un gros pansement sur une plaie béante sans la cautériser. Si bien que lorsque le pansement s’effiloche, puis disparaît (comme c’est le cas aujourd’hui), la plaie est non seulement toujours là, mais elle s’est, de surcroît, infectée. Face à ce chaos, certains n’hésitent pas à ressortir les vieilles rengaines d’une sortie de la Grèce de la zone euro, qui, selon eux, permettrait de sauver l’UEM, la Grèce et tutti quanti. Soyons clairs : une telle option serait tout simplement catastrophique pour la Grèce, pour la zone euro et pour la stabilité économico-financière de la planète. La question reste donc de savoir si les dirigeants eurolandais et notamment les Français et les Allemands auront le courage, la volonté et l’intelligence de se mettre d’accord. La construction européenne ayant constamment avancé par chocs, souvent le dos au mur, il est encore possible d’espérer que l’on sortira de cette crise par le haut. Mais plus le temps passe plus la probabilité de cette issue se réduit…

La Grèce c’est nous…

La Grèce c’est nous…

Et nous voilà reparti dans la crise grecque, avec ses faux semblants, ses dangers et ses « vraies fausses » solutions. En effet, comme nous n’avons cessé de le répéter, alors que la majorité des économistes et des politiciens bien-pensants se répandaient un peu partout pour annoncer que la crise grecque et celle de la zone euro étaient terminées, rien n’a jamais été réglé. Bien au contraire. En fait, les dirigeants eurolandais ont simplement posé un gros pansement sur une plaie béante sans la cautériser. Si bien que lorsque le pansement s’effiloche, puis disparaît (comme c’est le cas aujourd’hui), la plaie est non seulement toujours là, mais elle s’est, de surcroît, infectée. Face à ce chaos, certains n’hésitent pas à ressortir les vieilles rengaines d’une sortie de la Grèce de la zone euro, qui, selon eux, permettrait de sauver l’UEM, la Grèce et tutti quanti. Soyons clairs : une telle option serait tout simplement catastrophique pour la Grèce, pour la zone euro et pour la stabilité économico-financière de la planète. La question reste donc de savoir si les dirigeants eurolandais et notamment les Français et les Allemands auront le courage, la volonté et l’intelligence de se mettre d’accord. La construction européenne ayant constamment avancé par chocs, souvent le dos au mur, il est encore possible d’espérer que l’on sortira de cette crise par le haut. Mais plus le temps passe plus la probabilité de cette issue se réduit…

Hollande : presque un sans-faute, pour l’instant…

Hollande : presque un sans-faute, pour l’instant…

Il faut le reconnaître, depuis un peu plus d’un an, François Hollande a quasiment réalisé un sans-faute. D’abord « sparring partner » de Dominique Strauss Khan, il s’est rapidement retrouvé favori des primaires socialistes après la descente aux enfers de l’ancien patron du FMI. DSK, Aubry, Sarkozy, Merkel et peut-être bientôt Obama. Rien ne semble pouvoir résister au nouveau Président français. Il a même choisi d’appliquer la stricte parité hommes-femmes au sein du nouveau gouvernement et a décidé de baisser de 30 % la rémunération de l’ensemble de l’exécutif. Bravo ! Seulement voilà, les faux-pas commencent aussi à s’accumuler : Montebourg ministre du “redressement productif”, tensions permanentes (même si elles sont masquées) avec Angela Merkel et surtout, inquiétudes sur la croissance et les déficits publics. Bref, si la foudre n’a fait que toucher l’avion de François Hollande sans gravité, elle pourrait bien s’acharner sur l’économie française dans les prochains mois et entacher sérieusement le sans-faute de notre nouveau Président. A suivre…