L’humeur de la semaine

France, zone euro : Croissance, croissance !!

France, zone euro : Croissance, croissance !!

0,3 %. C’est le chiffre du jour pour l’économie française. En effet, après avoir stagné au troisième trimestre (contre une baisse de 0,1 % annoncée initialement), le PIB hexagonal a progressé de 0,3 % au quatrième trimestre (exactement le même résultat que pour la zone euro). Grâce à cette « performance » plutôt attendue, son augmentation a également atteint 0,3 % sur l’ensemble de l’année 2013. Enfin, au sortir du quatrième trimestre, l’acquis de croissance du PIB français est de 0,3 % pour 2014. Ah, la magie du chiffre… Face à de telles évolutions, on aurait presque envie de croire aux prédictions de MM. Hollande, Ayrault, Moscovici et autres magiciens du gouvernement. « La crise est finie », « la reprise est là » n’ont-ils par arrêté de nous martelé pendant des mois. Et si, après bientôt deux ans d’erreurs, ils avaient enfin raison ? Bien entendu, en tant que Français qui aime son pays, nous aimerions répondre positivement à cette question. Seulement voilà, si nous sommes patriotes, nous sommes aussi réalistes et conscients que les déceptions issues de la méthode Coué peuvent être bien plus dramatiques que la vérité, aussi difficile soit-elle à entendre. Autrement dit, même en faisant l’hypothèse hautement optimiste que les statistiques de l’INSEE sont parfaitement fiables, les résultats passés et à venir de l’économie française ne permettent aucunement de dire que cette dernière est sur la voie d’une reprise durable et soutenue. Selon nos prévisions, la croissance hexagonale oscillera entre 0,7 % et 1 % en 2014. Or, pour pouvoir créer des emplois, faire baisser le chômage et rembourser les intérêts de la dette publique sans avoir à s’endetter davantage, il faut au moins 1,5 % de croissance durablement. Nous en sommes encore très loin, et les atermoiements autour du pacte de responsabilité, de la baisse des dépenses publiques et de la fiscalité confirment malheureusement que 2014 sera encore une année difficile pour l’économie française. Bonne Saint-Valentin quand même…

France, zone euro : Croissance, croissance !!

France, zone euro : Croissance, croissance !!

0,3 %. C’est le chiffre du jour pour l’économie française. En effet, après avoir stagné au troisième trimestre (contre une baisse de 0,1 % annoncée initialement), le PIB hexagonal a progressé de 0,3 % au quatrième trimestre (exactement le même résultat que pour la zone euro). Grâce à cette « performance » plutôt attendue, son augmentation a également atteint 0,3 % sur l’ensemble de l’année 2013. Enfin, au sortir du quatrième trimestre, l’acquis de croissance du PIB français est de 0,3 % pour 2014. Ah, la magie du chiffre… Face à de telles évolutions, on aurait presque envie de croire aux prédictions de MM. Hollande, Ayrault, Moscovici et autres magiciens du gouvernement. « La crise est finie », « la reprise est là » n’ont-ils par arrêté de nous martelé pendant des mois. Et si, après bientôt deux ans d’erreurs, ils avaient enfin raison ? Bien entendu, en tant que Français qui aime son pays, nous aimerions répondre positivement à cette question. Seulement voilà, si nous sommes patriotes, nous sommes aussi réalistes et conscients que les déceptions issues de la méthode Coué peuvent être bien plus dramatiques que la vérité, aussi difficile soit-elle à entendre. Autrement dit, même en faisant l’hypothèse hautement optimiste que les statistiques de l’INSEE sont parfaitement fiables, les résultats passés et à venir de l’économie française ne permettent aucunement de dire que cette dernière est sur la voie d’une reprise durable et soutenue. Selon nos prévisions, la croissance hexagonale oscillera entre 0,7 % et 1 % en 2014. Or, pour pouvoir créer des emplois, faire baisser le chômage et rembourser les intérêts de la dette publique sans avoir à s’endetter davantage, il faut au moins 1,5 % de croissance durablement. Nous en sommes encore très loin, et les atermoiements autour du pacte de responsabilité, de la baisse des dépenses publiques et de la fiscalité confirment malheureusement que 2014 sera encore une année difficile pour l’économie française. Bonne Saint-Valentin quand même…

France, zone euro : Croissance, croissance !!

France, zone euro : Croissance, croissance !!

0,3 %. C’est le chiffre du jour pour l’économie française. En effet, après avoir stagné au troisième trimestre (contre une baisse de 0,1 % annoncée initialement), le PIB hexagonal a progressé de 0,3 % au quatrième trimestre (exactement le même résultat que pour la zone euro). Grâce à cette « performance » plutôt attendue, son augmentation a également atteint 0,3 % sur l’ensemble de l’année 2013. Enfin, au sortir du quatrième trimestre, l’acquis de croissance du PIB français est de 0,3 % pour 2014. Ah, la magie du chiffre… Face à de telles évolutions, on aurait presque envie de croire aux prédictions de MM. Hollande, Ayrault, Moscovici et autres magiciens du gouvernement. « La crise est finie », « la reprise est là » n’ont-ils par arrêté de nous martelé pendant des mois. Et si, après bientôt deux ans d’erreurs, ils avaient enfin raison ? Bien entendu, en tant que Français qui aime son pays, nous aimerions répondre positivement à cette question. Seulement voilà, si nous sommes patriotes, nous sommes aussi réalistes et conscients que les déceptions issues de la méthode Coué peuvent être bien plus dramatiques que la vérité, aussi difficile soit-elle à entendre. Autrement dit, même en faisant l’hypothèse hautement optimiste que les statistiques de l’INSEE sont parfaitement fiables, les résultats passés et à venir de l’économie française ne permettent aucunement de dire que cette dernière est sur la voie d’une reprise durable et soutenue. Selon nos prévisions, la croissance hexagonale oscillera entre 0,7 % et 1 % en 2014. Or, pour pouvoir créer des emplois, faire baisser le chômage et rembourser les intérêts de la dette publique sans avoir à s’endetter davantage, il faut au moins 1,5 % de croissance durablement. Nous en sommes encore très loin, et les atermoiements autour du pacte de responsabilité, de la baisse des dépenses publiques et de la fiscalité confirment malheureusement que 2014 sera encore une année difficile pour l’économie française. Bonne Saint-Valentin quand même…

France, zone euro : Croissance, croissance !!

France, zone euro : Croissance, croissance !!

0,3 %. C’est le chiffre du jour pour l’économie française. En effet, après avoir stagné au troisième trimestre (contre une baisse de 0,1 % annoncée initialement), le PIB hexagonal a progressé de 0,3 % au quatrième trimestre (exactement le même résultat que pour la zone euro). Grâce à cette « performance » plutôt attendue, son augmentation a également atteint 0,3 % sur l’ensemble de l’année 2013. Enfin, au sortir du quatrième trimestre, l’acquis de croissance du PIB français est de 0,3 % pour 2014. Ah, la magie du chiffre… Face à de telles évolutions, on aurait presque envie de croire aux prédictions de MM. Hollande, Ayrault, Moscovici et autres magiciens du gouvernement. « La crise est finie », « la reprise est là » n’ont-ils par arrêté de nous martelé pendant des mois. Et si, après bientôt deux ans d’erreurs, ils avaient enfin raison ? Bien entendu, en tant que Français qui aime son pays, nous aimerions répondre positivement à cette question. Seulement voilà, si nous sommes patriotes, nous sommes aussi réalistes et conscients que les déceptions issues de la méthode Coué peuvent être bien plus dramatiques que la vérité, aussi difficile soit-elle à entendre. Autrement dit, même en faisant l’hypothèse hautement optimiste que les statistiques de l’INSEE sont parfaitement fiables, les résultats passés et à venir de l’économie française ne permettent aucunement de dire que cette dernière est sur la voie d’une reprise durable et soutenue. Selon nos prévisions, la croissance hexagonale oscillera entre 0,7 % et 1 % en 2014. Or, pour pouvoir créer des emplois, faire baisser le chômage et rembourser les intérêts de la dette publique sans avoir à s’endetter davantage, il faut au moins 1,5 % de croissance durablement. Nous en sommes encore très loin, et les atermoiements autour du pacte de responsabilité, de la baisse des dépenses publiques et de la fiscalité confirment malheureusement que 2014 sera encore une année difficile pour l’économie française. Bonne Saint-Valentin quand même…

Le monde émergent plie mais ne rompra pas.

Le monde émergent plie mais ne rompra pas.

C’est la nouvelle crainte à la mode : le monde dit émergent serait à l’aube d’une nouvelle grave crise « type 1997 ». Les ingrédients de ce marasme annoncé ne sont malheureusement pas nouveaux : trop de dette, pas assez de croissance, des réserves de changes insuffisantes, une instabilité politique grandissante, des attaques spéculatives sur les devises qui imposent aux banques centrales d’augmenter les taux d’intérêt… Bref, tout est prêt pour que le château de carte s’écroule. Certes, ces arguments ne sont pas dénués de sens. Faut-il pour autant en déduire que l’ensemble du monde émergent va s’écrouler, entraînant l’ensemble de la planète dans son sillage. Certainement pas. Et ce, pour au moins trois raisons. Primo, la dépréciation récente des devises émergentes va mécaniquement relancer la croissance économique dans la plupart de ces pays. Secundo, de nombreux pays émergents disposent de réserves de change conséquentes. Tertio, quand bien même les marchés émergents souffriraient encore quelques mois, voire quelques trimestres, cela ne minerait pas excessivement ceux des pays développés. Au contraire, comme eu lendemain de la crise de 1997, ces derniers bénéficieraient d’un « flight to quality ». En d’autres termes, il est fort probable que les craintes formulées depuis quelques semaines pour la croissance et les bourses internationales en 2014 soient excessives…

Le monde émergent plie mais ne rompra pas.

Le monde émergent plie mais ne rompra pas.

C’est la nouvelle crainte à la mode : le monde dit émergent serait à l’aube d’une nouvelle grave crise « type 1997 ». Les ingrédients de ce marasme annoncé ne sont malheureusement pas nouveaux : trop de dette, pas assez de croissance, des réserves de changes insuffisantes, une instabilité politique grandissante, des attaques spéculatives sur les devises qui imposent aux banques centrales d’augmenter les taux d’intérêt… Bref, tout est prêt pour que le château de carte s’écroule. Certes, ces arguments ne sont pas dénués de sens. Faut-il pour autant en déduire que l’ensemble du monde émergent va s’écrouler, entraînant l’ensemble de la planète dans son sillage. Certainement pas. Et ce, pour au moins trois raisons. Primo, la dépréciation récente des devises émergentes va mécaniquement relancer la croissance économique dans la plupart de ces pays. Secundo, de nombreux pays émergents disposent de réserves de change conséquentes. Tertio, quand bien même les marchés émergents souffriraient encore quelques mois, voire quelques trimestres, cela ne minerait pas excessivement ceux des pays développés. Au contraire, comme eu lendemain de la crise de 1997, ces derniers bénéficieraient d’un « flight to quality ». En d’autres termes, il est fort probable que les craintes formulées depuis quelques semaines pour la croissance et les bourses internationales en 2014 soient excessives…

Où faut-il investir en 2014 ?

Où faut-il investir en 2014 ?

Après un beau rallye de fin d’année qui venait couronner deux années de forte remontée, les marchés boursiers commencent à marquer le pas. Est-ce la crainte d’une nouvelle crise des pays émergents qui inquiètent les investisseurs ou s’agit-il d’un mouvement plus global et plus profond ? En fait, dès le premier jour de l’année, le « la » semble avoir été donné : – 1,6 % pour le Cac 40 ou le Dax et – 0,8 % pour le Dow Jones. Or, un vieil adage boursier rappelle que, très souvent, le sens de l’évolution du premier jour est identique à celui de l’ensemble de l’année. Faut-il pour autant en déduire que 2014 va sonner le glas de l’embellie boursière et donner naissance à une nouvelle phase de déprime ? En trois mots : tous aux abris ? Pas forcément. Certes, les risques qui menacent la planète économico-financière restent malheureusement nombreux : géopolitique, pays émergents, déflation, politique monétaire plus restrictive aux Etats-Unis, nouvelle crise de la dette dans la zone euro, et notamment en France… Dans ce contexte, quel conseil peut-on donner à un investisseur qui souhaite passer une bonne année 2014 ? Tout d’abord, ne nous emballons pas : la prudence devra rester de mise et il faudra favoriser les stratégies d’aller-retour sur les marchés boursiers. Mais, ce n’est pas tout…

Où faut-il investir en 2014 ?

Où faut-il investir en 2014 ?

Après un beau rallye de fin d’année qui venait couronner deux années de forte remontée, les marchés boursiers commencent à marquer le pas. Est-ce la crainte d’une nouvelle crise des pays émergents qui inquiètent les investisseurs ou s’agit-il d’un mouvement plus global et plus profond ? En fait, dès le premier jour de l’année, le « la » semble avoir été donné : – 1,6 % pour le Cac 40 ou le Dax et – 0,8 % pour le Dow Jones. Or, un vieil adage boursier rappelle que, très souvent, le sens de l’évolution du premier jour est identique à celui de l’ensemble de l’année. Faut-il pour autant en déduire que 2014 va sonner le glas de l’embellie boursière et donner naissance à une nouvelle phase de déprime ? En trois mots : tous aux abris ? Pas forcément. Certes, les risques qui menacent la planète économico-financière restent malheureusement nombreux : géopolitique, pays émergents, déflation, politique monétaire plus restrictive aux Etats-Unis, nouvelle crise de la dette dans la zone euro, et notamment en France… Dans ce contexte, quel conseil peut-on donner à un investisseur qui souhaite passer une bonne année 2014 ? Tout d’abord, ne nous emballons pas : la prudence devra rester de mise et il faudra favoriser les stratégies d’aller-retour sur les marchés boursiers. Mais, ce n’est pas tout…

Où faut-il investir en 2014 ?

Après un beau rallye de fin d’année qui venait couronner deux années de forte remontée, les marchés boursiers commencent à marquer le pas. Est-ce la crainte d’une nouvelle crise des pays émergents qui inquiètent les investisseurs ou s’agit-il d’un mouvement plus global et plus profond ? En fait, dès le premier jour de l’année, le « la » semble avoir été donné : – 1,6 % pour le Cac 40 ou le Dax et – 0,8 % pour le Dow Jones. Or, un vieil adage boursier rappelle que, très souvent, le sens de l’évolution du premier jour est identique à celui de l’ensemble de l’année. Faut-il pour autant en déduire que 2014 va sonner le glas de l’embellie boursière et donner naissance à une nouvelle phase de déprime ? En trois mots : tous aux abris ? Pas forcément. Certes, les risques qui menacent la planète économico-financière restent malheureusement nombreux : géopolitique, pays émergents, déflation, politique monétaire plus restrictive aux Etats-Unis, nouvelle crise de la dette dans la zone euro, et notamment en France… Dans ce contexte, quel conseil peut-on donner à un investisseur qui souhaite passer une bonne année 2014 ? Tout d’abord, ne nous emballons pas : la prudence devra rester de mise et il faudra favoriser les stratégies d’aller-retour sur les marchés boursiers. Mais, ce n’est pas tout…

Où faut-il investir en 2014 ?

Après un beau rallye de fin d’année qui venait couronner deux années de forte remontée, les marchés boursiers commencent à marquer le pas. Est-ce la crainte d’une nouvelle crise des pays émergents qui inquiètent les investisseurs ou s’agit-il d’un mouvement plus global et plus profond ? En fait, dès le premier jour de l’année, le « la » semble avoir été donné : – 1,6 % pour le Cac 40 ou le Dax et – 0,8 % pour le Dow Jones. Or, un vieil adage boursier rappelle que, très souvent, le sens de l’évolution du premier jour est identique à celui de l’ensemble de l’année. Faut-il pour autant en déduire que 2014 va sonner le glas de l’embellie boursière et donner naissance à une nouvelle phase de déprime ? En trois mots : tous aux abris ? Pas forcément. Certes, les risques qui menacent la planète économico-financière restent malheureusement nombreux : géopolitique, pays émergents, déflation, politique monétaire plus restrictive aux Etats-Unis, nouvelle crise de la dette dans la zone euro, et notamment en France… Dans ce contexte, quel conseil peut-on donner à un investisseur qui souhaite passer une bonne année 2014 ? Tout d’abord, ne nous emballons pas : la prudence devra rester de mise et il faudra favoriser les stratégies d’aller-retour sur les marchés boursiers. Mais, ce n’est pas tout…