Le 16 octobre, dans l’émission “Les Experts” sur BFM Business, Nicolas Doze a reçu Guillaume Dard, président de Montpensier Finance, Christian Poyau, président directeur général de Micropole et Marc Touati, économiste, Pdt du cabinet ACDEFI, sur BFM Business. Les thèmes abordés ont été : l’apparente fin de crise chez les PIGS, les risques engendrés par le blocage de l’administration américaine, la fiscalité en France, les PME… A visionner ci-après
“Les experts” sur BFM Business
Dette publique américaine : Armageddon ou happy end ?
Même en cas d’accord à Washington, cette crise va laisser des traces et les problèmes de fond perdurer. Dans ce contexte, il ne faut pas hésiter à prendre ses bénéfices estime. Interview sur Boursorama…
Dette publique américaine : Armageddon ou happy end ?
Même en cas d’accord à Washington, cette crise va laisser des traces et les problèmes de fond perdurer. Dans ce contexte, il ne faut pas hésiter à prendre ses bénéfices estime. Interview sur Boursorama…
Dette publique aux Etats-Unis et en France : retour en 1929 ? (E&S n°268)
Au sommaire cette semaine : – Humeur : Un défaut américain replongerait le monde en 1929… – Economie et Marchés : Le projet de loi de finances 2014 : un budget prudent et des français méfiants… – A suivre du 14 au 18 octobre : L’économie américaine toujours fragile. Nos prévisions économiques et financières pour 2013-2014.
Dette publique aux Etats-Unis et en France : retour en 1929 ? (E&S n°268)
Au sommaire cette semaine : – Humeur : Un défaut américain replongerait le monde en 1929… – Economie et Marchés : Le projet de loi de finances 2014 : un budget prudent et des français méfiants… – A suivre du 14 au 18 octobre : L’économie américaine toujours fragile. Nos prévisions économiques et financières pour 2013-2014.
L’économie américaine toujours fragile.
A suivre du 14 au 18 octobre : – Mardi 15, 11h : petite rechute de l’indice ZEW en Allemagne. – Mercredi 16, 14h30 : l’inflation américaine continue de reculer. – Mercredi 16, 20h : Un Beige Book toujours très prudent. – Jeudi 17, 14h30 : quasi-stabilisation des mises en chantier outre-Atlantique. – Jeudi 17, 15h15 : petite hausse de la production industrielle.
L’économie américaine toujours fragile.
A suivre du 14 au 18 octobre : – Mardi 15, 11h : petite rechute de l’indice ZEW en Allemagne. – Mercredi 16, 14h30 : l’inflation américaine continue de reculer. – Mercredi 16, 20h : Un Beige Book toujours très prudent. – Jeudi 17, 14h30 : quasi-stabilisation des mises en chantier outre-Atlantique. – Jeudi 17, 15h15 : petite hausse de la production industrielle.
Un défaut américain replongerait le monde en 1929…
Un peu plus de cinq ans après la faillite de Lehman Brothers, qui a plongé le monde dans sa plus grave crise financière, économique et sociale depuis le krach de 1929, les Etats-Unis semblent sur le point de susciter un nouveau tsunami, qui, cette fois-ci, pourrait bien s’avérer fatal à l’économie internationale. Car, en 2008-2009, en dépit des prévisions funestes de la quasi-totalité des économistes de la planète, le pire a bien été évité. En effet, grâce à une forte détente monétaire et à une relance budgétaire mondiale de 5 000 milliards de dollars, la croissance a pu redémarrer dès la fin 2009, la croissance mondiale dépassant même les 5 % dès 2010 et se stabilisant autour des 3,5 % depuis. Bien loin de la puissance de ces mesures considérables qui ont permis d’éviter le retour du spectre de 1929, la situation actuelle est bien différentes. Et pour cause : les pays développés ont épuisé toutes leurs marges de manœuvre en matière de relance de l’activité. Les taux d’intérêt des banques centrales sont proches de 0 %, les niveaux de dettes publiques sont faramineux et le poids des dépenses publiques et des impôts sont devenus prohibitifs, en particulier en Europe. Pis, si, en 2008-2009, la croissance mondiale a pu s’appuyer sur le dynamisme des pays émergents, ces derniers commencent également à souffrir et ne pourraient résister à une nouvelle vague de fond. Autrement dit, si les Républicains et Barack Obama ne trouvent pas rapidement une solution pour relever le plafond de la dette et sortir du « shutdown », le monde connaîtra une crise type Lehman Brothers mais puissance dix, en deux mots : un véritable Armageddon.
Un défaut américain replongerait le monde en 1929…
Un peu plus de cinq ans après la faillite de Lehman Brothers, qui a plongé le monde dans sa plus grave crise financière, économique et sociale depuis le krach de 1929, les Etats-Unis semblent sur le point de susciter un nouveau tsunami, qui, cette fois-ci, pourrait bien s’avérer fatal à l’économie internationale. Car, en 2008-2009, en dépit des prévisions funestes de la quasi-totalité des économistes de la planète, le pire a bien été évité. En effet, grâce à une forte détente monétaire et à une relance budgétaire mondiale de 5 000 milliards de dollars, la croissance a pu redémarrer dès la fin 2009, la croissance mondiale dépassant même les 5 % dès 2010 et se stabilisant autour des 3,5 % depuis. Bien loin de la puissance de ces mesures considérables qui ont permis d’éviter le retour du spectre de 1929, la situation actuelle est bien différentes. Et pour cause : les pays développés ont épuisé toutes leurs marges de manœuvre en matière de relance de l’activité. Les taux d’intérêt des banques centrales sont proches de 0 %, les niveaux de dettes publiques sont faramineux et le poids des dépenses publiques et des impôts sont devenus prohibitifs, en particulier en Europe. Pis, si, en 2008-2009, la croissance mondiale a pu s’appuyer sur le dynamisme des pays émergents, ces derniers commencent également à souffrir et ne pourraient résister à une nouvelle vague de fond. Autrement dit, si les Républicains et Barack Obama ne trouvent pas rapidement une solution pour relever le plafond de la dette et sortir du « shutdown », le monde connaîtra une crise type Lehman Brothers mais puissance dix, en deux mots : un véritable Armageddon.
Le FN surfe sur des peurs bleues Marine.
Il est manifeste que le Front National se nourrit des graves difficultés que traverse notre douce France, à commencer par la montée grandissante de l’insécurité. Si certaines villes sont davantage frappées que d’autres, le malaise est national et la crise économique que traverse la France ne fait qu’aggraver la situation…