L’humeur de la semaine

Patrimoine, budget, croissance : Pauvre France !

Patrimoine, budget, croissance : Pauvre France !

Après la déplorable affaire Cahuzac et la mascarade du patrimoine des Ministres, le gouvernement français essaie encore de nous endormir. On ne peut donc que constater la débauche de moyens marketing pour essayer de nous faire croire que tout va bien dans notre douce France. L’enchaînement des évènements est presque parfait : d’abord, nous avons appris qu’à l’exception de 8 d’entre eux, tous les ministres actuels de la République française n’ont quasiment pas de patrimoine, voire qu’ils ont du mal à joindre les deux bouts. Quelle tristesse ! Le lendemain, ce fut au tour de Jérôme Cahuzac de faire son mea culpa avec des larmes de crocodiles particulièrement pathétiques et bien peu crédibles. Enfin, avec un aplomb incroyable, Pierre Moscovici, le ministre de l’Economie pour encore quelque temps, a affirmé que la France allait tenir ses engagements, que la croissance allait très vite revenir et que les déficits publics allaient fondre. En un mot : formidable ! Seulement voilà, avec les prévisions économiques du gouvernement (celui-ci comme ses prédécesseurs d’ailleurs), c’est un peu toujours la même rengaine : on aimerait bien y croire, mais chacun sait que les promesses ne seront pas tenues. Plus que jamais la pétition www.SauvezLaFrance.com est une véritable nécessité. Elle fonctionne déjà très bien. Mais l’omerta française et les ravages du politiquement correct en limite encore la portée. Ce n’est certes qu’une question de temps, mais le problème est que d’ici l’automne prochain, il sera déjà trop tard et la France ne pourra plus éviter le chaos. Avouons que cela serait vraiment dommage…

Patrimoine, budget, croissance : Pauvre France !

Patrimoine, budget, croissance : Pauvre France !

Après la déplorable affaire Cahuzac et la mascarade du patrimoine des Ministres, le gouvernement français essaie encore de nous endormir. On ne peut donc que constater la débauche de moyens marketing pour essayer de nous faire croire que tout va bien dans notre douce France. L’enchaînement des évènements est presque parfait : d’abord, nous avons appris qu’à l’exception de 8 d’entre eux, tous les ministres actuels de la République française n’ont quasiment pas de patrimoine, voire qu’ils ont du mal à joindre les deux bouts. Quelle tristesse ! Le lendemain, ce fut au tour de Jérôme Cahuzac de faire son mea culpa avec des larmes de crocodiles particulièrement pathétiques et bien peu crédibles. Enfin, avec un aplomb incroyable, Pierre Moscovici, le ministre de l’Economie pour encore quelque temps, a affirmé que la France allait tenir ses engagements, que la croissance allait très vite revenir et que les déficits publics allaient fondre. En un mot : formidable ! Seulement voilà, avec les prévisions économiques du gouvernement (celui-ci comme ses prédécesseurs d’ailleurs), c’est un peu toujours la même rengaine : on aimerait bien y croire, mais chacun sait que les promesses ne seront pas tenues. Plus que jamais la pétition www.SauvezLaFrance.com est une véritable nécessité. Elle fonctionne déjà très bien. Mais l’omerta française et les ravages du politiquement correct en limite encore la portée. Ce n’est certes qu’une question de temps, mais le problème est que d’ici l’automne prochain, il sera déjà trop tard et la France ne pourra plus éviter le chaos. Avouons que cela serait vraiment dommage…

SauvezlaFrance.com

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« Mais faites quelque chose, bon sang ! » Devant l’attentisme de nos dirigeants et face aux multiples crises que rencontre la France depuis deux décennies, combien de fois ce cri du cœur n’a-t-il pas été lancé ? D’ailleurs, c’est à force d’entendre cette remarque et devant le peu de réaction des dirigeants français que j’ai écrit « le dictionnaire terrifiant de la dette » de manière à sensibiliser les Français sur les dangers qui nous menacent. Aujourd’hui, dans le prolongement du succès de ce livre et pour répondre aux nombreuses demandes qui m’ont été adressées en ce sens, j’ai décidé de lancer une pétition sur Internet : www.SauvezlaFrance.com. Celle-ci demande “simplement” au gouvernement français d’abaisser au plus vite le poids des impôts et des dépenses publiques dans le PIB vers le niveau moyen qui prévaut dans la zone euro, en l’occurrence 41 % et 49 %, contre actuellement 46 % et 57 % dans l’Hexagone (estimations 2013). Ces poids sont devenus insupportables et ruinent l’avenir de la France. Alors disons Non ! au dogmatisme et Oui ! au retour de la croissance dans notre beau pays. Oui, je signe la pétition pour que, d’ici 2017, en France, le poids des dépenses publiques dans le PIB passe de 57 % à 49 % et celui des prélèvements obligatoires reculent de 46 % à 41 % ! Merci pour nos enfants.

SauvezlaFrance.com

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« Mais faites quelque chose, bon sang ! » Devant l’attentisme de nos dirigeants et face aux multiples crises que rencontre la France depuis deux décennies, combien de fois ce cri du cœur n’a-t-il pas été lancé ? D’ailleurs, c’est à force d’entendre cette remarque et devant le peu de réaction des dirigeants français que j’ai écrit « le dictionnaire terrifiant de la dette » de manière à sensibiliser les Français sur les dangers qui nous menacent. Aujourd’hui, dans le prolongement du succès de ce livre et pour répondre aux nombreuses demandes qui m’ont été adressées en ce sens, j’ai décidé de lancer une pétition sur Internet : www.SauvezlaFrance.com. Celle-ci demande “simplement” au gouvernement français d’abaisser au plus vite le poids des impôts et des dépenses publiques dans le PIB vers le niveau moyen qui prévaut dans la zone euro, en l’occurrence 41 % et 49 %, contre actuellement 46 % et 57 % dans l’Hexagone (estimations 2013). Ces poids sont devenus insupportables et ruinent l’avenir de la France. Alors disons Non ! au dogmatisme et Oui ! au retour de la croissance dans notre beau pays. Oui, je signe la pétition pour que, d’ici 2017, en France, le poids des dépenses publiques dans le PIB passe de 57 % à 49 % et celui des prélèvements obligatoires reculent de 46 % à 41 % ! Merci pour nos enfants.

Chômage, Chypre, Cahuzac, Corée : la malédiction du C…

Chômage, Chypre, Cahuzac, Corée : la malédiction du C…

Flambée du chômage, crise financière et sociale à Chypre, scandale Cahuzac, bruits de bottes en Corée. Au cours des dernières semaines et en particulier des derniers jours, l’actualité économico-politico-financière française et internationale a été dominée par quatre catastrophes. Hasard ou coïncidence, elles commencent toutes par la lettre « C ». Une vraie malédiction en quelque sorte. En fait, au-delà de leur initiale, ces quatre drames ont deux autres points communs : le mensonge et la manipulation. Dans le cas Cahuzac, il n’est évidemment pas nécessaire de faire un dessin. Tout a été dit et redit. Nous n’ajouterons donc pas à la polémique, mais soulignerons simplement qu’il ne sert à rien et qu’il est surtout très dangereux de s’obstiner dans le mensonge. Attention aussi à ne pas tomber dans le piège du populisme et du désordre politique. Une fois encore, le manque de culture économique qui prévaut dans l’Hexagone peut faire pas mal de ravages. Face à ces catastrophes financières, économiques, sociales et politiques, il est donc urgent d’agir, notamment en restaurant la croissance et par là même la crédibilité des dirigeants du pays. Sinon, le chaos va vraiment finir par s’installer dans notre douce France.

Chômage, Chypre, Cahuzac, Corée : la malédiction du C…

Chômage, Chypre, Cahuzac, Corée : la malédiction du C…

Flambée du chômage, crise financière et sociale à Chypre, scandale Cahuzac, bruits de bottes en Corée. Au cours des dernières semaines et en particulier des derniers jours, l’actualité économico-politico-financière française et internationale a été dominée par quatre catastrophes. Hasard ou coïncidence, elles commencent toutes par la lettre « C ». Une vraie malédiction en quelque sorte. En fait, au-delà de leur initiale, ces quatre drames ont deux autres points communs : le mensonge et la manipulation. Dans le cas Cahuzac, il n’est évidemment pas nécessaire de faire un dessin. Tout a été dit et redit. Nous n’ajouterons donc pas à la polémique, mais soulignerons simplement qu’il ne sert à rien et qu’il est surtout très dangereux de s’obstiner dans le mensonge. Attention aussi à ne pas tomber dans le piège du populisme et du désordre politique. Une fois encore, le manque de culture économique qui prévaut dans l’Hexagone peut faire pas mal de ravages. Face à ces catastrophes financières, économiques, sociales et politiques, il est donc urgent d’agir, notamment en restaurant la croissance et par là même la crédibilité des dirigeants du pays. Sinon, le chaos va vraiment finir par s’installer dans notre douce France.

France : une journée en enfer…

France : une journée en enfer…

Etant actuellement à l’étranger, mais compte tenu de la publicité gratuite réalisée par l’INSEE et le gouvernement pour “Le dictionnaire terrifiant de la dette”, je suis contraint de rédiger une rapide humeur sur le nouveau dérapage des comptes publics français et plus globalement de l’économie hexagonale. En effet, après la prestation décevante du Président Hollande, notamment sur le front économique, les statistiques publiées aujourd’hui dans l’Hexagone sont tout simplement catastrophiques : déficit public à 4,8% du PIB, dette à 90,2%, ratio dépenses publiques/PIB de 56,6% (un record historique !), nouvelle baisse de la consommation des ménages. Bref, c’est véritablement une “journée en enfer” pour l’économie française. Et malheureusement, Bruce Willis n’est pas là pour sauver la France du chaos…

France : une journée en enfer…

France : une journée en enfer…

Etant actuellement à l’étranger, mais compte tenu de la publicité gratuite réalisée par l’INSEE et le gouvernement pour “Le dictionnaire terrifiant de la dette”, je suis contraint de rédiger une rapide humeur sur le nouveau dérapage des comptes publics français et plus globalement de l’économie hexagonale. En effet, après la prestation décevante du Président Hollande, notamment sur le front économique, les statistiques publiées aujourd’hui dans l’Hexagone sont tout simplement catastrophiques : déficit public à 4,8% du PIB, dette à 90,2%, ratio dépenses publiques/PIB de 56,6% (un record historique !), nouvelle baisse de la consommation des ménages. Bref, c’est véritablement une “journée en enfer” pour l’économie française. Et malheureusement, Bruce Willis n’est pas là pour sauver la France du chaos…

Chypre : la peur est de retour…

Chypre : la peur est de retour…

C R I S E = Chypre Russie Imf (FMI en anglais) Surendettement Euro. Tel est donc le nouveau visage de la crise depuis quelques jours. Et pour cause : alors que certains ne cessent d’annoncer sa fin imminente depuis des mois, voire des années, la crise de la dette publique et, plus globalement, celle de la zone euro ont repris du poil de la bête depuis une semaine. Le pire est que ce retour en force de la peur n’est pas lié aux marchés financiers, ni même aux méchants spéculateurs, qui se font d’ailleurs de plus en plus discrets depuis quelques mois. Non, comme souvent depuis le début de la crise grecque, ce sont les dirigeants européens et ceux du FMI qui ont mis de l’huile sur le feu et ravivé les braises toujours incandescentes d’une crise qui dure depuis bientôt six ans. Ainsi, plutôt que de calmer le jeu et d’essayer d’apaiser les tensions, notamment sociales, ces personnes a priori très intelligentes ont tout simplement voulu imposer à un pays de la zone euro de spolier ses épargnants en taxant l’ensemble des dépôts dans les banques chypriotes. Réalisant le lendemain la gravité de leur erreur, ils se sont ensuite lancés dans un exercice de rétropédalage aussi pitoyable qu’inefficace. Car, même si, fort heureusement, le Parlement de Chypre a rejeté ce projet, le mal est fait. La boîte de Pandore a été entrouverte et la suspicion s’est imposée. Autrement dit, de par leur décision irresponsable, l’Union Européenne et le FMI ont réactivé la crise bancaire et plus globalement la crise existentielle de la zone euro. Pis, en titillant « l’ours russe », ils ont pris le risque d’engager une crise géopolitique majeure qui pourrait avoir des conséquences particulièrement néfastes pour la stabilité de l’ensemble de l’Europe, de l’Atlantique à l’Oural.

Chypre : la peur est de retour…

Chypre : la peur est de retour…

C R I S E = Chypre Russie Imf (FMI en anglais) Surendettement Euro. Tel est donc le nouveau visage de la crise depuis quelques jours. Et pour cause : alors que certains ne cessent d’annoncer sa fin imminente depuis des mois, voire des années, la crise de la dette publique et, plus globalement, celle de la zone euro ont repris du poil de la bête depuis une semaine. Le pire est que ce retour en force de la peur n’est pas lié aux marchés financiers, ni même aux méchants spéculateurs, qui se font d’ailleurs de plus en plus discrets depuis quelques mois. Non, comme souvent depuis le début de la crise grecque, ce sont les dirigeants européens et ceux du FMI qui ont mis de l’huile sur le feu et ravivé les braises toujours incandescentes d’une crise qui dure depuis bientôt six ans. Ainsi, plutôt que de calmer le jeu et d’essayer d’apaiser les tensions, notamment sociales, ces personnes a priori très intelligentes ont tout simplement voulu imposer à un pays de la zone euro de spolier ses épargnants en taxant l’ensemble des dépôts dans les banques chypriotes. Réalisant le lendemain la gravité de leur erreur, ils se sont ensuite lancés dans un exercice de rétropédalage aussi pitoyable qu’inefficace. Car, même si, fort heureusement, le Parlement de Chypre a rejeté ce projet, le mal est fait. La boîte de Pandore a été entrouverte et la suspicion s’est imposée. Autrement dit, de par leur décision irresponsable, l’Union Européenne et le FMI ont réactivé la crise bancaire et plus globalement la crise existentielle de la zone euro. Pis, en titillant « l’ours russe », ils ont pris le risque d’engager une crise géopolitique majeure qui pourrait avoir des conséquences particulièrement néfastes pour la stabilité de l’ensemble de l’Europe, de l’Atlantique à l’Oural.