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L’Europe monétaire à la croisée des chemins…

La crise grecque a déjà agi comme un révélateur des fragilités de la zone euro. Une des premières conséquences de cette crise a été de faire apparaître une éventualité qui n’avait pas été prévue par le traité de Maastricht, à savoir : la sortie provisoire (« mise en congé ») ou définitive d’une monnaie de la zone euro. De ce fait, les conséquences d’un tel évènement, non prévu, n’ont été ni étudiées ni anticipées. Que se passera t-il si la Grèce quitte la zone euro ?

L’Europe monétaire à la croisée des chemins…

La crise grecque a déjà agi comme un révélateur des fragilités de la zone euro. Une des premières conséquences de cette crise a été de faire apparaître une éventualité qui n’avait pas été prévue par le traité de Maastricht, à savoir : la sortie provisoire (« mise en congé ») ou définitive d’une monnaie de la zone euro. De ce fait, les conséquences d’un tel évènement, non prévu, n’ont été ni étudiées ni anticipées. Que se passera t-il si la Grèce quitte la zone euro ?

La Grèce doit-elle sortir de l’euro ?

Les chiffres publiés récemment sont éloquents : l’endettement public de la Grèce dépasse 150% du PIB contre 100 % en 2008, ce qui équivaut à environ 350 milliards d’euros. Dans le même temps, la récession économique devrait atteindre 3% en 2011, diminuant d’autant les recettes fiscales collectées par l’Etat grec…

La Grèce doit-elle sortir de l’euro ?

Les chiffres publiés récemment sont éloquents : l’endettement public de la Grèce dépasse 150% du PIB contre 100 % en 2008, ce qui équivaut à environ 350 milliards d’euros. Dans le même temps, la récession économique devrait atteindre 3% en 2011, diminuant d’autant les recettes fiscales collectées par l’Etat grec…

Le retour du protectionnisme ?

Si l’on considère les chiffres de croissance du commerce international : 13,5 % en 2010, après une chute de 12,2% en 2009, on a tout lieu d’être satisfait. Pourtant le panorama n’est pas aussi brillant qu’on veut bien le dire. En fait, le protectionnisme s’est déplacé, du terrain commercial vers le domaine financier.

Le retour du protectionnisme ?

Si l’on considère les chiffres de croissance du commerce international : 13,5 % en 2010, après une chute de 12,2% en 2009, on a tout lieu d’être satisfait. Pourtant le panorama n’est pas aussi brillant qu’on veut bien le dire. En fait, le protectionnisme s’est déplacé, du terrain commercial vers le domaine financier.