La nouvelle dégradation de la note de la France par Moody’s qui devrait intervenir ce soir n’est pas une surprise. Même si elle sera limitée, elle n’est qu’une conséquence logique du non-respect des engagements du gouvernement français en matière de réduction des déficits publics, des dépenses publiques, mais aussi de retour de la croissance et de baisse du chômage. Conscient de ces dérapages, c’est d’ailleurs en partie pour éviter une trop forte dégradation de la note de la France et essayer d’en éviter les impacts négatifs, que François Hollande a décidé d’engager son « pacte de responsabilité ». Mais cela risque d’être insuffisant…
La France encore dégradée, et alors ?
La nouvelle dégradation de la note de la France par Moody’s qui devrait intervenir ce soir n’est pas une surprise. Même si elle sera limitée, elle n’est qu’une conséquence logique du non-respect des engagements du gouvernement français en matière de réduction des déficits publics, des dépenses publiques, mais aussi de retour de la croissance et de baisse du chômage. Conscient de ces dérapages, c’est d’ailleurs en partie pour éviter une trop forte dégradation de la note de la France et essayer d’en éviter les impacts négatifs, que François Hollande a décidé d’engager son « pacte de responsabilité ». Mais cela risque d’être insuffisant…
La France encore dégradée, et alors ?
La nouvelle dégradation de la note de la France par Moody’s qui devrait intervenir ce soir n’est pas une surprise. Même si elle sera limitée, elle n’est qu’une conséquence logique du non-respect des engagements du gouvernement français en matière de réduction des déficits publics, des dépenses publiques, mais aussi de retour de la croissance et de baisse du chômage. Conscient de ces dérapages, c’est d’ailleurs en partie pour éviter une trop forte dégradation de la note de la France et essayer d’en éviter les impacts négatifs, que François Hollande a décidé d’engager son « pacte de responsabilité ». Mais cela risque d’être insuffisant…
La France encore dégradée, et alors ?
La nouvelle dégradation de la note de la France par Moody’s qui devrait intervenir ce soir n’est pas une surprise. Même si elle sera limitée, elle n’est qu’une conséquence logique du non-respect des engagements du gouvernement français en matière de réduction des déficits publics, des dépenses publiques, mais aussi de retour de la croissance et de baisse du chômage. Conscient de ces dérapages, c’est d’ailleurs en partie pour éviter une trop forte dégradation de la note de la France et essayer d’en éviter les impacts négatifs, que François Hollande a décidé d’engager son « pacte de responsabilité ». Mais cela risque d’être insuffisant…
La France encore dégradée, et alors ?
La nouvelle dégradation de la note de la France par Moody’s qui devrait intervenir ce soir n’est pas une surprise. Même si elle sera limitée, elle n’est qu’une conséquence logique du non-respect des engagements du gouvernement français en matière de réduction des déficits publics, des dépenses publiques, mais aussi de retour de la croissance et de baisse du chômage. Conscient de ces dérapages, c’est d’ailleurs en partie pour éviter une trop forte dégradation de la note de la France et essayer d’en éviter les impacts négatifs, que François Hollande a décidé d’engager son « pacte de responsabilité ». Mais cela risque d’être insuffisant…
La France encore dégradée, et alors ?
La nouvelle dégradation de la note de la France par Moody’s qui devrait intervenir ce soir n’est pas une surprise. Même si elle sera limitée, elle n’est qu’une conséquence logique du non-respect des engagements du gouvernement français en matière de réduction des déficits publics, des dépenses publiques, mais aussi de retour de la croissance et de baisse du chômage. Conscient de ces dérapages, c’est d’ailleurs en partie pour éviter une trop forte dégradation de la note de la France et essayer d’en éviter les impacts négatifs, que François Hollande a décidé d’engager son « pacte de responsabilité ». Mais cela risque d’être insuffisant…
France : après la reprise, la “recrise”…
Ah la reprise… A peine a-t-elle fait son apparition qu’elle a déjà disparu. Telle pourrait être la synthèse de la première version des comptes nationaux de la France au troisième trimestre 2013. En effet, après avoir reculé de 0,4 % du deuxième trimestre 2012 au premier de 2013, puis avoir rebondi de 0,5 % au deuxième, le PIB français a rechuté de 0,1 % au troisième. Bien entendu, cela aurait pu être pire. Pour autant, le détail des chiffres a de quoi inquiéter. Et pour cause : en retirant la contribution de la formation de stocks, variable ô combien artificielle, le PIB français a en fait chuté de 0,6 % au troisième trimestre. En d’autres termes, en dehors d’un mouvement de restockage technique, l’économie française reste bien ancrée dans une léthargie dangereuse…
France : après la reprise, la “recrise”…
Ah la reprise… A peine a-t-elle fait son apparition qu’elle a déjà disparu. Telle pourrait être la synthèse de la première version des comptes nationaux de la France au troisième trimestre 2013. En effet, après avoir reculé de 0,4 % du deuxième trimestre 2012 au premier de 2013, puis avoir rebondi de 0,5 % au deuxième, le PIB français a rechuté de 0,1 % au troisième. Bien entendu, cela aurait pu être pire. Pour autant, le détail des chiffres a de quoi inquiéter. Et pour cause : en retirant la contribution de la formation de stocks, variable ô combien artificielle, le PIB français a en fait chuté de 0,6 % au troisième trimestre. En d’autres termes, en dehors d’un mouvement de restockage technique, l’économie française reste bien ancrée dans une léthargie dangereuse…
Mario Draghi : un « super-héros », désormais sans arme…
Nous n’osions plus y croire, mais cette fois-ci c’est fait : l’écart entre le taux objectif des federal funds et le taux refi de la BCE a été annulé. Immédiatement, l’euro/dollar s’est fortement déprécié et les indices boursiers se sont envolés vers de nouveaux sommets. A l’évidence, bien loin des frasques de son prédécesseur qui auraient pu finir par mettre un terme à l’UEM, Mario Draghi réalise un travail exceptionnel. Après avoir déjà sauvé la zone euro à deux reprises (fin 2011 et en septembre 2012), il vient de lui permettre d’éviter de replonger dans la récession, voire de sombrer dans la déflation. Le seul problème est que l’impact de ce nouvel assouplissement monétaire et de la baisse de l’euro sur l’activité et l’emploi ne se produira que dans six à neuf mois. La zone euro aura-t-elle encore la force d’attendre sans plonger dans ma crise sociétale ?
Mario Draghi : un « super-héros », désormais sans arme…
Nous n’osions plus y croire, mais cette fois-ci c’est fait : l’écart entre le taux objectif des federal funds et le taux refi de la BCE a été annulé. Immédiatement, l’euro/dollar s’est fortement déprécié et les indices boursiers se sont envolés vers de nouveaux sommets. A l’évidence, bien loin des frasques de son prédécesseur qui auraient pu finir par mettre un terme à l’UEM, Mario Draghi réalise un travail exceptionnel. Après avoir déjà sauvé la zone euro à deux reprises (fin 2011 et en septembre 2012), il vient de lui permettre d’éviter de replonger dans la récession, voire de sombrer dans la déflation. Le seul problème est que l’impact de ce nouvel assouplissement monétaire et de la baisse de l’euro sur l’activité et l’emploi ne se produira que dans six à neuf mois. La zone euro aura-t-elle encore la force d’attendre sans plonger dans ma crise sociétale ?