Au sommaire cette semaine : – Humeur : Qui sauvera la zone euro : la France ou la BCE ? – Quid de l’économie cette semaine : Obama a-t-il déjà perdu les élections ? – A suivre du 9 au 13 juillet : Déflation productive en France et aux Etats-Unis. – Nos prévisions économiques et financières pour 2012-2013.
France, BCE, Etats-Unis : où est le sauveur ? (E&S n°219)
Fillon et Copé à l’assaut de l’UMP
Après une défaite a l’élection présidentielle puis aux législatives, l’UMP rentre pleinement dans l’opposition et une nouvelle donne politique se met en place. En effet à l’instar du parti socialiste en 2007, c’est désormais l’heure de la reconstruction à droite puisqu’il faut absolument éviter de relancer ce que l’on appelle communément « la machine à perdre »…
Fillon et Copé à l’assaut de l’UMP
Après une défaite a l’élection présidentielle puis aux législatives, l’UMP rentre pleinement dans l’opposition et une nouvelle donne politique se met en place. En effet à l’instar du parti socialiste en 2007, c’est désormais l’heure de la reconstruction à droite puisqu’il faut absolument éviter de relancer ce que l’on appelle communément « la machine à perdre »…
Baisse du taux refi de la BCE : Interview sur France Info
Dominique Esway a invité Marc Touati dans son journal de l’économie pour analyser la baisse du taux refi de la BCE et ses conséquences sur la zone euro. Une baisse des taux directeurs insuffisante et trop tardive…
Baisse du taux refi de la BCE : Interview sur France Info
Dominique Esway a invité Marc Touati dans son journal de l’économie pour analyser la baisse du taux refi de la BCE et ses conséquences sur la zone euro. Une baisse des taux directeurs insuffisante et trop tardive…
Qui sauvera la zone euro : la France ou la BCE ?
Comme nous l’expliquions la semaine dernière dans cette même chronique, le sommet européen n’a permis de sauver l’Union Economique et Monétaire que pour quelques semaines. Dès le mois de septembre prochain, la crise de la dette publique et plus globalement celle de la zone euro vont reprendre de plus belle. D’ores et déjà, il faut noter qu’en dépit d’une nette baisse, les taux d’intérêt des obligations d’Etat à dix ans demeurent encore beaucoup trop élevés. La raison de cet échec qui ne dit pas son nom est malheureusement simple : au-delà du marketing et des satisfécits de façade, les dirigeants eurolandais n’ont toujours pas résolu le principal dilemme de l’UEM : comment restaurer la croissance tout en réduisant de manière crédible les déficits publics ? Le choix de la France d’augmenter les impôts pour y parvenir est voué à l’échec. Ce qui nuira encore au peu de crédibilité économique qui reste à l’Hexagone. Certes, la baisse du taux refi de la BCE va évidemment dans le bon sens. Elle est néanmoins trop tardive et surtout insuffisante, lorsque l’on voit que l’euro reste trop fort et les taux d’intérêt des obligations d’Etat trop élevés. Si la zone euro est sauvée, ce ne sera donc certainement pas grâce à la politique française, qui sera encore couronnée d’échec, mais à celle de la BCE qui, souhaitons-le, aura bientôt la permission de l’Allemagne d’aller plus loin et notamment d’acheter de la dette publique en direct.
Qui sauvera la zone euro : la France ou la BCE ?
Comme nous l’expliquions la semaine dernière dans cette même chronique, le sommet européen n’a permis de sauver l’Union Economique et Monétaire que pour quelques semaines. Dès le mois de septembre prochain, la crise de la dette publique et plus globalement celle de la zone euro vont reprendre de plus belle. D’ores et déjà, il faut noter qu’en dépit d’une nette baisse, les taux d’intérêt des obligations d’Etat à dix ans demeurent encore beaucoup trop élevés. La raison de cet échec qui ne dit pas son nom est malheureusement simple : au-delà du marketing et des satisfécits de façade, les dirigeants eurolandais n’ont toujours pas résolu le principal dilemme de l’UEM : comment restaurer la croissance tout en réduisant de manière crédible les déficits publics ? Le choix de la France d’augmenter les impôts pour y parvenir est voué à l’échec. Ce qui nuira encore au peu de crédibilité économique qui reste à l’Hexagone. Certes, la baisse du taux refi de la BCE va évidemment dans le bon sens. Elle est néanmoins trop tardive et surtout insuffisante, lorsque l’on voit que l’euro reste trop fort et les taux d’intérêt des obligations d’Etat trop élevés. Si la zone euro est sauvée, ce ne sera donc certainement pas grâce à la politique française, qui sera encore couronnée d’échec, mais à celle de la BCE qui, souhaitons-le, aura bientôt la permission de l’Allemagne d’aller plus loin et notamment d’acheter de la dette publique en direct.
La rigueur à la française en préparation sur Europe 1
Dans son émission Europe 1 soir, Nicolas Poincaré a reçu Martial You et Marc Touati pour analyser les enjeux du rapport de la Cour des Comptes et les risques qui pèsent sur l’économie française. Rigueur, fiscalité, dépenses publiques, crédibilité… un débat clair, pédagogique et sans concession…
La rigueur à la française en préparation sur Europe 1
Dans son émission Europe 1 soir, Nicolas Poincaré a reçu Martial You et Marc Touati pour analyser les enjeux du rapport de la Cour des Comptes et les risques qui pèsent sur l’économie française. Rigueur, fiscalité, dépenses publiques, crédibilité… un débat clair, pédagogique et sans concession…
Le réalisme de gauche, mode d’emploi.
Jean-Marc Ayrault prononce ce mardi son discours de politique générale. Lundi, la Cour des comptes a remis au gouvernement un rapport qui estime à 33 milliards d’euros les économies à trouver pour que la France tienne ses engagements en termes de déficit budgétaire en 2013. Comment le gouvernement va t-il y parvenir ? Le site Atlantico a posé la question à Agnès Verdier-Molinié, Sophie Pedder, Aurélien Véron et Marc Touati. Interviews croisées ci-après