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Fillon et Copé à l’assaut de l’UMP

Fillon et Copé  à l’assaut de l’UMP

Après une défaite a l’élection présidentielle puis aux législatives, l’UMP rentre pleinement dans l’opposition et une nouvelle donne politique se met en place. En effet à l’instar du parti socialiste en 2007, c’est désormais l’heure de la reconstruction à droite puisqu’il faut absolument éviter de relancer ce que l’on appelle communément « la machine à perdre »…

Fillon et Copé à l’assaut de l’UMP

Fillon et Copé  à l’assaut de l’UMP

Après une défaite a l’élection présidentielle puis aux législatives, l’UMP rentre pleinement dans l’opposition et une nouvelle donne politique se met en place. En effet à l’instar du parti socialiste en 2007, c’est désormais l’heure de la reconstruction à droite puisqu’il faut absolument éviter de relancer ce que l’on appelle communément « la machine à perdre »…

Qui sauvera la zone euro : la France ou la BCE ?

Qui sauvera la zone euro : la France ou la BCE ?

Comme nous l’expliquions la semaine dernière dans cette même chronique, le sommet européen n’a permis de sauver l’Union Economique et Monétaire que pour quelques semaines. Dès le mois de septembre prochain, la crise de la dette publique et plus globalement celle de la zone euro vont reprendre de plus belle. D’ores et déjà, il faut noter qu’en dépit d’une nette baisse, les taux d’intérêt des obligations d’Etat à dix ans demeurent encore beaucoup trop élevés. La raison de cet échec qui ne dit pas son nom est malheureusement simple : au-delà du marketing et des satisfécits de façade, les dirigeants eurolandais n’ont toujours pas résolu le principal dilemme de l’UEM : comment restaurer la croissance tout en réduisant de manière crédible les déficits publics ? Le choix de la France d’augmenter les impôts pour y parvenir est voué à l’échec. Ce qui nuira encore au peu de crédibilité économique qui reste à l’Hexagone. Certes, la baisse du taux refi de la BCE va évidemment dans le bon sens. Elle est néanmoins trop tardive et surtout insuffisante, lorsque l’on voit que l’euro reste trop fort et les taux d’intérêt des obligations d’Etat trop élevés. Si la zone euro est sauvée, ce ne sera donc certainement pas grâce à la politique française, qui sera encore couronnée d’échec, mais à celle de la BCE qui, souhaitons-le, aura bientôt la permission de l’Allemagne d’aller plus loin et notamment d’acheter de la dette publique en direct.

Qui sauvera la zone euro : la France ou la BCE ?

Qui sauvera la zone euro : la France ou la BCE ?

Comme nous l’expliquions la semaine dernière dans cette même chronique, le sommet européen n’a permis de sauver l’Union Economique et Monétaire que pour quelques semaines. Dès le mois de septembre prochain, la crise de la dette publique et plus globalement celle de la zone euro vont reprendre de plus belle. D’ores et déjà, il faut noter qu’en dépit d’une nette baisse, les taux d’intérêt des obligations d’Etat à dix ans demeurent encore beaucoup trop élevés. La raison de cet échec qui ne dit pas son nom est malheureusement simple : au-delà du marketing et des satisfécits de façade, les dirigeants eurolandais n’ont toujours pas résolu le principal dilemme de l’UEM : comment restaurer la croissance tout en réduisant de manière crédible les déficits publics ? Le choix de la France d’augmenter les impôts pour y parvenir est voué à l’échec. Ce qui nuira encore au peu de crédibilité économique qui reste à l’Hexagone. Certes, la baisse du taux refi de la BCE va évidemment dans le bon sens. Elle est néanmoins trop tardive et surtout insuffisante, lorsque l’on voit que l’euro reste trop fort et les taux d’intérêt des obligations d’Etat trop élevés. Si la zone euro est sauvée, ce ne sera donc certainement pas grâce à la politique française, qui sera encore couronnée d’échec, mais à celle de la BCE qui, souhaitons-le, aura bientôt la permission de l’Allemagne d’aller plus loin et notamment d’acheter de la dette publique en direct.

Le réalisme de gauche, mode d’emploi.

Le réalisme de gauche, mode d’emploi.

Jean-Marc Ayrault prononce ce mardi son discours de politique générale. Lundi, la Cour des comptes a remis au gouvernement un rapport qui estime à 33 milliards d’euros les économies à trouver pour que la France tienne ses engagements en termes de déficit budgétaire en 2013. Comment le gouvernement va t-il y parvenir ? Le site Atlantico a posé la question à Agnès Verdier-Molinié, Sophie Pedder, Aurélien Véron et Marc Touati. Interviews croisées ci-après