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France : c’est maintenant ou jamais…

France : c’est maintenant ou jamais…

Pour beaucoup d’observateurs, la non-dégradation de la France par l’agence Moody’s le 24 janvier dernier a été une réelle surprise. Il faut croire en effet que le lobbysme du gouvernement français et l’apparent tournant « social-démocrate » de François Hollande ont porté leur fruit. Mais cette clairvoyance ne pourra cependant pas durer. Car qu’on se le dise, la reprise qui s’amorce dans certains Etats de la périphérie européenne participe clairement à une redistribution des cartes. Et dans ce contexte, il sera difficile pour la France de tirer son épingle du jeu…

France : c’est maintenant ou jamais…

France : c’est maintenant ou jamais…

Pour beaucoup d’observateurs, la non-dégradation de la France par l’agence Moody’s le 24 janvier dernier a été une réelle surprise. Il faut croire en effet que le lobbysme du gouvernement français et l’apparent tournant « social-démocrate » de François Hollande ont porté leur fruit. Mais cette clairvoyance ne pourra cependant pas durer. Car qu’on se le dise, la reprise qui s’amorce dans certains Etats de la périphérie européenne participe clairement à une redistribution des cartes. Et dans ce contexte, il sera difficile pour la France de tirer son épingle du jeu…

La douloureuse trajectoire budgétaire française de 2013

La douloureuse trajectoire budgétaire française de 2013

Souvenez-vous, c’était il y a un peu plus d’un an. Le projet de loi de finance 2013, élaboré en octobre 2012, fixait un objectif de déficit budgétaire de 3% du PIB. Les économistes furent alors très sceptiques quant à l’atteinte d’un tel objectif. Rendez-vous compte, passer d’un déficit public de 4,8% du PIB en 2012 à 3% en 2013… Un effort encore jamais vu dans l’histoire de France…

La douloureuse trajectoire budgétaire française de 2013

La douloureuse trajectoire budgétaire française de 2013

Souvenez-vous, c’était il y a un peu plus d’un an. Le projet de loi de finance 2013, élaboré en octobre 2012, fixait un objectif de déficit budgétaire de 3% du PIB. Les économistes furent alors très sceptiques quant à l’atteinte d’un tel objectif. Rendez-vous compte, passer d’un déficit public de 4,8% du PIB en 2012 à 3% en 2013… Un effort encore jamais vu dans l’histoire de France…

La France encore dégradée, mais toujours pas réformée

La France encore dégradée, mais toujours pas réformée

La nouvelle dégradation de la note de la France par Moody’s qui devrait intervenir ce soir n’est pas une surprise. Même si elle sera limitée, elle n’est qu’une conséquence logique du non-respect des engagements du gouvernement français en matière de réduction des déficits publics, des dépenses publiques, mais aussi de retour de la croissance et de baisse du chômage. Conscient de ces dérapages, c’est d’ailleurs en partie pour éviter une trop forte dégradation de la note de la France et essayer d’en éviter les impacts négatifs, que François Hollande a décidé d’engager son « pacte de responsabilité ». Mais cela risque d’être insuffisant…

La France encore dégradée, mais toujours pas réformée

La France encore dégradée, mais toujours pas réformée

La nouvelle dégradation de la note de la France par Moody’s qui devrait intervenir ce soir n’est pas une surprise. Même si elle sera limitée, elle n’est qu’une conséquence logique du non-respect des engagements du gouvernement français en matière de réduction des déficits publics, des dépenses publiques, mais aussi de retour de la croissance et de baisse du chômage. Conscient de ces dérapages, c’est d’ailleurs en partie pour éviter une trop forte dégradation de la note de la France et essayer d’en éviter les impacts négatifs, que François Hollande a décidé d’engager son « pacte de responsabilité ». Mais cela risque d’être insuffisant…

La « reprise » déjà menacée par la déflation…

La « reprise » déjà menacée par la déflation…

Après plusieurs années de vaches maigres, de nombreux Etats européens semblent enfin renouer avec des perspectives de croissance positives. Mais déjà, de nouveaux risques apparaissent. Et le danger principal se nomme déflation. La matérialisation de ce risque pourrait en effet constituer un véritable frein à une reprise des plus balbutiantes. Car s’il existe des méthodes pour traiter les crises économiques, la déflation est pour sa part un fléau dont il est très difficile de sortir.

La « reprise » déjà menacée par la déflation…

La « reprise » déjà menacée par la déflation…

Après plusieurs années de vaches maigres, de nombreux Etats européens semblent enfin renouer avec des perspectives de croissance positives. Mais déjà, de nouveaux risques apparaissent. Et le danger principal se nomme déflation. La matérialisation de ce risque pourrait en effet constituer un véritable frein à une reprise des plus balbutiantes. Car s’il existe des méthodes pour traiter les crises économiques, la déflation est pour sa part un fléau dont il est très difficile de sortir.