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Bourses, Cryptos, Euro : Le krach va-t-il se prolonger ?
Comme nous l’annoncions ici même depuis l’automne dernier et comme nous le confirmions début 2022 dans nos prévisions annuelles, l’année 2022 est bien celle de la fin des excès financiers et du retour à la réalité.
En effet, après un premier coup de semonce en janvier dernier dans le sillage de la confirmation d’une inflation durablement forte et d’une première phase de remontée des taux d’intérêt obligataires, puis une deuxième tempête lors du début de la guerre en Ukraine, les marchés financiers repartent dans une nouvelle phase de sévère correction.
Et ce, en particulier sur les marchés boursiers, sur l’euro/dollar et sur les cryptomonnaies.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en 17 jours, le bictoin a dégringolé de 30 %. Depuis novembre 2021, il s’est effondré de 60 %, atteignant un plus bas depuis novembre 2020.
Dans le sillage de cette descente aux enfers, l’indice phare des valeurs de croissance, en l’occurrence le Nasdaq, connaît également une tempête particulièrement dévastatrice.
Ainsi, en six jours, l’indice Nasdaq composite a dégringolé de 12,3 %. Depuis novembre 2021, il a plongé de 29,2 %, atteignant un plus bas depuis novembre 2020.
Quant aux indices boursiers plus traditionnelles, la forte baisse est également au rendez-vous. Entre le sommet de début janvier 2022 et le point bas des derniers jours, le S&P 500 a chuté de 18,1 %, le Dow Jones de 13,8 % et le Cac 40 de 17,9 %.
Enfin, l'euro est tombé à 1,0379 dollar, un plus bas depuis le 2 janvier 2003.
En dépit d'un récent et fragile rebond, trois questions s'imposent : ces 3 krachs vont-ils perdurer ?Pourquoi ? Quelle stratégie adopter pour protéger notre épargne contre ces tempêtes ?
Réponses dans cette vidéo, graphiques explicites, pédagogiques et réalisés sans trucage à l’appui… -
Chute de l’euro : Pourquoi ? Jusqu’où ? Quelles conséquences ?
Alors qu’il culminait à 1,23 dollar le 6 janvier 2021, l’euro s’est logiquement déprécié depuis plus d’un an. D’abord à 1,17 dollar en mars 2021, avant de remonter à 1,22 en mai-juin, pour finalement se déprécier vers les 1,12 à mi-novembre et enfin s’effondrer autour des 1,05 dollar depuis le 28 avril 2022, soit exactement la prévision que nous avons établie il y a plus de neuf mois.
Bien loin de nous enorgueillir de ce succès (nous tenons d’ailleurs à remercier les nombreuses personnes qui nous ont envoyé des messages de félicitation), nous tenons simplement à rappeler qu’à l’instar de toutes nos prévisions, celle de l’euro/dollar n’est pas sortie d’un chapeau. Et pour cause : nous établissons toutes nos anticipations uniquement sur la base des fondamentaux économiques et financiers..
Ainsi, comme nous allons le voir dans cette vidéo, la baisse de l’euro sous les 1,10 dollar est justifiée et ne fait que valider la réalité des écarts économiques et financiers entre les Etats-Unis et la Zone Euro.
Autrement dit, la dépréciation de l’euro/dollar est à la fois justifiée et appelée à se poursuivre.
En temps normal, cette dépréciation pourrait être perçue comme une bonne nouvelle, notamment pour l’activité économique de la Zone Euro, qui en a tant besoin.
Ainsi, il est empiriquement démontré qu’une dépréciation annuelle de l'euro de 10 % se traduit par un gain de croissance de l’ordre de 0,5 point de PIB. Ce qui n’est certes pas énorme, mais, dans le contexte de faiblesse économique actuelle et surtout future, est toujours bon à prendre.
Cependant, compte tenu de la forte inflation actuelle, ces avantages risquent de fondre comme neige au soleil. En effet, la dépréciation de l’euro se traduit aussi et surtout par une augmentation des pressions inflationnistes importées. Or, plus d’inflation signifie moins de pouvoir d’achat, donc moins de consommation et de croissance, ce qui affaiblira de nouveau l’euro.
Dans ce cadre,
De plus, il ne faut pas oublier qu’un euro trop bas et a fortiori inférieur à un dollar pourrait également nuire à la crédibilité de l'UEM et susciter un mouvement de défiance à son égard. Dès lors, les taux d’intérêt des obligations de certains Etats, bien sûr grec, italien, mais aussi français, pourraient remonter encore bien plus haut qu’aujourd’hui, réactivant la crise de la dette publique, qui, tel un volcan temporairement endormi, pourrait se réveiller et devenir encore plus dévastatrice que par le passé.
Voici donc toutes mes explications et mes prévisions dans cette vidéo, graphiques, pédagogiques, explicites et réalisés sans trucage à l’appui… -
Inflation et récession en France : quels sont les risques ?
Les statistiques de PIB et de prix que viennent de publier l’INSEE sont sans appel : la France est bien entrée dans une phase durable de forte inflation et de récession.
En effet, au premier trimestre 2022, le PIB français a reculé de 0,4 % hors stocks.
Cette rechute s’explique principalement par la baisse de 1,3 % de la consommation des ménages sur l’ensemble du premier trimestre 2022.
Le pire est que les indicateurs avancés de l’activité économique baissent nettement. A commencer par l’indice INSEE de confiance des ménages qui, en avril, est tombé à un plancher depuis décembre 2018 et la crise des « gilets jaunes ».
Dans ce cadre, la consommation des ménages devrait encore régresser au deuxième trimestre 2022, engendrant une nouvelle diminution du PIB français pour le deuxième trimestre consécutif, ce qui signifiera un retour en récession pour notre « douce France ».
Et ce, d’autant que l’inflation ne cesse et ne cessera de progresser pendant encore plusieurs mois.
En avril, le glissement annuel des prix à la consommation en France a d’ores et déjà atteint 4,8 %, un sommet depuis novembre 1985. Selon les normes européennes, l’inflation française atteint même 5,4 %.
Encore plus inquiétant, les prix à la production, indicateurs avancés des prix à la consommation, ont encore flambé en mars : + 4,6 % sur un mois et + 24,4 % en glissement annuel, un nouveau sommet historique.
Autrement dit, l’inflation française va encore se tendre au moins jusqu’à la fin de l’été 2022, grevant d’autant le pouvoir d’achat des ménages, donc leurs dépenses de consommation et d’investissement, ce qui se traduira par une nouvelle baisse du PIB dès le deuxième trimestre 2022.
D’autant plus que l’augmentation des pressions inflationnistes alimente la remontée des taux d’intérêt des obligations d’Etat et donc des crédits, ce qui freinera une nouvelle fois les dépenses des ménages et l’investissement des entreprises.
Dans ce cadre, quels sont les risques qui pèsent sur notre quotidien, notre consommation et notre épargne ?
Réponses sans langue de bois dans cette vidéo, graphiques explicites et pédagogiques à l’appui… -
La France est en danger : Comment la sauver ?
Disons-le clairement : la France est en danger ! Et ce, en particulier sur le front économique et social.
Pour éviter que notre "douce France" ne sombre dans une multiple crise économique, politique, sociale et sociétale, il est donc urgent de mettre en place une "thérapie de choc bienveillante".
Celle-ci permettra notamment de restaurer la confiance, mais aussi la croissance, tout en soutenant l'emploi. Elle assurera également la fin de la flambée de la dette publique, qui devient de plus en plus chère et dangereuse compte tenu de l'augmentation des taux d'intérêt des obligations d'Etat et aussi de nos crédits.
De la sorte, nous éviterons la forte tentation structurelle de nos dirigeants d'augmenter encore et toujours les taxes et impôts qui pèsent sur notre pouvoir d'achat et notre épargne.
Alors, comment sauver la France ? Quelles sont les mesures à prendre d'urgence pour éviter le pire ? Aura-t-on les moyens de nos ambitions ? Notre pouvoir d'achat et notre épargne seront-ils protégés ?
Voici toutes mes réponses et mes explications, comme d’habitude sans langue de bois, avec des graphiques et des tableaux pédagogiques et bien sûr réalisés sans trucage… -
Inflation, Chine, France, Marchés : Attachez vos ceintures !
Ce sont les quatre principaux risques qui menacent notre avenir économique, celui de notre épargne et de nos emplois :
1. La flambée de l’inflation qui ne cesse de battre des records et qui ne paraît pas susceptible de s’arrêter de sitôt.
2. Le retour de la récession en Chine, notamment à cause du retour des confinements et de la dictature sanitaire. Or si le Chine plonge, le monde fera de même, avec en plus une augmentation des pénuries, donc des pressions inflationnistes à venir.
3. Les conséquences des élections présidentielles et législatives françaises : alors que les partis « anti-système » ont récolté 61 % des voix au premier tour de la Présidentielle (et ce, malgré la flambée de la dette publique de plus de 300 milliards d’euros en deux ans), les risques de crise politico-sociétale augmentent sérieusement dans notre « Douce France », ce qui promet des lendemains difficiles notamment pour les taux d’intérêt des dettes publiques et de de nos crédits.
4. Dans le sillage de ces trois premiers risques, les marchés obligataires, boursiers et cryptos devraient demeurer particulièrement chahutés, ce qui nous impose la plus grande prudence dans la gestion de notre épargne.
Tels sont donc les thèmes de cette vidéo, qui veut bien entendu garder l’espoir, mais tout en étant réaliste et en explicitant les réalités économiques et financières actuelles et à venir…
Avec, évidemment et comme d’habitude, des graphiques pédagogiques et réalisés sans trucage à l’appui… -
Immobilier en France : quelle sera l’ampleur de la chute ?
Les dernières statistiques des professionnels de l’immobilier français font froid dans le dos : selon Orpi, les ventes de logements anciens ont chuté de 17 % sur un an, selon Seloger, elles se situent 22 % sous leur moyenne de longue période.
Or, si les ventes chutent, les prix ne vont pas tarder à suivre la même tendance.
A Paris, selon MeilleursAgents, les prix ont même déjà enregistré leur septième mois consécutif de baisse, du jamais vu depuis dix ans !
Face à ces mouvements inquiétants, plusieurs questions se posent : les prix vont-ils durablement baisser en France ? Est-ce encore le moment d’acheter ? L’inflation peut-elle rembourser notre dette ?
Nous allons y répondre dans cette vidéo, en expliquant notamment pourquoi les taux d’intérêt des crédits ont et vont encore nettement augmenter.
Oui, la bulle immobilière française est bien en train de se dégonfler et nous expliciterons également les conséquences de cette tendance durable, graphiques explicites, pédagogiques et réalisés sans trucage à l’appui… -
Dette, inflation, remontée des taux : Quels coûts pour les citoyens ?
Ce sont les trois principaux dangers économiques qui nous menacent : le niveau stratosphérique de la dette publique, la flambée de l’inflation et la remontée de plus en plus forte des taux d’intérêt.
Le taux d’intérêt des obligations de l’Etat français à 10 ans vient ainsi d’atteindre 1,1 %, un plus haut depuis mars 2017.
Ces flambées vont-elles durer ? Jusqu’où ? Quelles en seront les conséquences pour les taux des crédits des ménages et des entreprises ? Pour notre pouvoir d’achat ? Pour notre épargne ? Pour l’immobilier ?
Réponses dans cette vidéo, graphiques explicites et pédagogiques à l’appui… -
Guerre, inflation, récession : comment protéger son épargne ?
La planète est malheureusement en train de s’enliser dans un triptyque bien tragique qui allie les drames humanitaires et l’instabilité de la guerre, la poursuite d’une inflation forte et durable et, couronnant le tout, le risque du retour de la récession, moins de deux ans après la plus grave dépression économique enregistrée depuis la seconde guerre mondiale.
Face à ces dangers qui commencent d’ailleurs à déprimer l’ensemble des marchés financiers, plusieurs questions essentielles se posent et notamment : Comment protéger son épargne ? Et vers quels types de placements faut-il orienter cette dernière pour ne pas trop souffrir du retour de l’inflation et de la récession ? Car, ne l’oublions pas : plus l’inflation augmente, plus le pouvoir d’achat de son épargne baisse, d’autant que la récession empêche toute augmentation durable des salaires.
Alors, voici les réponses à ces importantes questions, graphiques explicites et pédagogiques à l’appui… -
Défaut russe, flambée inflationniste : Qui va payer ?
Ce sont les deux grandes préoccupations économiques du moment : le défaut de la Russie et la poursuite de la flambée inflationniste. Avec une question centrale qui s'impose : qui va payer ?
Nous y répondrons dans cette vidéo, en toute indépendance, franchise et avec des graphiques réalisés sans trucage…
Nous commencerons par expliquer ce qu’est un défaut souverain et quelles conséquences peut-il entraîner pour le pays concerné et pour ses créanciers.
Nous verrons également qu'à la différence des défauts russes de 1918 et 1998, celui qui risque de se produire actuellement n’est absolument pas justifié au regard de fondamentaux financiers récents de la Russie.
En effet, sa dette publique est très faible : 18 % de son PIB en 2021 selon le FMI, ce qui est très différent d’un pays surendetté proche du défaut, comme cela était par exemple le cas lors de la dernière crise grecque avec une dette publique de 170 % du PIB et qui atteint d’ailleurs aujourd’hui 210 %.
Mais surtout, la Russie dispose actuellement de plusieurs « airbags ». Tout d’abord, un excédent structurel de sa balance courante : + 95 milliards de dollars en 2021. Encore plus fort : ses réserves de changes atteignent 643 milliards de dollars en février 2022.
Et ce n’est pas tout, puisque les réserves d’or de la Russie avoisinent les 2 298,5 tonnes, soit environ 137 milliards d’euros. Enfin, pour couronner le tout, le fonds souverain russe dispose d’un actif d’environ 200 milliards de dollars.
Dans ce cadre, le défaut organisé de la Russie risque de coûter bien plus cher à ses créanciers internationaux, qui ne détiennent d’ailleurs que 23 % de la dette russe. Poutine pourrait ainsi présenter ce défaut comme une sanction pour les investisseurs étrangers.
En revanche, si la Russie fait vraiment défaut et que les sanctions à son encontre perdurent, l’Etat russe connaîtra ensuite de graves difficultés, d’abord pour retrouver le chemin de la croissance et ensuite pour trouver de nouveaux financiers de leurs dettes. Pour éviter le scénario catastrophe, il lui faudra trouver un « chevalier blanc ». Comme Abu Dhabi l’a été pour Dubaï en 2010 ou l’Union européenne pour la Grèce en 2012. La Chine jouera-t-elle ce rôle pour la Russie ? Si c’est le cas, la Russie aura fait défaut sans impacts graves sur son économie, mais en pénalisant gravement ses créanciers occidentaux.
Enfin, nous verrons qu'à côté de ce danger, l’inflation continue et continuera encore d’augmenter à travers le monde, ce qui imposera aux banques centrales de réagir.
Anticipant ces mouvements, les taux d’intérêt des obligations des Etats occidentaux sont repartis à la hausse, compromettant la croissance à venir.
Il faut donc se rendre à l’évidence : la Russie est malheureusement très bien préparée à la guerre et aux sanctions économiques, ce qui n’est pas le cas des Occidentaux et en particulier des Européens. Il serait donc une grave erreur de surestimer les impacts des sanctions économiques sur la Russie et de sous-estimer ceux qui pèsent sur l’Europe. Une chose reste sûre : vivement que la guerre en Ukraine se termine ! -
Guerre, krach, récession : Peut-on encore éviter le pire ?
Malheureusement et contrairement à ce que nous espérions la semaine dernière, la guerre entre la Russie et l’Ukraine s’est intensifiée au cours des derniers jours, engendrant une situation humanitaire de plus en plus dramatique. Dans le même temps, les impacts économiques et financiers se sont également aggravés, non seulement dans ces deux pays, mais aussi à l’échelle de la planète et plus particulièrement en Europe.
En effet, les cours des matières premières ont continué de flamber, atteignant des proportions inquiétantes et lourdes de conséquences pour l’inflation, le pouvoir d’achat et la croissance des mois à venir.
Nous parlerons notamment dans cette vidéo des cours du baril de brent, qui ont explosé de 585% depuis avril 2020 et atteint un plus haut depuis juillet 2008. Mais aussi de l’explosion des cours du gaz naturel en Europe, de l’aluminium ou encore du Nickel, dont les cours ont flambé de 180 % en deux jours, à tel point que les échanges ont été suspendus.
Mais il y a encore pire, car si les matières premières énergétiques et industrielles sont importantes, elles n’influent pas directement sur la faim dans le monde, ce qui est en revanche le cas du blé. Or, les cours de ce dernier ont explosé de 72 % en dix jours et de 185 % depuis juin 2020, dépassant même de 7 % leur précédent sommet historique de mars 2008.
Ces évolutions impressionnantes ne manqueront évidemment pas d'aggraver une inflation déjà excessivement élevée, tout en augmentant les risques de récession en Europe, en France et dans le monde.
Il est donc urgent de stopper cette guerre, non seulement pour la population ukrainienne, mais aussi pour celles de Russie, de l’Union Européenne, de la France et de l’ensemble de la planète.
Explications et mises en garde dans cette vidéo, graphiques explicites, pédagogiques et réalisés sans trucage à l’appui… -
Guerre Russie-Ukraine : quels sont les dangers qui pèsent sur le monde et la France ?
Après deux ans de pandémie, une flambée historique des dettes publiques et des « planches à billets », qui a notamment entraînée une poussée inflationniste inconnue depuis le début des années 1980, on ne pouvait imaginer pire : le déclenchement d’une guerre en Europe entre la Russie et l’Ukraine.
Dire qu’il y a encore quelques jours, tous les « géopolitologues éminents » et autres « diseurs de bonne aventure » affirmaient que la Russie n’attaquerait jamais l’Ukraine. Un peu d’ailleurs comme lorsque les « épidémiologistes » et autres « spécialistes » soutenaient en mars 2020 que la COVID-19 n’était qu’une « grippette » ou encore lorsque les économistes de salon et les banquiers centraux soutenaient encore dernièrement que l’inflation resterait modérée et transitoire… C’est triste à dire, mais l’histoire se répète…
Autrement dit, non seulement le cauchemar n’est toujours pas terminé, mais, en plus, il s’intensifie. En effet, sans savoir jusqu’où ira ce conflit et en espérant bien entendu qu’il se résorbera au plus vite, ses conséquences économiques et financières sont déjà dramatiques Et ce, tant pour les économies de la Russie et de l’Ukraine que pour la croissance mondiale, ou encore pour celle de la France et de l’Europe, sans oublier les marchés boursiers, qui ont d’ailleurs déjà commencé à fortement dévisser.
Au-delà du dégonflement de la bulle passée, les évolutions boursières reflètent simplement le fait que le conflit russo-ukrainien porte en lui les germes d’une forte baisse de la croissance mondiale, voire d’une récession, notamment liée à la flambée des cours des matières premières.
En outre, un embargo de la Russie sur le pétrole, le gaz et le blé ne manquera pas d'aggraver les tensions sur les cours de ces matières premières, renforçant l’inflation mondiale et le cercle pernicieux continuerait. Après deux ans de pandémie, il est clair que l’économie mondiale ne pourra pas s’en remettre facilement, et ce d’autant que toutes les cartouches de relance budgétaire et monétaire ont déjà été utilisées à travers le monde.
Certes, les risques engendrés par le conflit ont mécaniquement réduit la probabilité de fort resserrement des politiques monétaires qui faisait craindre le pire il y a peu. Pour autant, dans la mesure où leurs taux d’intérêt directeurs sont déjà à 0 % et que les « planches à billets » ont déjà été utilisées excessivement, les banques centrales n’ont plus aucune marge de manœuvre pour relancer la machine.
Dans ce cadre, quels sont les dangers pour l’économie mondiale, pour celle de la France, pour ses entreprises, pour notre pouvoir d’achat, mais aussi pour notre épargne ? Réponses dans cette vidéo, graphiques explicites, pédagogiques et réalisés sans trucage à l’appui… -
Guerre en Ukraine : Quelles conséquences économiques et financières ?
C’est la question brûlante du moment : quelles seront les conséquences économiques et financières du conflit russo-ukrainien ? Et ce, tant pour l’économie mondiale que pour celle de la France, pour les marchés financiers, pour notre pouvoir d’achat et pour notre épargne.
Les premiers effets de ce conflit sont d’ailleurs déjà présents, notamment sur les cours des matières premières qui continuent d’augmenter dangereusement, en particulier pour le pétrole, le gaz et le blé.
Dans ce cadre, déjà sur des niveaux très élevés, l’inflation va continuer de se tendre, affaiblissant par là même le pouvoir d’achat des ménages, donc la consommation, puis la croissance globale et l’emploi.
Après deux ans de pandémie, il est clair que l’économie mondiale ne pourra pas s’en remettre facilement, et ce d’autant que toutes les cartouches de relance budgétaire et monétaire ont déjà été utilisées à travers le monde.
Anticipant ce scénario difficile, les marchés boursiers continuent de baisser, tout comme les cryptomonnaies, mais au contraire de l’or, qui retrouve sa qualité de valeur refuge.
Va-t-on assister à un nouveau krach boursier ? Comment vont évoluer les politiques monétaires et les taux d’intérêt des obligations d’Etat ? Quelle sera la croissance économique en 2022 ? Notre épargne est-elle en danger ?
Réponses dans cette vidéo sans concession, graphiques explicites, pédagogiques et réalisés sans trucage à l’appui…