Aux commandes de l'économie et de la finance

Place Beauvau : le grand carna-Valls !

Place Beauvau : le grand carna-Valls !

Le thème de la sécurité est depuis longtemps un enjeu politique majeur dans notre pays. On se souvient par exemple de Charles Pasqua qui, en son temps, souhaitait « terroriser les terroristes » et qui par ses méthodes renforça l’idée d’une droite répressive. Manuel Valls, l’actuel premier flic de France, apparaît comme le plus à droite des ministres du gouvernement Ayrault et nombreux sont ceux à l’UMP qui ne tarissent pas d’éloges à son égard…

La crise n’est plus économique, mais sociale.

La crise n’est plus économique, mais sociale.

Les dirigeants politiques et monétaires de la zone euro, des Etats-Unis ou encore du Japon se veulent de plus en plus formels : la situation économique est sous-contrôle et la crise est bientôt finie. A les écouter, les dernières décisions de la Fed, de la BCE et de la Banque du Japon sont sur le point de mettre un terme définitif à la tempête qui secoue la sphère économico-financière depuis plus de cinq ans. Seulement voilà, n’en déplaise à tous ces « diseurs de bonne aventure », la situation effective est bien plus compliquée. Ces tentatives de la dernière chance risquent effectivement de s’avérer vaines, en particulier aux Etats-Unis et dans l’Archipel nippon où la « trappe à liquidités » s’est installée. En effet, il ne sert à rien d’injecter du « cash » dans l’économie ou de prêter aux banques et/ou aux Etats à bon compte, si les entreprises et les ménages ont perdu confiance. En Europe et en France en particulier,l’attentisme des dirigeants, la récession et la flambée du chômage ont déjà transformé la crise économique en crise sociale, avec tous les risques que cela engendre pour la stabilité sociétale de nos pays. Oui MM. Hollande et Ayrault, l’heure est grave…

La crise n’est plus économique, mais sociale.

La crise n’est plus économique, mais sociale.

Les dirigeants politiques et monétaires de la zone euro, des Etats-Unis ou encore du Japon se veulent de plus en plus formels : la situation économique est sous-contrôle et la crise est bientôt finie. A les écouter, les dernières décisions de la Fed, de la BCE et de la Banque du Japon sont sur le point de mettre un terme définitif à la tempête qui secoue la sphère économico-financière depuis plus de cinq ans. Seulement voilà, n’en déplaise à tous ces « diseurs de bonne aventure », la situation effective est bien plus compliquée. Ces tentatives de la dernière chance risquent effectivement de s’avérer vaines, en particulier aux Etats-Unis et dans l’Archipel nippon où la « trappe à liquidités » s’est installée. En effet, il ne sert à rien d’injecter du « cash » dans l’économie ou de prêter aux banques et/ou aux Etats à bon compte, si les entreprises et les ménages ont perdu confiance. En Europe et en France en particulier,l’attentisme des dirigeants, la récession et la flambée du chômage ont déjà transformé la crise économique en crise sociale, avec tous les risques que cela engendre pour la stabilité sociétale de nos pays. Oui MM. Hollande et Ayrault, l’heure est grave…

La zone euro s’enlise dans la récession.

A suivre du 17 au 21 septembre : – Mardi 18, 11h (heure de Paris) : l’indice ZEW ne baisse plus, mais reste bas. – Mercredi 19, 14h30 : Vers une quasi-stabilisation des mises en chantier outre-Atlantique. – Jeudi 20, 10h : les directeurs d’achat de la zone euro continuent de broyer du noir. – Jeudi 20, 14h30 : les indicateurs avancés de la conjoncture américaine restent inquiétants.

La zone euro s’enlise dans la récession.

A suivre du 17 au 21 septembre : – Mardi 18, 11h (heure de Paris) : l’indice ZEW ne baisse plus, mais reste bas. – Mercredi 19, 14h30 : Vers une quasi-stabilisation des mises en chantier outre-Atlantique. – Jeudi 20, 10h : les directeurs d’achat de la zone euro continuent de broyer du noir. – Jeudi 20, 14h30 : les indicateurs avancés de la conjoncture américaine restent inquiétants.

Hollande se mouille dans la tempête…

Hollande se mouille dans la tempête…

« On se réveille ?» (le Point), « Et si Sarkozy avait eu raison » (l’Express), « Sont-ils si nuls ?» (le Nouvel Observateur). Sans parler de lynchage médiatique, il est manifeste que François Hollande est sérieusement mis à mal par la presse. Malheureusement pour lui, les médias reflètent un sentiment qui semble majoritaire dans le pays. En effet la baisse de popularité du Président s’accélère avec 56 % de mécontents soit près de six français sur dix…

Hollande se mouille dans la tempête…

Hollande se mouille dans la tempête…

« On se réveille ?» (le Point), « Et si Sarkozy avait eu raison » (l’Express), « Sont-ils si nuls ?» (le Nouvel Observateur). Sans parler de lynchage médiatique, il est manifeste que François Hollande est sérieusement mis à mal par la presse. Malheureusement pour lui, les médias reflètent un sentiment qui semble majoritaire dans le pays. En effet la baisse de popularité du Président s’accélère avec 56 % de mécontents soit près de six français sur dix…

L’Allemagne a encore sauvé la zone euro… pour trois mois.

L’Allemagne a encore sauvé la zone euro… pour trois mois.

Angela Merkel a de quoi pavoiser : en un peu plus de trois ans, elle a participé à pas moins de dix plans de sauvetage de la zone euro. Les Sarkozy, Berlusconi, Monti et Draghi peuvent aller se rhabiller. Il faut dire que la Chancelière allemande est le seul dirigeant eurolandais à avoir traversé les quatre dernières années de crise dans leur totalité. Mieux, en dépit des critiques et de certaines apparences, Mme Merkel a réussi à ancrer l’UEM dans une conception allemande de l’économie. Ainsi, l’Allemagne est définitivement devenue la locomotive économique, financière et politique de la zone euro. La raison de cette triple domination est simple : au cours des dix dernières années, nos voisins germaniques sont les seuls à avoir tenu leurs engagements en termes de modernisation de leurs structures économiques, d’assainissement des dépenses publiques et de réduction des déficits. Bien loin de ce sens du sacrifice et de la responsabilité, la France n’a cessé d’augmenter le poids des dépenses publiques dans le PIB et de refuser de modernisation son économie, en particulier son marché du travail. Dans ce cadre, alors qu’il y a encore une décennie, la France pouvait imposer sa voix devant celle de l’Allemagne à l’ensemble de la zone euro, elle est aujourd’hui contrainte de courber l’échine. Dans trois mois au plus tard, la situation risque de redevenir explosive…